Pour la protection de l'environnement, l'association "Bariq 21" de Skikda a multiplié les appels et les initiatives et a invité, dimanche dernier, les habitants de la ville, en distribuant prospectus et dépliants dans la rue, à "utiliser le moins possible leurs véhicules". A l'occasion de la Journée internationale du volontariat qui précède le début de la Conférence de Copenhague sur le climat (7 au 18 décembre 2009), cette association skikdie a voulu "célébrer ce double événement par une action concrète sur le terrain", a indiqué son président, Mohamed Tabouche. Selon lui, la population de la ville de Skikda est "pleinement concernée par les changements climatiques, causés principalement par les émanations de gaz à effet de serre, particulièrement celles provoquées par les pots d'échappement" des véhicules automobiles. "Cela nous a encouragé à confectionner et à distribuer des dépliants explicatifs pour inviter les citoyens à se déplacer en ville, autant que faire se peut, sans l'utilisation de leurs voitures", a ajouté M. Tabouche, expliquant que le but de cette action est "d'arriver à faire prendre conscience aux citoyens des périls liés aux changements climatiques et de leurs effets dévastateurs sur l'environnement et l'avenir de l'humanité de manière générale". Pour le président de "Bariq 21", il n'est "pas utopique d'espérer que les Skikdis, qui disposent aujourd'hui, d'une flotte importante de transport urbain et d'un téléphérique, puissent laisser, ne serait-ce qu'un jour par semaine, leur voiture au garage". Les dépliants distribués contiennent notamment des chiffres avancés par l'Office national des statistiques (ONS), montrant que "65 % de l'air passant par nos poumons est pollué", qu'une grande partie (40 %) de la pollution atmosphérique est causée par les véhicules de transport et que 1.500 personnes meurent chaque année en Algérie à la suite de problèmes respiratoires aigus. Pour la protection de l'environnement, l'association "Bariq 21" de Skikda a multiplié les appels et les initiatives et a invité, dimanche dernier, les habitants de la ville, en distribuant prospectus et dépliants dans la rue, à "utiliser le moins possible leurs véhicules". A l'occasion de la Journée internationale du volontariat qui précède le début de la Conférence de Copenhague sur le climat (7 au 18 décembre 2009), cette association skikdie a voulu "célébrer ce double événement par une action concrète sur le terrain", a indiqué son président, Mohamed Tabouche. Selon lui, la population de la ville de Skikda est "pleinement concernée par les changements climatiques, causés principalement par les émanations de gaz à effet de serre, particulièrement celles provoquées par les pots d'échappement" des véhicules automobiles. "Cela nous a encouragé à confectionner et à distribuer des dépliants explicatifs pour inviter les citoyens à se déplacer en ville, autant que faire se peut, sans l'utilisation de leurs voitures", a ajouté M. Tabouche, expliquant que le but de cette action est "d'arriver à faire prendre conscience aux citoyens des périls liés aux changements climatiques et de leurs effets dévastateurs sur l'environnement et l'avenir de l'humanité de manière générale". Pour le président de "Bariq 21", il n'est "pas utopique d'espérer que les Skikdis, qui disposent aujourd'hui, d'une flotte importante de transport urbain et d'un téléphérique, puissent laisser, ne serait-ce qu'un jour par semaine, leur voiture au garage". Les dépliants distribués contiennent notamment des chiffres avancés par l'Office national des statistiques (ONS), montrant que "65 % de l'air passant par nos poumons est pollué", qu'une grande partie (40 %) de la pollution atmosphérique est causée par les véhicules de transport et que 1.500 personnes meurent chaque année en Algérie à la suite de problèmes respiratoires aigus.