La Conférence internationale des villes jumelées et des villes solidaires avec les villes du Sahara Occidental se tiendra à Alger les 12 et 13 décembre, à l'Hôtel Mazafran de Zéralda. Organisée par le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), elle réunira 40 Etats, dont 356 villes africaines. Des hautes personnalités prendront part à cette conférence, parmi elles des élus et sénateurs européens, présidents de régions, maires, des ONG, etc. Parmi les participants figureront aussi des avocats, juristes, des représentants de la Croix-Rouge ainsi que la Fondation américaine de soutien au peuple sahraoui. Il a été indiqué que 90 % des participants seront représentés par des élus locaux et régionaux. Au jour d'aujourd'hui, six villes algériennes sont jumelées avec des villes sahraouies : Biskra avec Samara, Tiaret avec Dakhla, Alger avec Lâayoune et enfin Batna avec la ville de Birlahlou. Ces jumelages, explique-t-on, visent à conjuguer les efforts et à entreprendre des actions en faveur de la cause sahraouie. Leur présence à Alger vise à faire porter la voix du peuple sahraoui, ses souffrances et surtout sa volonté à l'autodétermination, vers les instances internationales de l'Onu. «Le rôle des élus est important, leur voix est porteuse et nous voulons faire de cet évènement la tribune d'Alger», a déclaré Mehrez Lamari, premier responsable du CNASPS. Et d'Ajouter : «La tribune d'Alger sera celle de la légalité internationale». «Par le biais de ces élus dont le poids à l'échelle internationale est considérable et de par leur conviction en la cause sahraoui, ils vont marquer leur position et faire écouter leur voix à l'international», s'est exprimé M. Lamari. La manifestation connaîtra la participation massive d'un nombre important de pays : l'Italie, l'Espagne, la Russie, l'Australie, la RASD, l'Algérie, la Slovénie, la France... pour ne citer que ceux-là. La France, réserve certaines surprises, entre autres, la venue d'une délégation particulièrement importante. Des ateliers sont prévus sur différentes thématiques autour des droits de l'Homme. Ainsi, six thèmes seront abordés durant ces ateliers, à savoir : "Villes jumelées, solidaires et institutions localement élues", "Les fondements juridiques de la question sahraouie", "Le droit à l'autodétermination", "Les violations des droits de l'Homme dans les territoires occupés", "La résistance pacifique dans les territoires occupés et la spoliation des ressources naturelles du Sahara Occidental par le Maroc".La Conférence sera suivie d'une «Déclaration d'Alger» des élus du monde entier en faveur du Sahara Occidental. Cette déclaration de soutien, comportera une plateforme d'actions communes, qui sera porteuse de la voix des Sahraouis. Ce sera, indique-t-on un appel à la communauté internationale, notamment à l'ONU, afin qu'elle daigne, selon les intervenants, "bouger le petit doigt" pour qu'une solution définitive soit enfin apportée au conflit Polisario-Maroc. Les intervenants ont également tenu à mettre en exergue lefait que le Sahara Occidental est la dernière des colonies en Afrique, au moment où l'Union africaine reconnaît le droit du peuple sahraoui à sa liberté, le Maroc, lui, rappellent les orateurs refusent de se lancer à nouveau dans le processus de négociations. A la clôture de cette manifestation, le 12 décembre, la délégation italienne, composée d'une vingtaine d'élus se rendra à Tindouf, dans les camps de réfugiés, a-t-on appris du CNASPS. Le maire de Sidney (Australie), M. Parker, qui sera présent à cette conférence, se rendra lui aussi dans les camps de réfugiés de Tindouf, après le 12 décembre. Il est également annoncé l'organisation de la réunion statuaire du Comité exécutif des cités et gouvernement locaux unis d'Afrique (CGLUA), le 14 de ce mois à l'hôtel Aurassi à Alger. Ledit comité est composé de 19 membres dont 5 permanents, et regroupe 52 pays africains. Lors de cette rencontre, trois principaux points seront abordés, en l'occurrence l'Union africaine, l'élaboration d'un plan de travail de l'année 2010 et le rôle des villes dans le développement local. Cette manifestation apportera sa voix en vue de sensibiliser et de tirer la sonnette d'alarme sur l'urgence d'intervenir et trouver une solution à la crise que vit le peuple sahraoui, a-t-on indiqué. La Conférence internationale des villes jumelées et des villes solidaires avec les villes du Sahara Occidental se tiendra à Alger les 12 et 13 décembre, à l'Hôtel Mazafran de Zéralda. Organisée par le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), elle réunira 40 Etats, dont 356 villes africaines. Des hautes personnalités prendront part à cette conférence, parmi elles des élus et sénateurs européens, présidents de régions, maires, des ONG, etc. Parmi les participants figureront aussi des avocats, juristes, des représentants de la Croix-Rouge ainsi que la Fondation américaine de soutien au peuple sahraoui. Il a été indiqué que 90 % des participants seront représentés par des élus locaux et régionaux. Au jour d'aujourd'hui, six villes algériennes sont jumelées avec des villes sahraouies : Biskra avec Samara, Tiaret avec Dakhla, Alger avec Lâayoune et enfin Batna avec la ville de Birlahlou. Ces jumelages, explique-t-on, visent à conjuguer les efforts et à entreprendre des actions en faveur de la cause sahraouie. Leur présence à Alger vise à faire porter la voix du peuple sahraoui, ses souffrances et surtout sa volonté à l'autodétermination, vers les instances internationales de l'Onu. «Le rôle des élus est important, leur voix est porteuse et nous voulons faire de cet évènement la tribune d'Alger», a déclaré Mehrez Lamari, premier responsable du CNASPS. Et d'Ajouter : «La tribune d'Alger sera celle de la légalité internationale». «Par le biais de ces élus dont le poids à l'échelle internationale est considérable et de par leur conviction en la cause sahraoui, ils vont marquer leur position et faire écouter leur voix à l'international», s'est exprimé M. Lamari. La manifestation connaîtra la participation massive d'un nombre important de pays : l'Italie, l'Espagne, la Russie, l'Australie, la RASD, l'Algérie, la Slovénie, la France... pour ne citer que ceux-là. La France, réserve certaines surprises, entre autres, la venue d'une délégation particulièrement importante. Des ateliers sont prévus sur différentes thématiques autour des droits de l'Homme. Ainsi, six thèmes seront abordés durant ces ateliers, à savoir : "Villes jumelées, solidaires et institutions localement élues", "Les fondements juridiques de la question sahraouie", "Le droit à l'autodétermination", "Les violations des droits de l'Homme dans les territoires occupés", "La résistance pacifique dans les territoires occupés et la spoliation des ressources naturelles du Sahara Occidental par le Maroc".La Conférence sera suivie d'une «Déclaration d'Alger» des élus du monde entier en faveur du Sahara Occidental. Cette déclaration de soutien, comportera une plateforme d'actions communes, qui sera porteuse de la voix des Sahraouis. Ce sera, indique-t-on un appel à la communauté internationale, notamment à l'ONU, afin qu'elle daigne, selon les intervenants, "bouger le petit doigt" pour qu'une solution définitive soit enfin apportée au conflit Polisario-Maroc. Les intervenants ont également tenu à mettre en exergue lefait que le Sahara Occidental est la dernière des colonies en Afrique, au moment où l'Union africaine reconnaît le droit du peuple sahraoui à sa liberté, le Maroc, lui, rappellent les orateurs refusent de se lancer à nouveau dans le processus de négociations. A la clôture de cette manifestation, le 12 décembre, la délégation italienne, composée d'une vingtaine d'élus se rendra à Tindouf, dans les camps de réfugiés, a-t-on appris du CNASPS. Le maire de Sidney (Australie), M. Parker, qui sera présent à cette conférence, se rendra lui aussi dans les camps de réfugiés de Tindouf, après le 12 décembre. Il est également annoncé l'organisation de la réunion statuaire du Comité exécutif des cités et gouvernement locaux unis d'Afrique (CGLUA), le 14 de ce mois à l'hôtel Aurassi à Alger. Ledit comité est composé de 19 membres dont 5 permanents, et regroupe 52 pays africains. Lors de cette rencontre, trois principaux points seront abordés, en l'occurrence l'Union africaine, l'élaboration d'un plan de travail de l'année 2010 et le rôle des villes dans le développement local. Cette manifestation apportera sa voix en vue de sensibiliser et de tirer la sonnette d'alarme sur l'urgence d'intervenir et trouver une solution à la crise que vit le peuple sahraoui, a-t-on indiqué.