Pratiquement l'ensemble des trottoirs à Baba-Hassan servent d'extension aux magasins de vente des matériaux de construction. Cette commune, dans laquelle il faisait bon vivre il y a juste quelques années, s'est transformée un gigantesque bazar dans lequel se côtoient anarchie, pollution et insécurité au grand dam de ses habitants. Ces derniers tirent la sonnette d'alarme devant cette situation pénalisante à plus d'un titre pour eux... Pratiquement l'ensemble des trottoirs à Baba-Hassan servent d'extension aux magasins de vente des matériaux de construction. Cette commune, dans laquelle il faisait bon vivre il y a juste quelques années, s'est transformée un gigantesque bazar dans lequel se côtoient anarchie, pollution et insécurité au grand dam de ses habitants. Ces derniers tirent la sonnette d'alarme devant cette situation pénalisante à plus d'un titre pour eux... La localité de Baba Hassan a connu, ces quelques dernières années, une propagation effrénée et sans limites d'un commerce tous azimuts concernant la revente des matériaux de construction. Des dizaines de revendeurs ont envahi Baba-Hassan, notamment le quartier "les Amandiers" dans lequel ils régnent en maîtres absolus. Les résidants de Baba-Hassan dénoncent ce véritable blocage de leur "vie", ils se sentent emprisonnés dans leurs propres maisons, pouvant difficilement entrer ou sortir de leurs quartiers. En effet les marchands occupent, anarchiquement, tous les trottoirs empêchant les piétons de les emprunter. De ce fait ils préfèrent limiter les déplacements, particulièrement ceux des enfants de crainte d'éventuels accidents. Les habitants du quartier "les Amandiers" ont déposé, nous dira Mohamed Djabber, membre du comité du quartier et ce à plusieurs reprises, leurs doléances auprès des collectivités locales pour, nous dira-t-il «se pencher sur leur situation et mettre fin à l'anarchie ambiante qui pollue leur quotidien et les empêche de vivre sereinement». Mais ajoutera notre interlocuteur "aucune action n'a vu le jour à ce jours". Le quartier les Amandiers ressemble, selon les propos de ses résidants" à "un grand bazar informel ou carrément à une immense décharge à ciel ouvert". "Ces dizaines de commerçants de materiaux de construction bouleversent notre vie. Des centaines de véhicules effectuent un va-et-vient incessant bloquant l'accès de notrequartier, cela sans parler des autres nuisances : vacarme, polution...", nous explique M. Djabber lequel nous affirme que les habitants n'arrivent même plus à garer leurs véhicules devant leurs propres domiciles, es véhicules de ces commerçants ne leur laissant aucun espace libre. Cette situation qui angoisse les habitants perdure en dépit des nombreuses réclamations faites auprès des services de la commune. De guerre lasse et ne voyant aucun écho à leurs plaintes, les habitants lancent un énième SOS dans l'ultime espoir que leur message soit enfin reçu et que l'on mette enfin un terme à leur calvaire. La localité de Baba Hassan a connu, ces quelques dernières années, une propagation effrénée et sans limites d'un commerce tous azimuts concernant la revente des matériaux de construction. Des dizaines de revendeurs ont envahi Baba-Hassan, notamment le quartier "les Amandiers" dans lequel ils régnent en maîtres absolus. Les résidants de Baba-Hassan dénoncent ce véritable blocage de leur "vie", ils se sentent emprisonnés dans leurs propres maisons, pouvant difficilement entrer ou sortir de leurs quartiers. En effet les marchands occupent, anarchiquement, tous les trottoirs empêchant les piétons de les emprunter. De ce fait ils préfèrent limiter les déplacements, particulièrement ceux des enfants de crainte d'éventuels accidents. Les habitants du quartier "les Amandiers" ont déposé, nous dira Mohamed Djabber, membre du comité du quartier et ce à plusieurs reprises, leurs doléances auprès des collectivités locales pour, nous dira-t-il «se pencher sur leur situation et mettre fin à l'anarchie ambiante qui pollue leur quotidien et les empêche de vivre sereinement». Mais ajoutera notre interlocuteur "aucune action n'a vu le jour à ce jours". Le quartier les Amandiers ressemble, selon les propos de ses résidants" à "un grand bazar informel ou carrément à une immense décharge à ciel ouvert". "Ces dizaines de commerçants de materiaux de construction bouleversent notre vie. Des centaines de véhicules effectuent un va-et-vient incessant bloquant l'accès de notrequartier, cela sans parler des autres nuisances : vacarme, polution...", nous explique M. Djabber lequel nous affirme que les habitants n'arrivent même plus à garer leurs véhicules devant leurs propres domiciles, es véhicules de ces commerçants ne leur laissant aucun espace libre. Cette situation qui angoisse les habitants perdure en dépit des nombreuses réclamations faites auprès des services de la commune. De guerre lasse et ne voyant aucun écho à leurs plaintes, les habitants lancent un énième SOS dans l'ultime espoir que leur message soit enfin reçu et que l'on mette enfin un terme à leur calvaire.