Les 600 logements, à haute performance énergétique prévus dans onze wilayas du pays, sont en phase le lancement. Initié par les ministères de l'Habitat et de l'Energie, la réalisation de ces logements permettra la réduction de la facture énergétique nationale de même que la diminution des émissions de gaz à effet de serre (CO2). Les 600 logements, à haute performance énergétique prévus dans onze wilayas du pays, sont en phase le lancement. Initié par les ministères de l'Habitat et de l'Energie, la réalisation de ces logements permettra la réduction de la facture énergétique nationale de même que la diminution des émissions de gaz à effet de serre (CO2). «L‘opération vient d‘être lancée et concernera le logement locatif financée par l‘Etat. Elle permettra de réduire la consommation énergétique des ménages de près de 54%», a affirmé, hier à Alger, Noureddine Moussa, ministre de l‘Habitat et de l‘Urbanisme, lors d‘une visite de travail à Alger. D‘une architecture moderne, ces maisons écologiques utilisant les énergies renouvelables, notamment des panneaux solaires, coûteront un peu plus cher que les autres constructions, soit un peu plus de 15%. Pour le premier responsable du secteur, la question énergétique est la priorité de toutes les stratégies économiques mondiales, ce qui nous amène à adopter la même synergie en Algérie. «L‘Algérie a adapté ses lois pour mettre en place tous les moyens et techniques pour une meilleure maîtrise de l‘énergie», a-t-il ajouté. Le ministre a inspecté hier l‘unité pilote de ces logements «économes», conçus et fabriqués avec des matériaux locaux et utilisant l‘énergie solaire pour la production de l‘eau sanitaire et le chauffage dans la commune de Souidania, à Alger. Inscrite dans le cadre d‘une convention de partenariat entre l‘Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l‘énergie (APRUE) et onze Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI), cette opération concernera les wilayas d‘Alger avec 50 logements (Draria), Blida avec 80 unités, Oran 80 unités, Sétif (54), Mostaganem (82), Skikda (50), Laghouat (32), Béchar (30), Tamanrasset (30), Djelfa (80), et El Oued (32). Le ministre a également supervisé les travaux de réalisation du siège du Centre national d‘étude et de recherche intégrées du bâtiment (Cnerib). Ce dernier assurera la réalisation des logements en question, de même que la réhabilitation des 340.000 habitations précaires. A ce propos, le ministre a mis l‘accent sur le respect des normes de réalisation ainsi que la qualité des matériaux utilisés. Les laboratoires d‘essais sismiques fonctionnels fin 2010 Le ministre de l‘Habitat a fait une halte au Centre du génie parasismique (CGS) afin d‘y inspecter les travaux d‘installation des équipements d‘essais et de recherches. Premier du genre au niveau arabe et africain, ce centre national, situé à El Achour, permet de réduire considérablement le risque sismique en prenant des mesures de construction adéquates pour le ramener à un niveau acceptable. «La mission principale du CGS est la réduction sismique en Algérie à travers des activités de recherches, d‘études spécialisées, de formation et d‘information», a-t-il souligné, précisant que 70% du nord du pays est soumis à une activité sismique. Ce projet, dont le coût de réalisation est estimé à 80 millions de dinars et quelque 260 milliards de dollars uniquement pour les équipements, compte des laboratoires d‘essais dynamiques des structures, de mécanique et dynamique des sols, de géophysique, de sismologie et des matériaux. La construction est ainsi mise en test approfondi pour en déduire le niveau de résistance aux troubles sismiques. A ce titre, M. Moussa a précisé que toute autorisation de construction est obligatoirement soumise à des règles parasismiques, supervisé par un ingénieur spécialisé. «L‘opération vient d‘être lancée et concernera le logement locatif financée par l‘Etat. Elle permettra de réduire la consommation énergétique des ménages de près de 54%», a affirmé, hier à Alger, Noureddine Moussa, ministre de l‘Habitat et de l‘Urbanisme, lors d‘une visite de travail à Alger. D‘une architecture moderne, ces maisons écologiques utilisant les énergies renouvelables, notamment des panneaux solaires, coûteront un peu plus cher que les autres constructions, soit un peu plus de 15%. Pour le premier responsable du secteur, la question énergétique est la priorité de toutes les stratégies économiques mondiales, ce qui nous amène à adopter la même synergie en Algérie. «L‘Algérie a adapté ses lois pour mettre en place tous les moyens et techniques pour une meilleure maîtrise de l‘énergie», a-t-il ajouté. Le ministre a inspecté hier l‘unité pilote de ces logements «économes», conçus et fabriqués avec des matériaux locaux et utilisant l‘énergie solaire pour la production de l‘eau sanitaire et le chauffage dans la commune de Souidania, à Alger. Inscrite dans le cadre d‘une convention de partenariat entre l‘Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l‘énergie (APRUE) et onze Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI), cette opération concernera les wilayas d‘Alger avec 50 logements (Draria), Blida avec 80 unités, Oran 80 unités, Sétif (54), Mostaganem (82), Skikda (50), Laghouat (32), Béchar (30), Tamanrasset (30), Djelfa (80), et El Oued (32). Le ministre a également supervisé les travaux de réalisation du siège du Centre national d‘étude et de recherche intégrées du bâtiment (Cnerib). Ce dernier assurera la réalisation des logements en question, de même que la réhabilitation des 340.000 habitations précaires. A ce propos, le ministre a mis l‘accent sur le respect des normes de réalisation ainsi que la qualité des matériaux utilisés. Les laboratoires d‘essais sismiques fonctionnels fin 2010 Le ministre de l‘Habitat a fait une halte au Centre du génie parasismique (CGS) afin d‘y inspecter les travaux d‘installation des équipements d‘essais et de recherches. Premier du genre au niveau arabe et africain, ce centre national, situé à El Achour, permet de réduire considérablement le risque sismique en prenant des mesures de construction adéquates pour le ramener à un niveau acceptable. «La mission principale du CGS est la réduction sismique en Algérie à travers des activités de recherches, d‘études spécialisées, de formation et d‘information», a-t-il souligné, précisant que 70% du nord du pays est soumis à une activité sismique. Ce projet, dont le coût de réalisation est estimé à 80 millions de dinars et quelque 260 milliards de dollars uniquement pour les équipements, compte des laboratoires d‘essais dynamiques des structures, de mécanique et dynamique des sols, de géophysique, de sismologie et des matériaux. La construction est ainsi mise en test approfondi pour en déduire le niveau de résistance aux troubles sismiques. A ce titre, M. Moussa a précisé que toute autorisation de construction est obligatoirement soumise à des règles parasismiques, supervisé par un ingénieur spécialisé.