Un tribunal spécial, chargé des litiges relatifs à la situation financière du conglomérat public endetté Dubaï World, a été mis en place, a annoncé, hier, l'émirat de Dubaï. Le tribunal sera basé dans la zone franche du Centre financier international de Dubaï (DIFC), ajoute la même source. "Par cette mesure, le gouvernement de Dubaï exprime son souci de préserver les droits des créanciers de Dubaï World et de ses filiales", a affirmé le communiqué. Cette mesure intervient suite à l'annonce, par les autorités de l'émirat de Dubaï, qu'elles allaient payer la dette de 4,1 milliards de dollars du géant immobilier Nakheel, filiale de Dubaï World, parvenant à maturité lundi, après avoir obtenu une aide de 10 milliards USD d'Abou Dhabi, le riche émirat pétrolier voisin. Les autorités de Dubaï avaient annoncé le 25 novembre leur intention de demander un moratoire de six mois sur la dette de Dubaï World, estimée à 59 milliards de dollars et dont une partie (3,5 milliards de dollars) vient à maturité le 14 décembre, ce qui avait provoqué l'affolement des marchés financiers, certains allant même jusqu'à prédire la faillite de Dubaï. Un tribunal spécial, chargé des litiges relatifs à la situation financière du conglomérat public endetté Dubaï World, a été mis en place, a annoncé, hier, l'émirat de Dubaï. Le tribunal sera basé dans la zone franche du Centre financier international de Dubaï (DIFC), ajoute la même source. "Par cette mesure, le gouvernement de Dubaï exprime son souci de préserver les droits des créanciers de Dubaï World et de ses filiales", a affirmé le communiqué. Cette mesure intervient suite à l'annonce, par les autorités de l'émirat de Dubaï, qu'elles allaient payer la dette de 4,1 milliards de dollars du géant immobilier Nakheel, filiale de Dubaï World, parvenant à maturité lundi, après avoir obtenu une aide de 10 milliards USD d'Abou Dhabi, le riche émirat pétrolier voisin. Les autorités de Dubaï avaient annoncé le 25 novembre leur intention de demander un moratoire de six mois sur la dette de Dubaï World, estimée à 59 milliards de dollars et dont une partie (3,5 milliards de dollars) vient à maturité le 14 décembre, ce qui avait provoqué l'affolement des marchés financiers, certains allant même jusqu'à prédire la faillite de Dubaï.