Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens, qui est revenu longuement, hier, sur les résultats de la dernière tripartite, qui s'est tenue les 2 et 3 décembre, a surtout voulu apporter des clarifications relatives aux résultats auxquels a abouti cette rencontre. Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens, qui est revenu longuement, hier, sur les résultats de la dernière tripartite, qui s'est tenue les 2 et 3 décembre, a surtout voulu apporter des clarifications relatives aux résultats auxquels a abouti cette rencontre. «Il faut lever quelques incompréhensions» a, en effet, indiqué Abdelmadjid Sidi Saïd, lors d'un discours prononcé devant les membres du conseil national du Syndicat national des enseignants universitaires, une organisation affiliée à l'UGTA. A ce titre il a évoqué la décision relative à la suppression de la retraite anticipée, qui a fait couler beaucoup d'encre, vu qu'elle était considérée par le monde du travail comme un acquis. Tenant à rassurer, Sidi Saïd a précisé que cette mesure n'entrera finalement en vigueur que d'ici une année, soit en 2011. «C'est un groupe de travail commun qui va mettre en place les modalités de cette mesure qui sera traduite ensuite par un avant- projet de loi», a-t-il estimé. ajoutant que ce «n'est qu'après avoir été soumis à l'APN». Le patron de la centrale syndicale a, par la suite, précisé que l'institution de la retraite anticipée en 1997 a été dictée par les fortes pressions du FMI dans le cadre du plan d'ajustement structurel. Le FMI avait exigé le dégraissement de un million de postes d'emploi tant dans la Fonction publique (500 mille postes) que celui du secteur economiuqe, pour un nombre équivalent. Sidi Saïd dira que le retour à l'ancien système favorisera d'abord les intérêts des retraités et partant de la Caisse de retraite. Il s'est aussi prononcé en faveur d'une large réflexion sur le système de retraite estimant qu'il est illogique qu'un professeur d'université parte à la retraite à l'âge de 60 ans qui est l'âge légal pour en bénéficier. Sur la question de l'article 87 bis très controversé, Sidi Saïd dira que cette disposition sera abrogée dans le cadre de l'élaboration d'un code de travail. Facteur qui va avoir, comme l'a soutenu le patron de l'UGTA, des répercussions positives sur le SNMG. Car, a-t-il affirmé, "quand le SNMG retrouvera ses lettres de noblesse tous les travailleurs vont bénéficier des augmentations de salaire". Par la suite, l'orateur a soutenu les revendications des enseignants universitaires concernant le régime indemnitaire en déclarant qu'«il est important de réhabiliter l'élite en lui assurant les meilleures conditions socio-professionnelles». «Il faut lever quelques incompréhensions» a, en effet, indiqué Abdelmadjid Sidi Saïd, lors d'un discours prononcé devant les membres du conseil national du Syndicat national des enseignants universitaires, une organisation affiliée à l'UGTA. A ce titre il a évoqué la décision relative à la suppression de la retraite anticipée, qui a fait couler beaucoup d'encre, vu qu'elle était considérée par le monde du travail comme un acquis. Tenant à rassurer, Sidi Saïd a précisé que cette mesure n'entrera finalement en vigueur que d'ici une année, soit en 2011. «C'est un groupe de travail commun qui va mettre en place les modalités de cette mesure qui sera traduite ensuite par un avant- projet de loi», a-t-il estimé. ajoutant que ce «n'est qu'après avoir été soumis à l'APN». Le patron de la centrale syndicale a, par la suite, précisé que l'institution de la retraite anticipée en 1997 a été dictée par les fortes pressions du FMI dans le cadre du plan d'ajustement structurel. Le FMI avait exigé le dégraissement de un million de postes d'emploi tant dans la Fonction publique (500 mille postes) que celui du secteur economiuqe, pour un nombre équivalent. Sidi Saïd dira que le retour à l'ancien système favorisera d'abord les intérêts des retraités et partant de la Caisse de retraite. Il s'est aussi prononcé en faveur d'une large réflexion sur le système de retraite estimant qu'il est illogique qu'un professeur d'université parte à la retraite à l'âge de 60 ans qui est l'âge légal pour en bénéficier. Sur la question de l'article 87 bis très controversé, Sidi Saïd dira que cette disposition sera abrogée dans le cadre de l'élaboration d'un code de travail. Facteur qui va avoir, comme l'a soutenu le patron de l'UGTA, des répercussions positives sur le SNMG. Car, a-t-il affirmé, "quand le SNMG retrouvera ses lettres de noblesse tous les travailleurs vont bénéficier des augmentations de salaire". Par la suite, l'orateur a soutenu les revendications des enseignants universitaires concernant le régime indemnitaire en déclarant qu'«il est important de réhabiliter l'élite en lui assurant les meilleures conditions socio-professionnelles».