Le transport urbain est mal loti puisque les Abri-bus n'ont pas été édifiés aux principaux arrêts, notamment au niveau des boulevards du 1er-Novembre, du Volontariat, de Gahdour, des cités Aïn-Defla, Emir Abdelkader, Bara, Oued-Maïz, 19-Juin, Champ-de-manœuvres, etc. Le transport urbain est mal loti puisque les Abri-bus n'ont pas été édifiés aux principaux arrêts, notamment au niveau des boulevards du 1er-Novembre, du Volontariat, de Gahdour, des cités Aïn-Defla, Emir Abdelkader, Bara, Oued-Maïz, 19-Juin, Champ-de-manœuvres, etc. Le chef-lieu de wilaya qui abrite plus de 160 mille âmes bénéficie du transport urbain depuis une quinzaine d'années, ce qui rend un énorme service aux travailleurs, étudiants et lycéens qui rejoignent quotidiennement leurs lieux de travail et d'études. Les pères de famille et les ménagères ont l'opportunité d'effectuer leurs courses au sein des marchés, des magasins et des centres commerciaux de la ville. Actuellement, plus de 140 minibus desservent huit lignes qui couvrent judicieusement les différents lotissements périphériques, cités et quartiers. Une vingtaine de bus dernière génération sont affectés par une entreprise privée au transport universitaire qui dessert plusieurs pôles. Guelma ne possède pas de gare routière moderne, car en dépit de l'inscription de cet important projet par les autorités locales, de la disponibilité d'une enveloppe financière d'une douzaine de milliards de centimes, le maître d'ouvrage, à savoir la Direction des transports, piétine et accuse un retard intolérable pour le lancement des travaux. De ce fait, c'est toujours l'archaïque gare routière de Bab Annaba qui abrite le transport des voyageurs à travers toutes les communes de la wilaya et à destination des autres wilayas d'Alger, Sétif, Oran, Ouargla, Biskra... Cette infrastructure ne répond pas aux légitimes attentes des usagers qui ne disposent pas de salles d'attente, d'abris-bus, de toilettes publiques et autres commodités. Le transport urbain est mal loti, puisque les Abribus n'ont pas été édifiés aux principaux arrêts, notamment au niveau des boulevards du 1er-Novembre, du Volontariat, de Gahdour, des cités Aïn-Defla, Emir Abdelkader, Bara, Oued-Maïz, 19-Juin, Champ-de-manœuvres, etc. Les usagers sont pénalisés lors des intempéries car ils ne disposent d'aucun site pour se mettre à l'abri. Cette situation perdure dans l'indifférence totale des autorités concernées au grand dam des Guelmis qui ne savent plus à quel saint se vouer. Un pressant appel est lancé aux responsables concernés pour prendre en charge cette préoccupation citoyenne. Le chef-lieu de wilaya qui abrite plus de 160 mille âmes bénéficie du transport urbain depuis une quinzaine d'années, ce qui rend un énorme service aux travailleurs, étudiants et lycéens qui rejoignent quotidiennement leurs lieux de travail et d'études. Les pères de famille et les ménagères ont l'opportunité d'effectuer leurs courses au sein des marchés, des magasins et des centres commerciaux de la ville. Actuellement, plus de 140 minibus desservent huit lignes qui couvrent judicieusement les différents lotissements périphériques, cités et quartiers. Une vingtaine de bus dernière génération sont affectés par une entreprise privée au transport universitaire qui dessert plusieurs pôles. Guelma ne possède pas de gare routière moderne, car en dépit de l'inscription de cet important projet par les autorités locales, de la disponibilité d'une enveloppe financière d'une douzaine de milliards de centimes, le maître d'ouvrage, à savoir la Direction des transports, piétine et accuse un retard intolérable pour le lancement des travaux. De ce fait, c'est toujours l'archaïque gare routière de Bab Annaba qui abrite le transport des voyageurs à travers toutes les communes de la wilaya et à destination des autres wilayas d'Alger, Sétif, Oran, Ouargla, Biskra... Cette infrastructure ne répond pas aux légitimes attentes des usagers qui ne disposent pas de salles d'attente, d'abris-bus, de toilettes publiques et autres commodités. Le transport urbain est mal loti, puisque les Abribus n'ont pas été édifiés aux principaux arrêts, notamment au niveau des boulevards du 1er-Novembre, du Volontariat, de Gahdour, des cités Aïn-Defla, Emir Abdelkader, Bara, Oued-Maïz, 19-Juin, Champ-de-manœuvres, etc. Les usagers sont pénalisés lors des intempéries car ils ne disposent d'aucun site pour se mettre à l'abri. Cette situation perdure dans l'indifférence totale des autorités concernées au grand dam des Guelmis qui ne savent plus à quel saint se vouer. Un pressant appel est lancé aux responsables concernés pour prendre en charge cette préoccupation citoyenne.