Des heures d'attente avant de voir pointer un bus. L'état déplorable des routes fait fuir les transporteurs. Les usagers n'ont d'autre choix que de prendre leur mal en patience. Des heures d'attente avant de voir pointer un bus. L'état déplorable des routes fait fuir les transporteurs. Les usagers n'ont d'autre choix que de prendre leur mal en patience. Les habitants de la commune des Eucalyptus à Alger, réclament le renforcement des moyens de transport dans leur commune, et ce quelles que soient les destinations. En effet ils expliquent qu'ils souffrent, depuis des années, du manque criant de transport urbain. Des habitants nous expliquent les causes principales de cette situation : "La détérioration des routes dans les différents quartiers de la commune fait fuir les transporteurs. Ces derniers pour ménager leurs véhicules préfèrent éviter notre localité, particulièrement certains quartiers". Il faut bien admettre que "l'état déplorable des routes dans cette commune rend la circulation très pénible et stressante, pour ne pas dire carrément impossible", nous avoue un transporteur lequel ajoute "ce qui nous empêche d'assurer le déplacement des usagers vers ces endroits afin de ne pas bousiller nos véhicules". Les quelques rares bus qui veulent bien prendre le risque d'emprunter ces "pistes" se font attendre durant des heures. Les usagers se rendant vers Alger- Centre et ses environs sont contraints de faire le pied de grue très longtemps avant l'inévitable bousculade pour tenter de grimper à l'intérieur du bus qui ne peut bien sûr contenir la foule qui a eu le temps de s'amasser durant la longue attente. L'unique destination plus ou moins bien desservie reste celle de Boumaâti. Le manque de transport déstabilise le quotidien des citoyens qui ne savent jamais s'ils seront à l'heure à leur travail ou pour suivre leurs cours. De ce fait quand un bus pointe sur les lieux on assiste à de véritables empoignades au terme desquelles les plus forts arrivent à arracher leurs places. "Des bagarres éclatent entre les usagers qui veulent tous grimper dans le bus. Cela donne lieu à des scènes vraiment désolantes", nous affirme le chef de quai de la station des Eucalyptus. Il est à signaler que le wali délégué de la daïra de Baraki avait, auparavant, proposé aux jeunes de la commune des Eucalyptus d'investir dans le secteur du transport urbain, afin de lutter en même temps contre le chômage et le manque de transport . Cette suggestion n'a pas roncontré l'écho escompté auprès de la jeunesse de la daïra de Baraki. Il faut dire que l'état des routes n'est pas fait pour encourager cette action louable en soi. "Nous ne tenons à tenter une aventure vouée à l'avance à l'echec tant que les routes de la commune demeurent en l'état", nous explique un jeune chômeur désabusé qui nous affirme que ces assertions sont celles de l'ensemble des jeunes visés par ce projet. La balle est donc dans le camp des autorités communales. Les habitants de la commune des Eucalyptus à Alger, réclament le renforcement des moyens de transport dans leur commune, et ce quelles que soient les destinations. En effet ils expliquent qu'ils souffrent, depuis des années, du manque criant de transport urbain. Des habitants nous expliquent les causes principales de cette situation : "La détérioration des routes dans les différents quartiers de la commune fait fuir les transporteurs. Ces derniers pour ménager leurs véhicules préfèrent éviter notre localité, particulièrement certains quartiers". Il faut bien admettre que "l'état déplorable des routes dans cette commune rend la circulation très pénible et stressante, pour ne pas dire carrément impossible", nous avoue un transporteur lequel ajoute "ce qui nous empêche d'assurer le déplacement des usagers vers ces endroits afin de ne pas bousiller nos véhicules". Les quelques rares bus qui veulent bien prendre le risque d'emprunter ces "pistes" se font attendre durant des heures. Les usagers se rendant vers Alger- Centre et ses environs sont contraints de faire le pied de grue très longtemps avant l'inévitable bousculade pour tenter de grimper à l'intérieur du bus qui ne peut bien sûr contenir la foule qui a eu le temps de s'amasser durant la longue attente. L'unique destination plus ou moins bien desservie reste celle de Boumaâti. Le manque de transport déstabilise le quotidien des citoyens qui ne savent jamais s'ils seront à l'heure à leur travail ou pour suivre leurs cours. De ce fait quand un bus pointe sur les lieux on assiste à de véritables empoignades au terme desquelles les plus forts arrivent à arracher leurs places. "Des bagarres éclatent entre les usagers qui veulent tous grimper dans le bus. Cela donne lieu à des scènes vraiment désolantes", nous affirme le chef de quai de la station des Eucalyptus. Il est à signaler que le wali délégué de la daïra de Baraki avait, auparavant, proposé aux jeunes de la commune des Eucalyptus d'investir dans le secteur du transport urbain, afin de lutter en même temps contre le chômage et le manque de transport . Cette suggestion n'a pas roncontré l'écho escompté auprès de la jeunesse de la daïra de Baraki. Il faut dire que l'état des routes n'est pas fait pour encourager cette action louable en soi. "Nous ne tenons à tenter une aventure vouée à l'avance à l'echec tant que les routes de la commune demeurent en l'état", nous explique un jeune chômeur désabusé qui nous affirme que ces assertions sont celles de l'ensemble des jeunes visés par ce projet. La balle est donc dans le camp des autorités communales.