Les agents exerçant aux guichets de la Grande Poste du chef-lieu de wilaya ont observé un arrêt de travail durant la matinée de lundi, à la grande surprise des nombreux usagers venus effectuer des retraits de fonds, percevoir ou expédier un mandat, régler la facture du téléphone, etc. Fidèles à leur poste de travail, ils ont fait part de leur ras-le-bol car, selon leurs dires, l'administration reste sourde à leurs doléances qui perdurent dans l'indifférence totale. Ils ont expliqué la justesse de leur action et ont invité les usagers à se rendre aux autres agences postales des cités Mahouna, Karmet, Aïn-Defla et Agabi qui, elles, fonctionnent normalement. Le personnel des guichets de la recette principale se plaint des mauvaises conditions de travail dans lesquelles il se débat : absence d'agents de sécurité aux fins de les protéger des agressions verbales et parfois physiques de certains énergumènes, manque d'eau courante, faiblesse de l'éclairage et, surtout, l'indisponibilité des tiroirs adéquats pour mettre les liquidités en sécurité. Cette carence, inadmissible selon nos interlocuteurs, démobilise les agents des deux sexes qui appréhendent des vols qu'ils devront rembourser impérativement. D'autre part, ils dénoncent l'injustice dont aurait été victime l'une de leurs collègues et ce, suite à une plainte déposée par un usager auprès des services de sécurité pour paiement par ordinateur d'un chèque personnel à une tierce personne. Cette employée, mère de famille et connue pour sa compétence et son sérieux, a été destinataire, durant son travail, d'une convocation des services de police. Cette employée rejette la faute professionnelle puisqu'elle confirme que ce même plaignant avait présenté un chèque guichet accompagné d'une photocopie de sa pièce d'identité et sa demande a été honorée légalement. Les agents de cette institution regrettent ces accusations gratuites et demandent l'implication de leur administration aux fins d'être protégés et soutenus dans l'exercice de leurs fonctions. Une délégation conduite par le coordinateur d'Algérie Poste s'est rendue sur les lieux pour dénouer la crise. Le travail a repris normalement vers midi, à la grande satisfaction du public. De toute évidence, le personnel de la Grande Poste mérite respect et considération car il exerce dans des conditions difficiles, notamment lors des journées de paye des retraités, des militaires, des policiers, des enseignants et des bourses des étudiants. C'est la seule institution qui fonctionne du samedi au jeudi sans interruption de 8 heures à 19 heures pour répondre aux attentes citoyennes ! Les agents exerçant aux guichets de la Grande Poste du chef-lieu de wilaya ont observé un arrêt de travail durant la matinée de lundi, à la grande surprise des nombreux usagers venus effectuer des retraits de fonds, percevoir ou expédier un mandat, régler la facture du téléphone, etc. Fidèles à leur poste de travail, ils ont fait part de leur ras-le-bol car, selon leurs dires, l'administration reste sourde à leurs doléances qui perdurent dans l'indifférence totale. Ils ont expliqué la justesse de leur action et ont invité les usagers à se rendre aux autres agences postales des cités Mahouna, Karmet, Aïn-Defla et Agabi qui, elles, fonctionnent normalement. Le personnel des guichets de la recette principale se plaint des mauvaises conditions de travail dans lesquelles il se débat : absence d'agents de sécurité aux fins de les protéger des agressions verbales et parfois physiques de certains énergumènes, manque d'eau courante, faiblesse de l'éclairage et, surtout, l'indisponibilité des tiroirs adéquats pour mettre les liquidités en sécurité. Cette carence, inadmissible selon nos interlocuteurs, démobilise les agents des deux sexes qui appréhendent des vols qu'ils devront rembourser impérativement. D'autre part, ils dénoncent l'injustice dont aurait été victime l'une de leurs collègues et ce, suite à une plainte déposée par un usager auprès des services de sécurité pour paiement par ordinateur d'un chèque personnel à une tierce personne. Cette employée, mère de famille et connue pour sa compétence et son sérieux, a été destinataire, durant son travail, d'une convocation des services de police. Cette employée rejette la faute professionnelle puisqu'elle confirme que ce même plaignant avait présenté un chèque guichet accompagné d'une photocopie de sa pièce d'identité et sa demande a été honorée légalement. Les agents de cette institution regrettent ces accusations gratuites et demandent l'implication de leur administration aux fins d'être protégés et soutenus dans l'exercice de leurs fonctions. Une délégation conduite par le coordinateur d'Algérie Poste s'est rendue sur les lieux pour dénouer la crise. Le travail a repris normalement vers midi, à la grande satisfaction du public. De toute évidence, le personnel de la Grande Poste mérite respect et considération car il exerce dans des conditions difficiles, notamment lors des journées de paye des retraités, des militaires, des policiers, des enseignants et des bourses des étudiants. C'est la seule institution qui fonctionne du samedi au jeudi sans interruption de 8 heures à 19 heures pour répondre aux attentes citoyennes !