Le handicap n'étant pas un crime, le respect du handicapé et son accessibilité à une vie normale sont, pour l'association nationale Défi des handicapés moteurs, les principaux éléments ouvrant au handicapé moteur les portes vers une vie normale. Le handicap n'étant pas un crime, le respect du handicapé et son accessibilité à une vie normale sont, pour l'association nationale Défi des handicapés moteurs, les principaux éléments ouvrant au handicapé moteur les portes vers une vie normale. En activité depuis 2003, son travail sur le terrain et son action sans cesse approchée des personnes concernées lui a valu, depuis quelques mois, soit depuis août dernier, le passage de statut d'association locale à e association nationale. Un nouveau grade qui lui attribue de nouvelles prérogatives, non dispensées auparavant. «Être reconnue comme une association nationale est pour nous un pas en avant. Cette promotion nous ouvre des voies nouvelles», affirme la vice-présidente de l'association Daouadji Kenza, juriste de formation. Cette dernière ne cesse de réitérer à perdre haleine la volonté des handicapés qu'elle côtoie dans l'association à fonder leur vie sans avoir constamment recours à un accompagnateur. C'est pourquoi l'aménagement adéquat des espaces publics est la principale entrave qui bloque beaucoup d'entre eux dans l'isolement, dans la monotonie et le laisser-aller des jours qui passent. Ainsi une multitude d'exemples non joyeux sont relatés pour visionner la difficulté qu'éprouve cette catégorie sociale à intégrer son milieu, à suivre sa scolarisation, avoir un travail mais aussi se rendre chez le médecin, à la mairie et à d'autres espaces pourtant de première utilité. Ainsi l'association reçoit régulièrement des chérubins contraints à abandonner leurs écoles car la salle des cours n'est pas au rez de chaussée ou parce qu'il fait objet de complicité entre directeur d'école et médecin scolaire voulant prouver son incapacité physique à suivre les cours ou allant même à lui attribuer une infirmité mentale. Pour les gens de cette association, des situations pareilles ne sont pas nouvelles, bien que si certains sollicitent une intervention, d'autres se laissent faire et subissent dans les coulisses les affres d'un handicap rejeté. L'Association nationale du défi des handicapés moteurs compte jusqu'à l'heure 630 adhérents. «Ce que nous demandons, c'est principalement le respect du handicapé, l'accessibilité, la pension, le transport et l'insertion dans le travail», estime le président de cette association, M.Bouzara Hamza. Lui-même avoue que conformer les trottoirs et autres passages aux besoins d'un handicapé moteur ne figure pas parmi les préoccupations des autorités locales. Il avance, pour preuve, être lui-même contraint, à maintes reprises, d'assurer certains travaux pour se frayer l'accès à certains passages et ce, face à la sourde oreille des autorités locales. Cependant et dans le cadre de l'autofinancement de cette association et par ricochet de la formation professionnelle de ces handicapés, l'association a pour projet l'ouverture d'ateliers de formation dans les métiers manuels. Ces ateliers seront ouverts aussi bien pour les personnes handicapées que les non handicapées, a expliqué Mme Daouadji Kenza En activité depuis 2003, son travail sur le terrain et son action sans cesse approchée des personnes concernées lui a valu, depuis quelques mois, soit depuis août dernier, le passage de statut d'association locale à e association nationale. Un nouveau grade qui lui attribue de nouvelles prérogatives, non dispensées auparavant. «Être reconnue comme une association nationale est pour nous un pas en avant. Cette promotion nous ouvre des voies nouvelles», affirme la vice-présidente de l'association Daouadji Kenza, juriste de formation. Cette dernière ne cesse de réitérer à perdre haleine la volonté des handicapés qu'elle côtoie dans l'association à fonder leur vie sans avoir constamment recours à un accompagnateur. C'est pourquoi l'aménagement adéquat des espaces publics est la principale entrave qui bloque beaucoup d'entre eux dans l'isolement, dans la monotonie et le laisser-aller des jours qui passent. Ainsi une multitude d'exemples non joyeux sont relatés pour visionner la difficulté qu'éprouve cette catégorie sociale à intégrer son milieu, à suivre sa scolarisation, avoir un travail mais aussi se rendre chez le médecin, à la mairie et à d'autres espaces pourtant de première utilité. Ainsi l'association reçoit régulièrement des chérubins contraints à abandonner leurs écoles car la salle des cours n'est pas au rez de chaussée ou parce qu'il fait objet de complicité entre directeur d'école et médecin scolaire voulant prouver son incapacité physique à suivre les cours ou allant même à lui attribuer une infirmité mentale. Pour les gens de cette association, des situations pareilles ne sont pas nouvelles, bien que si certains sollicitent une intervention, d'autres se laissent faire et subissent dans les coulisses les affres d'un handicap rejeté. L'Association nationale du défi des handicapés moteurs compte jusqu'à l'heure 630 adhérents. «Ce que nous demandons, c'est principalement le respect du handicapé, l'accessibilité, la pension, le transport et l'insertion dans le travail», estime le président de cette association, M.Bouzara Hamza. Lui-même avoue que conformer les trottoirs et autres passages aux besoins d'un handicapé moteur ne figure pas parmi les préoccupations des autorités locales. Il avance, pour preuve, être lui-même contraint, à maintes reprises, d'assurer certains travaux pour se frayer l'accès à certains passages et ce, face à la sourde oreille des autorités locales. Cependant et dans le cadre de l'autofinancement de cette association et par ricochet de la formation professionnelle de ces handicapés, l'association a pour projet l'ouverture d'ateliers de formation dans les métiers manuels. Ces ateliers seront ouverts aussi bien pour les personnes handicapées que les non handicapées, a expliqué Mme Daouadji Kenza