Tizi-Ouzou abrite, depuis hier, un colloque scientifique sur la vie et l'œuvre de Kateb Yacine. Organisée par le comité des activités culturelles et artistiques de la wilaya de Tizi-Ouzou, cette manifestation se poursuivra aujourd'hui pour la deuxième et dernière journée à la maison de la culture, Mouloud-Mammeri. Le colloque est placé sous le haut patronage du ministère de la Culture. Kateb Yacine, poète, romancier, journaliste et dramaturge algérien, est né en 1929 à Constantine. Les violentes émeutes du 08 mai 1945 constituent un tournant dans sa vie, sa mère en est affectée puisqu'elle sombre dans la folie. Il a 17 ans lorsqu'il rencontre sa cousine Nedjma avec laquelle il ne peut s'unir, celle-ci étant mariée. Après avoir publié nombre de publications en France, il tente une expérience journalistique à Alger républicain. Très tôt, il accède à la notoriété, surtout en 1966, en publiant Nedjma. Au programme : Dimanche 27 décembre 2009, au petit théâtre : ouverture officielle. Visite guidée des expositions (photographies, articles de presse) et témoignages de Fadhila Kateb (sœur de Kateb Yacine), Hadj Slimane Brahim (ami de Kateb Yacine), Aggoune Arab (ancien étudiant à l'université de Tizi Ouzou), Madame veuve et fils de Ali Zammoum (ami de Kateb Yacine), lecture par Tayeb Bouamar de "Nedjma Kateb" traduit du livre "Dans la gueule du loup" de Monique Enckelle, tiré des œuvres de Kateb Yacine. Après-midi : conférences et débats animés par Saim Boussad, enseignant de littérature à l'ENS Alger sous le thème "Les couleurs obsédantes dans le contexte katébien". Belhassef Messaoud, enseignant de littérature française à l'université de Guelma et ancien correspondant d'Algérie républicain, sous le thème "Soliloque : le meilleur présent". Hamoudi Rachid ancien journaliste, sous le thème "Kateb Yacine et la presse algérienne". Madame Ghebalou Haraoui, enseignante au département de français à l'université de Bouzaréah d'Alger sous le thème "Une lecture de Nedjma". 15 h à la grande salle de la maison de la culture Mouloud- Mammeri : projection d'un film documentaire intitulé "L'homme des certitudes, poètes des opprimés" par Ali Fateh Ayadi, texte de Omar Mokhtar Chaâlal et pour la journée de lundi 28 décembre 2009 à 9 h, conférences et débats animés par Mokhtari Rachid, écrivain et journaliste sous le thème "08 Mai 1945 et le soliloque". Boukhelou Malika, enseignante au département de littérature française de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou sous le thème "Signe du mythe et l'historisation". Batouche Aini, enseignante au département de littérature française de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou sous le thème "Passion amoureuse dans Nedjma de Kateb Yacine". Belkhamssa Karima enseignante au département de littérature et langue arabe à l'université de Béjaïa sous le thème "Le récepteur dans le discours de Kateb Yacine". La grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Présentation d'une pièce théâtrale par la troupe "Les compagnons de Nedjma" de Sétif et clôture avec un gala artistique animé par la troupe Debza. Tizi-Ouzou abrite, depuis hier, un colloque scientifique sur la vie et l'œuvre de Kateb Yacine. Organisée par le comité des activités culturelles et artistiques de la wilaya de Tizi-Ouzou, cette manifestation se poursuivra aujourd'hui pour la deuxième et dernière journée à la maison de la culture, Mouloud-Mammeri. Le colloque est placé sous le haut patronage du ministère de la Culture. Kateb Yacine, poète, romancier, journaliste et dramaturge algérien, est né en 1929 à Constantine. Les violentes émeutes du 08 mai 1945 constituent un tournant dans sa vie, sa mère en est affectée puisqu'elle sombre dans la folie. Il a 17 ans lorsqu'il rencontre sa cousine Nedjma avec laquelle il ne peut s'unir, celle-ci étant mariée. Après avoir publié nombre de publications en France, il tente une expérience journalistique à Alger républicain. Très tôt, il accède à la notoriété, surtout en 1966, en publiant Nedjma. Au programme : Dimanche 27 décembre 2009, au petit théâtre : ouverture officielle. Visite guidée des expositions (photographies, articles de presse) et témoignages de Fadhila Kateb (sœur de Kateb Yacine), Hadj Slimane Brahim (ami de Kateb Yacine), Aggoune Arab (ancien étudiant à l'université de Tizi Ouzou), Madame veuve et fils de Ali Zammoum (ami de Kateb Yacine), lecture par Tayeb Bouamar de "Nedjma Kateb" traduit du livre "Dans la gueule du loup" de Monique Enckelle, tiré des œuvres de Kateb Yacine. Après-midi : conférences et débats animés par Saim Boussad, enseignant de littérature à l'ENS Alger sous le thème "Les couleurs obsédantes dans le contexte katébien". Belhassef Messaoud, enseignant de littérature française à l'université de Guelma et ancien correspondant d'Algérie républicain, sous le thème "Soliloque : le meilleur présent". Hamoudi Rachid ancien journaliste, sous le thème "Kateb Yacine et la presse algérienne". Madame Ghebalou Haraoui, enseignante au département de français à l'université de Bouzaréah d'Alger sous le thème "Une lecture de Nedjma". 15 h à la grande salle de la maison de la culture Mouloud- Mammeri : projection d'un film documentaire intitulé "L'homme des certitudes, poètes des opprimés" par Ali Fateh Ayadi, texte de Omar Mokhtar Chaâlal et pour la journée de lundi 28 décembre 2009 à 9 h, conférences et débats animés par Mokhtari Rachid, écrivain et journaliste sous le thème "08 Mai 1945 et le soliloque". Boukhelou Malika, enseignante au département de littérature française de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou sous le thème "Signe du mythe et l'historisation". Batouche Aini, enseignante au département de littérature française de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou sous le thème "Passion amoureuse dans Nedjma de Kateb Yacine". Belkhamssa Karima enseignante au département de littérature et langue arabe à l'université de Béjaïa sous le thème "Le récepteur dans le discours de Kateb Yacine". La grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Présentation d'une pièce théâtrale par la troupe "Les compagnons de Nedjma" de Sétif et clôture avec un gala artistique animé par la troupe Debza.