Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé, hier, la loi de finances de l'exercice 2010 qui prévoit des dépenses budgétaires de l'ordre de 5.860 milliards DA. La cérémonie officielle de la signature par le chef de l'Etat s'est déroulée au siège de la présidence de la République en présence de hauts responsables de l'Etat et des membres du gouvernement. L'Assemblée populaire nationale (APN) avait adopté le 1er décembre dernier le projet de loi de finances 2010, suivie deux semaines plus tard par le Conseil de la nation. Le texte prévoit des recettes estimées à 3.081 milliards DA et des dépenses budgétaires de l'ordre de 5.860 milliards DA, dont 2.838 milliards DA pour le fonctionnement et 3.022 milliards DA pour l'équipement. Le texte de la loi de finances, qui prévoit également de nombreuses mesures à caractère social, met en place de nouveaux dispositifs visant à favoriser l'investissement, alléger la pression fiscale et lutter contre le chômage. Le cadrage macroéconomique de ce texte de loi repose sur un taux de croissance prévisionnel du PIB de 4% (5,5% hors hydrocarbures), un prix moyen de baril de pétrole de 37 dollars, un taux d'inflation de 3,5%, et des importations de près de 37 milliards de dollars. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé, hier, la loi de finances de l'exercice 2010 qui prévoit des dépenses budgétaires de l'ordre de 5.860 milliards DA. La cérémonie officielle de la signature par le chef de l'Etat s'est déroulée au siège de la présidence de la République en présence de hauts responsables de l'Etat et des membres du gouvernement. L'Assemblée populaire nationale (APN) avait adopté le 1er décembre dernier le projet de loi de finances 2010, suivie deux semaines plus tard par le Conseil de la nation. Le texte prévoit des recettes estimées à 3.081 milliards DA et des dépenses budgétaires de l'ordre de 5.860 milliards DA, dont 2.838 milliards DA pour le fonctionnement et 3.022 milliards DA pour l'équipement. Le texte de la loi de finances, qui prévoit également de nombreuses mesures à caractère social, met en place de nouveaux dispositifs visant à favoriser l'investissement, alléger la pression fiscale et lutter contre le chômage. Le cadrage macroéconomique de ce texte de loi repose sur un taux de croissance prévisionnel du PIB de 4% (5,5% hors hydrocarbures), un prix moyen de baril de pétrole de 37 dollars, un taux d'inflation de 3,5%, et des importations de près de 37 milliards de dollars.