Depuis quelques jours, les « services » de ce régime aux abois, lâche sa meute d'agents contre notre site, s'attaquant, plus particulièrement à ses trois animateurs que sont Salah-Eddine Sidhoum, Djameleddine Benchenouf et Abdelkader Dehbi. Ils tentent par des insultes et des accusations (les mêmes utilisées par la police politique et leurs extrémistes éradicateurs durant les années 90), de semer le doute, de les discréditer et de porter atteinte à leur long combat contre ce régime illégitime. Que les « services » et leurs agents attitrés et serviles sachent que nous ne sommes pas nés de la dernière pluie pour ne pas comprendre ces grossières manipulations déstabilisatrices. Ce site dérange ! Il ne dérange pas seulement le régime. Il dérange aussi les faux démocrates et les chauves-souris politiques qui ont servi les desseins de ce pouvoir honni et qui n'ont aucun ancrage populaire. Ce site dérange car à travers l'Appel du 19 mars 2009, il constitue un véritable creuset où se retrouvent toutes les Algériennes et les Algériens dignes et sincères, de tous les courants politiques sans exclusion. Les débats fraternels qui s'y déroulent, touchant à toutes les questions politiques, sans tabou, ont clairement montré que les Algériens savaient s'écouter et débattre dans la fraternité, sans insultes ni invectives. Et cela trouble grandement ce régime et ses chauves-souris politiques. Ils sont malades de voir des sociaux-démocrates, des islamistes, des nationalistes, des laïques et non laïques, des athées et des croyants, des arabophones et des francophones, des arabes, kabyles, mozabites et chaouis discuter ensemble des problèmes qui se posent à leur cher pays et de réfléchir aux solutions d'avenir. C'est cauchemardesque à leurs yeux ! Nous poursuivrons notre lutte politique pacifique avec toutes les Algériennes et tous les Algériens authentiques sans exclusion aucune, pour une Algérie de toutes et de tous, libre et radieuse. Et les gesticulations stériles et les vaines provocations montrent bien que nous sommes sur la bonne voie.