Quel(s) Clan(s) est/sont derrière cette « provocation » qui coincide avec l'Anniversaire de l'Assassinat de Matoub ? La Stratégie de la tension se terminera-t-elle à « l'endroit des enjeux politiques », en l'occurence La Kabylie, après deux décennies à « l'endroit des enjeux économiques », les terres fertiles à spolier et partager à coups de massacres de masse(1995-97) à La Mitidja, Tiaret, etc.où la la Guerre civile a commencé (et continue) ? Y'a-t-il un seul Clan à l'oeuvre, qui manipule(la ruse) et frappe(la force), qui pratique la ruse et la force à la fois ? Ou bien deux Clans, pour l'un c'est la « ruse » (manipulations, propagande, etc.) et pour l'autre « la force » (incursions, meurtres, kidnappings, etc.). Autant de « vraies questions » auquelles nous devons trouver les « bonnes réponses ». Nous savons que le Régime militaire frappe à sa guise car le terrain est propice. Les KDS, ces Kabyles De Service, les alliés locaux des Généraux mafieux ont fait un travail de sappe, de division, émiètement, atomisation, dispersion…c'est la mission attribuée à ces faux-opposants et pseudo-démocrates depuis 1989, date de ce « façonage artificiel » du champs politique inauguré par l'instigation de micro-partis dans les Laboratoires de la Sécurité militaire…Ces ponce-pilates sont dans la stratégie des Maitres du DRS qui visent à:1) diviser et isoler la Kabylie ;2)diviser et neutraliser l'Opposition oppositionnelle ;3)renforcer et perpétuer la domination de la « caste militaro-mafio-bureaucratique sur la société » . Ce Régime corrolle toute une « grammaire de la violence », une violence variable, tributaire de certaines circonstances spécifiques, et même des humeurs, mais surtout du « cours du baril », ainsi quand la rente pétrolière est importante, tout les Galonnés ont leurs parts, dès que ça chute, la violence redouble de férocité… Faisons attention à ne pas tomber dans le piège du Régime militaire: il faut penser et agir « national, algérien », tous ensemble pour …sortir de la nuit, mettre fin ce Pouvoir militaro-mafieux qui asphyxie l'Algérie toute entière, toutes les régions. Pour ce faire, l'Opposition oppositionnelle doit lutter pour réduire « l'écartement des postions » induit par les « extrémistes de tous bords » qui font qu'aujourdui la dispersion, la division, l'émiettement, l'atomisation sont à tel point qu'il est difficile de trouver dans l'immédiat les convergences, les compromis et les coordinations nécessaires au déclenchement de la fronde révolutionnaire à l'image de nos frères tunisiens, égypteins et syriens…Tant que les diverses mouvances n'ont pas pu « isoler leurs extrémistes », ça profite aux Généraux! Lectures: