La Direction générale de la Sûreté nationale nie toutes les accusations de violences émises à l'encontre de ses éléments. La DGSN dément, par le biais d'un communiqué remis par Djillali Boudalia, chargé de la communication de cette institution, «les cas présumés de mauvais traitements». «Cela est faux, il n'y a pas eu d'actes de violence perpétrés contre les citoyens. Les éléments de la Sûreté nationale sont tenus d'exercer leurs fonctions dans le respect des droits de l'homme», est-il affirmé dans le document. Ce qui répond, selon le communiqué, aux directives du DGSN en personne, qui «n'accepte aucun comportement qui contrevient à l'éthique de la sécurité nationale, la dignité des citoyens devant passer avant toute autre considération». Pour ce qui est du maintien de brigades sur les lieux, la DGSN l'explique par des mesures qui relèvent «des fonctions de sauvegarde et de restauration de l'ordre public. De même, ce dispositif vise à assurer les biens privés et des installations publiques». Ghania Lassal Lectures: