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Les dessous de nos nouveaux « ministres » (1) : La presse algérienne: banditisme intellectuel, lâcheté et Djezzy !
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 06 - 05 - 2014


http://ffs1963.unblog.fr/
7 août, 2009 Posté dans Libre débat,Presse et médias en Algérie
Par Mahmoud Belhimer, ancien rédacteur en chef-adjoint d'El Khabar et fondateur d'El Fedjr
Je tiens d'abord à saluer et encourager les journalistes qui travaillent encore en Algérie dans des conditions médiocres et essayent de dire des vérités malgré tout ce que vous connaissez.
Effectivement, les gens comme la personne que vous venez de citer (Anis Rahmani), (je n'ose pas citer son nom), ont donné à notre presse l'image de «banditisme intellectuel». Ils ont détourné et trahi les sacrifices de Omar Ouartilane, Said Mekbel, Allaoua, Tahar Djaout, Smail Yefsah... En fin de compte, ils ont aidé le pouvoir à mettre la presse dans sa poche en négociant notre liberté contre la rente. Ils ont confisqué une liberté chèrement payée par les Algériens.
Mais, je veux bien qu'ils s'affrontent de cette façon par torchons interposés. Nous allons tous découvrir des choses, bien que leurs histoires sont si connues et visibles. Maintenant, j'aimerai bien qu'Ennahar écrira sur El fedjr, journal dont je suis membre fondateur et rédacteur en chef-adjoint durant deux ans. Sa directrice, Hadda Hazzam, qui se présente comme une femme moderne, démocrate et militante des droits et des libertés, m'a obligé à aller chercher un travail dans un autre journal pour subvenir à mes besoins. Elle m'a privé de mon salaire en me disant: «Toi tu est actionnaire, donc tu n'as pas le droit à un salaire». Je lui ai dit que je ne peux pas vivre comme ça et qu'elle doit faire la différence entre être salarié et être actionnaire. Il fallait attendre 4 ans pour percevoir les dévidendes... Lorsqu'on j'ai réclamé mes droits, elle m'a chassé du journal que j'ai crée avec d'autre amis. Lorsque j'ai quitté El Fedjr, Hadda Hazzam a fait appel à Anis Rahmani qu'elle insulte aujourd'hui. Avec mon ami Zaidi (llah irahmou), elle nous a traîné devant les tribunaux pendant 3 ans, pour récupérer nos salaires d'une année. Et pour nos actions, elle s'est accaparée de la totalité.
J'ai vécu aussi un autre problème lié à la pression qu'exerce sur la presse les pouvoirs financiers. Ces derniers menacent notre presse jusqu'à sa mise à genoux. Vous connaissez tous un certain Hamid Grine, directeur de la communication de Djezzy. Ce monsieur, fort de sa position de distributeur de la mane publicitaire: pages de pub, puces, voyages, a « colonisé » tous les journaux (TAHANHOUM). Il est le vrai rédacteur en chef; il peut même licencier des journalistes, les affecter et choisir ceux qui couvrent les activités de Djezzy. La presse a fait de lui un grand romancier dépassant les écrivains connus comme Rachid Boudjedra et...le grand Balzac !!. Le malheur est que toute la presse a accepté de sacrifier sa liberté contre quelques téléphones mobiles, pages de pub offertes par Grine. Les patrons des journaux acceptent TEHINet ERROUKHSS. La presse algérienne peut critiquer Toufik, l'homme fort du DRS, mais jamais Djezzy. Comme écrivait un jour mon ami Hassene Moali d'Elwatan. !!
Hamid Grine a crée beaucoup de problèmes à des journalistes honnêtes qui refusent de collaborer avec lui dans ce jeux de bandits et de rentiers, comme mon ami Faycel M'djahed de Liberté, qui a du quitter son journal à cause de lui. Et bien sûr, moi aussi il essayait de me créer des problèmes lorsque j'été rédacteur en chef adjoint à El khabar. Il a demandé à mes responsables de me licencier si non Djezzy cessera de donner la pub à El khabar. Une menace d'asphyxier financièrement puisque les revenus de la pub de DJezzy à El khabar dépassent les 2 milliards de centimes par mois !! Heureusement que les responsables du journal étaient à mes cotés.
Je vais partager avec vous ces SMS que j'ai eu à échanger avec ce «Grand écrivain romancier» que je garde pour l'histoire de notre presse.
Hamid Grine, chargé de la communication à Djeezy, m'envoie un message le lundi 13 mars 2006 à 22h 30mn, voici le texte: «Tu censure nos communiqués, j'en informe Ali» (Ali est le PDG d'El khabar). Ma réponse par SMS: «Réponse: 1. c'est moi qui ai insisté pour que le communiqué sortira demain. 2. Daz Maahoum Anta waali djerri Taak 3. Je suis responsable à El khabar et je ne serais jamais un esclave de Djeezy. 4. et fin, je ne vais jamais être acheté par une puce, portable, dîner, ou même un voyage à l'étranger. Mahmoud Belhimer». Hamid Grine, envoie ce message à mes responsables à El khabar et m'envoie un autre SMS: «C'est un message de voyou, je ne m'abaisserai pas à ton niveau, On ne joue pas dans la même division, je demanderai des sanctions à Ali que tu insultes.».
Ma réponse par SMS: «1. le voyou c'est ce lui qui menace un journaliste pour publier un communiqué. 2. le niveau ? Oui,, un Huntington de Djeezy qui se croit le seul détenteur du monopole du savoir! 3. Ta division, c'est les Zéro. 4. et fin. Encore une fois, Daz Maahoum 200 pour 100. Mr Belhimer ». Himid Grine continue dans la provocation et l'insulte par SMS toujours, et envoi ceci. «Nedjma te paye combien». (J'ai un numéro Nedjma) J'ai décidé de ne pas répondre après insistance de mes responsables.
Voila mes amis une histoire parmi autres, mais ce que je souhaite est qu'Allah me donne le temps et la santé pour écrire sur ma modeste expérience. J'aimerai bien que des collègues, ouled familiya, fassent la même chose.


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