Ils se prennent pour «la nouvelle vague» du cinéma algérien. Mais leurs films, après quelques prix par-ci, par-là, finissent aux oubliettes. Les autres, ceux qui semblent avoir choisi le créneau du téléfilm, ne sont pas meilleurs. A vrai dire, ils sont pires et on se demande s'ils regardent, de temps en temps, les navets qu'ils ont eux-mêmes réalisés. Pendant ce temps, les Algériens, sur les réseaux sociaux notamment, demeurent branchés sur les films de l'Inspecteur Tahar, de Boubagra et surtout sur Le clandestin et Carnaval fi dechra, avec l'inimitable Athmane Ariouet. K. B. [email protected]