Chaque séquence politique a, en Algérie, ses concepts et mots fétiches. Des traceurs à l'encre invisible. On a connu la période du «complot ourdi». On a connu aussi l'époque des «milieux ricanant». On se souvient aussi du temps du «cabinet noir». Maintenant un nouveau truc est entré dans le langage de la transparence à l'algérienne : «Les cercles occultes.» On ne lit que ça. Les cercles occultes, c'est qui ? A. T. [email protected]