Parrainé par la présidence de la République et le ministère de l'Energie, la seconde édition du Salon de l'électricité et des énergies renouvelables ouvrira ses portes du 10 au 13 février prochain. Axé principalement sur l'électricité, le salon intègre également le secteur des énergies renouvelables (éolienne et solaire). Un événement d'importance dans le sillage des grands projets structurants lancés par le gouvernement. Cependant, de nombreuses entreprises et même des foyers domestiques s'intéressent de plus en plus à l'éventualité de se doter en matériel de production d'énergie solaire beaucoup plus propre et propice à alléger les factures d'électricité. Un salon qui draine donc tout type de public, et qui s'est vu gratifié de 20 000 visiteurs dans son édition première de l'an dernier. L'événement permettra de mettre en avant les dernières innovations et avancées technologiques dans les domaines de la production, distribution, transmission et stockage de l'énergie, dans l'éclairage, mais aussi dans les énergies renouvelables. Des exposants producteurs d'appareillage de tests et de mesures, d'outillage et matériel de sécurité pour l'électricité, la domotique, l'électricité domestique, entre autres, seront également présents. Cette année, 120 exposants comptent parmi les participants (contre 80 l'an dernier), et les étrangers qui seront présents viennent d'Allemagne, de France, de Tunisie, de Chine, d'Arabie Saoudite, et d'Espagne, et seront accompagnés de leurs ambassades. Trois jours de programmes riches en conférences tenues par des scientifiques et spécialistes, nationaux et étrangers, qui permettront entre autres la vulgarisation de ces nouvelles technologies qu'il faut adopter dans le cadre de la modernisation, d'une politique écologique, mais également de la diversification de l'économie. Le salon ouvrira ses portes également aux étudiants de diverses universités du pays à travers des clubs scientifiques, dans la logique de la thématique du salon axant sur le développement des ponts entre monde universitaire et monde du travail. N. M.