Avec 4,05 mètres de long, la Peugeot 208 de seconde génération est plus longue de 7 cm par rapport à l'ancienne. Elle est également plus basse de 3 cm. Esthétiquement, la nouvelle lionne reçoit un capot sculpté plus long, des projecteurs incisifs et des «griffes» en guise de feux de jour. La poupe est marquée par un large bandeau. A l'image, la version GT Line arbore un becquet de toit, une double sortie d'échappement, des jantes de 17 pouces ou encore des projecteurs à trois griffes. A bord, l'i-Cockpit évolue. Peugeot annonce une instrumentation 3D sur les versions haut de gamme. L'écran tactile central est, lui, disponible en 5, 7 ou 10 pouces. Dès le niveau Active, la planche de bord est moussée. On retrouve les touches piano au niveau de la console centrale. Cinq niveaux de finition : Access, Active, Allure, GT Line et GT. Techniquement, la nouvelle plateforme CMP est plus légère de 30 kilos par rapport à la précédente. L'empattement est, lui, identique. A noter qu'une version électrique e-208 est proposée dès le lancement. Comme le cousin DS 3 Crossback E-Tense, elle revendique 136 chevaux et 260 Nm. Les versions thermiques ne sont pas oubliées. Peugeot propose trois moteurs 3 cylindres 1.2 litre essence : PureTech 75 BVM5, PureTech 100 BVM6 ou EAT8 et PureTech 130 EAT8. Tous reçoivent le Stop&Start. Côté diesel, le seul bloc au catalogue est le 4 cylindres 1.5 BlueHDi 100 BVM6. Côté équipements, la nouvelle 208 pourra disposer du régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go en boîte EAT8. Un système qui a tendance à se généraliser et propose une conduite semi-autonome dans les embouteillages. Sans oublier l'alerte d'attention du conducteur, le système de surveillance d'angle mort, la reconnaissance des panneaux ou le Full Park Assist qui gère la direction, l'accélération et le freinage pour entrer et sortir d'une place de parking. Elle sera officiellement présentée au Salon de l'automobile de Genève (7 au 17 mars 2019).