Dernièrement, je suis passé par un bois de cyprès plantés par les Français à Alger. Incroyable, mais pourtant vrai ! Un oiseau invisible sur un arbre chante la mélodie du refrain de la chanson The Rhythm of the night de Corona. Si cet oiseau chanteur est un perroquet «évadé», il a peut-être entendu cette mélodie à la radio dans une maison. Peut-être aussi que le compositeur de The Rhythm of the night s'est inspiré du chant d'un oiseau «anonyme». A moins que ce ne soit une simple coïncidence. Petite précision : l'oiseau chantait le refrain de The Rhythm of the night (le rythme de la nuit) en plein jour. K. B.