D�aucuns n�auraient class� cette route reliant en partie l�axe Dra�-El Mizan - Boghni - Ouadhias en nationale. Pourtant, c�est bel et bien le cas ! C�est la RN30, qui logiquement devrait disposer d�un budget d�entretien beaucoup plus cons�quent que les CW (de wilaya) et les CC (communaux). Ainsi, en plus de son atroce �troitesse nonobstant l�exponentiel trafic automobile qu�il conna�t, ce chemin qui traverse plusieurs municipalit�s est terni, de prime abord, par l�absence de viabilisation de ses abords dans plusieurs endroits o� le drainage des eaux pluviales est quasiment absent au niveau de plusieurs tron�ons. Ensuite, c�est pr�cis�ment au niveau des agglom�rations que cette plus importante route du sud de la wilaya de Tizi-ouzou reste � la limite de l�impraticable. Jugeons-en : au niveau du chef-lieu de la commune de Mechtras, et curieusement en face du si�ge de l�APC, donc de la premi�re autorit� publique, le bitume est incroyablement jonch� de nids-de-poule, de �dos d��ne�.C�est donc tout au long de cette �ville� qu�on risquerait de perdre un bon quart d�heure (un sacr� temps surtout pour une route nationale) pour pouvoir la traverser. Dans la commune de Tizi-n�Tleta, c�est exactement le m�me topo au niveau du carrefour menant vers A�t- Bouaddou et A�t-Abdelmoum�ne. Cela risque d�irriter le plus patient des milliers d�usagers qui traversent cet itin�raire quotidiennement. Aussi, les villes de A�n-Zaou�a et Dra�-El- Mizan, sises plus � l�est, connaissent aussi la m�me situation. C�est dire que pour l�heure, en plus de l�incompr�hension des usagers quant � ce laxisme dans l�entretien de ce grand axe routier sis sur cette vall�e du Djurdjura, tout le monde condamne � la fois la direction des travaux publics sans omettre de tirer � boulets rouges sur les innombrables �lus des municipalit�s concern�es, mais aussi de ceux si�geant � l�APW, voire � l�APN et originaires de cette contr�e. A bon entendeur... Amayas idir Enqu�te au centre ADE de Bouzegu�ne Branle-bas de combat au centre ADE de Bouzegu�ne, objet d�une enqu�te ouverte depuis une dizaine de jours par la direction g�n�rale d�Alger qui a d�p�ch� un enqu�teur et une brigade anti-fuites. Tout serait parti, selon diverses sources, d�une lettre anonyme d�non�ant des anomalies dans la gestion du r�seau avec comme cons�quence des r�clamations quotidiennes de citoyens subissant des p�nuries d�eau r�p�titives. M�me certains surveillants du r�seau ne sont pas �pargn�s par les critiques. Tout comme les nouveaux r�seaux de l�hydraulique qui ne sont pas �pargn�s par les reproches acerbes des citoyens. Les r�sultats de l�audit interne seront connus mardi, affirme une source locale qui temp�te sur �la d�gradation du nouveau r�seau� malgr� les 25 milliards du projet.