A Monsieur le directeur de l'agence CNR Alger-Est, 12, rue Bab Azzoun — Alger-Centre. En date du 28 août 2019, âgée de 60 ans, mon épouse a déposé son dossier d'allocation de retraite avec les ATS établies par ses ex-employeurs du «secteur étatique». Après une attente de 10 mois, inquiète de ce retard, les circonstances dues à la pandémie qui sévit et sa santé (maladies chroniques), ne pouvant se déplacer, elle a introduit une doléance par le biais du «Soir retraite», édition du Soir d'Algérie datée du 23 juin 2020. Sur ce, j'ose encore vous importuner quant à la suite qui a été réservée par vos services, par une simple notification de rejet datée du 25 juin 2020, parvenue le 4 juillet 2020 pour le motif «trimestres insuffisants pour prétendre à une allocation de retraite !!!!!!!», et ce, sans aucune information sur l'employeur concerné : «ministère des Transports ou Kahrif» , pour nous permettre d'y prendre attache !!! C'est regrettable de se retrouver dans une telle mésaventure administrative. En toute sincérité, je ne peux mettre en doute le dévouement moral et professionnel de certains gestionnaires de ces entités, ni ceux de la CNR qui doivent veiller à la validation de leurs droits aux retraités, «traités dans certaines conditions» après tant d'années de loyaux services et leur contribution «cotisations CNR-Cnas», et renflouer les caisses du Trésor public «IRG». S'agissant d'une situation interne au secteur étatique qui a établi des ATS à cette retraitée qui ne peut être impliquée dans le dysfonctionnement de gestion entre les administrations étatiques, elle a fourni ses ATS avec «presque 8 ans de services» : elle ouvre droit à l'allocation de retraite et continuera à contribuer lorsqu'elle sera admise «Inchallah». Si la CNR considère que ces ATS fournies ne sont pas authentiques, elle est en droit de saisir qui de droit, au lieu de pénaliser une retraitée qui a versé ses cotisations «déduites de son salaire». J'ai pris la décision de répliquer à ce rejet, en lieu et place de mon épouse qui ne peut être avisée par cette désagréable réponse de la CNR, afin de lui éviter toute complication de santé. A cet effet, je fais appel aux administrations citées, leur tutelle, la FNTR, qu'il est souhaitable de trouver une solution aux rejets de dossiers des retraités ayant fourni des ATS «secteur étatique ou privé» par la prise en charge par le service vérification «contrôle» de la CNR qui doit déléguer un vérificateur auprès de l'organisme employeur qui a délivré l'ATS, les retraités «contribuables», âgés et fatigués, doivent être ménagés par cette simple formalité à accomplir par la CNR, auprès des employeurs, pour la validation des périodes exercées. Dans l'attente, salutations. M. Khegar menad, Eucalyptus, wilaya d'Alger Réf. n° pré-liquidé 121709 Précisions de Djilali Hadjadj Dans «Le Soir retraite» du 30 juin 2020, nous avions publié un courrier de Mme Lazazi Djamila qui attendait depuis 10 longs mois une réponse de l'agence CNR d'Alger-Est (rue Bab Azzoun). Cette dernière se «réveille» en adressant une notification de rejet datée du 25 juin 2020 (antidatée ?), reçue par l'intéressée le 4 juillet 2020, soit 4 jours après la publication de ce courrier : «trimestres insuffisants pour prétendre à une allocation de retraite». Bizarre !! Mme Lazazi Djamila a travaillé dans un ministère et dans un organisme public, donc des cotisations «retraite» ont été versées pendant cette période : est-ce que l'agence CNR d'Alger-Est a fait les recherches nécessaires pour établir un relevé de carrière de l'intéressée en bonne et due forme ? A moins d'en vouloir à Mme Lazazi Djamila d'avoir sollicité Le Soir d'Algérie (espace «Retraite») pour faire valoir ses droits ? Dans notre «réponse» le 30 juin 2020 au courrier de Mme Lazazi Djamila, nous nous étions permis d'interpeller directement le ministre en charge des retraites : nous le refaisons encore une fois ! Affaire à suivre...