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JE TRAVAILLE :
�SOS, o� laisser mes enfants ?�
Publié dans Le Soir d'Algérie le 15 - 09 - 2010

Finis les vacances, le farniente et surtout l�insouciance. La fin des cong�s est doublement stressante lorsqu�il faut, en plus de reprendre le chemin du bureau, trouver une solution pour la garde des enfants. Une entreprise qui peut rapidement virer au dilemme, voire au cauchemar�
Nawal Im�s - Alger (Le Soir) - Le mois de septembre est synonyme d�angoisse pour beaucoup de p�res et de m�res de famille. Et pour cause : ils doivent absolument �caser� leur prog�niture avant de reprendre le travail. L�absence de structures d�accueil et de solutions adapt�es met les parents dans des situations intenables et les pousse souvent � faire des choix qui ne correspondent pas toujours � leurs aspirations.
Priv� ou public ?
Premi�re question � laquelle sont confront�s les parents, le choix de la structure d�accueil. Faut-il mettre les enfants dans une cr�che priv�e ou publique ? La r�ponse est loin d��tre �vidente. Les parents p�sent longtemps le pour et le contre avant d�opter pour l�une ou l�autre des options. Les structures priv�es pullulent mais ne sont pas toujours conformes aux normes. Certaines sont situ�es dans des caves d�immeuble, d�autres sont d�pourvues de cour mais accueillent tout de m�me des enfants en pratiquant des tarifs exorbitants. Leurs responsables exigent des parents le paiement de frais d�inscription pas du tout justifi�s sans compter une mensualit� calcul�e sur des bases jamais connues. Les prestations n�y sont pas toujours � la hauteur des aspirations des enfants. Il n�est pas rare que des parents se plaignent que leurs enfants soient mal pris en charge ou que le menu affich� ne corresponde pas du tout � ce que les enfants ont eu dans leurs assiettes. Avec une quarantaine de structures implant�es � travers les communes, celles publiques offrent une alternative. Les prix y sont moins exorbitants, et avec une exp�rience de plus de quarante ann�es, ces structures ont fini par rivaliser avec le priv� dont le blason a �t� terni par les mauvaises exp�riences des uns et des autres. Encore faut-il y trouver une place. Les parents les moins chanceux ou qui ne s�y prennent pas � temps n�ont pas d�autre alternative que de se rabattre sur les nourrices.
La nounou comme alternative
L� encore, c�est le parcours du combattant. Ce sont les mamans qui ont la lourde t�che de sonder le voisinage � la recherche d�une �bonne nourrice�. Entreprise difficile car l�activit� est � 100 % informelle. Aucun organisme ne garantit les prestations des nourrices ou ne v�rifie leurs r�f�rences. Toutes les femmes sans emploi peuvent s�improviser gardes d�enfants. Elles comptent sur le bouche-�-oreille pour attirer les mamans ne sachant o� caser leurs enfants. Les mamans sont r�duites au m�me syst�me D : elles doivent faire confiance aux t�moignages des uns et des autres avant de confier leurs enfants aux soins d�une �trang�re aux comp�tences pas du tout av�r�es. Les mamans contraintes d�opter pour les nounous n�ont pas eu que de tr�s bonnes exp�riences. En l�absence de toute norme, il n�est pas rare que la nourrice apprenne � la maman en cours d�ann�e qu�elle doit finalement recevoir d�autres enfants en m�me temps que le sien. Certaines en gardent jusqu�� six dans un appartement. En plus de ne faire aucune activit� p�dagogique, les enfants ne sont pas � l�abri des accidents domestiques. La liste des d�sagr�ments ne s�arr�te pas l� puisque des nounous n�h�sitent pas � informer le matin m�me les mamans que, finalement, elles ne garderaient pas les enfants car ayant �un emp�chement �. Une gal�re pour les mamans � moins qu�elles aient eu la chance de tomber sur une perle rare. Apr�s avoir test� ce mode de garde, beaucoup de parents finissent par se rabattre sur un membre de la famille.
La mamie, ultime recours
Les grands-m�res, les tantes sans emploi constituent �galement l�autre solution. L�avantage ? Confier ses enfants � un membre de la famille avec lequel on partage les m�mes valeurs et sur qui on peut compter. Mais la formule n�a pas que des avantages : les enfants en bas �ge se retrouvent, tout comme chez les nounous, enferm�s dans des appartements, c�toyant exclusivement des grandes personnes � un �ge o� ils ont besoin de rencontrer des enfants de leur �ge. Un inconv�nient que les parents minimisent en tablant sur la qualit� de la prise en charge de leurs enfants et sur le lien affectif avec les grands-parents.


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