Dans une longue p�tition adress�e au chef de l�ex�cutif, les citoyens et les notables de B�ni-Snous tirent la sonnette d�alarme sur un grave danger de pollution qui menace la grande rivi�re oued El-Khemis et le second affluent, apr�s la Tafna, qui alimente le barrage de B�ni-Bahdel d�une capacit� de 52 millions de m3. Oued El-Khemis n�est plus cette belle rivi�re qui traverse les monts de B�ni-Snous, elle est aujourd�hui pollu�e et son eau a perdu toute la puret� qui faisait jadis le bonheur des fellahs. Selon les citoyens, cette souillure provient des eaux us�es. Cependant, celles-ci ne constituent pas la seule menace de l�oued, il y a aussi les rejets abusifs. Cette d�gradation a commenc� au d�but des ann�es 1980 avec l�implantation de villages qui surplombent la rivi�re : d�o� le rejet des eaux us�es. La situation devient de plus en plus dramatique pour les petits fellahs qui ne peuvent plus exploiter leurs petites parcelles qui leur assurent une petite production vivri�re (arboriculture et culture mara�ch�re). �La grotte noire�, principale source de l�oued, souffre d�un grand d�ficit d�eau. Cette menace �cologique a �t� signal�e il y a des ann�es, malheureusement, le projet d�installation de stations d��puration qui date depuis la fin des ann�es 1990 n�a jamais vu le jour. Les citoyens restent inquiets devant l�immobilisme des �lus et des responsables au niveau de la da�ra, qui visiblement n�ont pas encore pris conscience des dangers qui menacent la vall�e des 1 000 martyrs. M. Zenasni Les logements AADL lib�r�s Les acqu�reurs des 132 logements AADL de la cit� Kebassa ont pu prendre possession de leurs logements et ce, suite � l�intervention du wali. A rappeler que ces logements �taient achev�s depuis plus de six mois, ce qui a provoqu� la col�re des acqu�reurs qui ont interpell� les promoteurs sur l�inexplicable retard pour la remise des clefs de leurs logements. Il a fallu attendre 8 ans pour que ces 132 logements soient r�alis�s. D�autre part, le litige entre le promoteur et les h�ritiers Korso n�est pas encore r�gl�. Ces derniers r�clament le d�dommagement de la parcelle qui a servi d�assiette pour la construction de ces logements.