Les habitants (au nombre de 3 000) de Zitoune, relevant de la localit� de Herratene, situ�e � trois kilom�tres � l�est du cheflieu de la commune, d�plorent la marginalisation dont souffre leur quartier en d�pit de leurs multiples d�marches aupr�s des services de la commune de Jijel. Une requ�te transmise aux services concern�s comporte un certain nombre de revendications li�es � leur quotidien entre autres, l�am�nagement de leur quartier et le probl�me de l�alimentation en eau potable qui, selon eux, se pose avec acuit�. Face � la raret� de ce liquide pr�cieux, la population locale de ce quartier est contrainte de se rabattre sur l�eau des camions citernes qui, faut-il le souligner, n�ob�it gu�re aux normes hygi�niques, d�o� le risque de propagation des MTH dans cette r�gion o� la couverture sanitaire demeure en de�� des attentes de la population de ce quartier d�pourvu d�un certain nombre de commodit�s. Ils r�clament par ailleurs le raccordement au r�seau de gaz naturel et la r�alisation du r�seau d�assainissement. Face � une situation de plus en plus difficile, notamment avec l�approche de l�hiver, les habitants lancent un cri de d�tresse � qui de droit pour la prise en charge de leurs dol�ances. B. In�s La d�charge incontr�l�e, une source de probl�mes � Taher Faute d�une gestion rationnelle des d�chets et vu le retard dans la r�alisation des centres d�enfouissent technique de Taher et d�El-Milia, les d�charges incontr�l�es constituent un s�rieux casse-t�te pour les services de nettoiement de plusieurs communes et un danger permanent pour la sant� des citoyens de ces communes. Dans une requ�te transmise au directeur de l�environnement de la wilaya de Jijel, les habitants des quartiers Lekhrbechi et Akelal, Ouled Salah, relevant de la commune de Taher, attirent son attention quant aux dangers caus�s par la d�charge anarchique. Ils estiment aussi que la proximit� de cette d�charge avec le ch�teau d�eau alimentant la r�gion risque de causer une cross-connexion et pourrait alt�rer l�activit� agricole et l��levage. Face � cet �tat de fait d�plorable, ils souhaitent l�intervention des responsables concern�s afin de prendre les mesures qui s�imposent pour mettre fin � cette situation.