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RECOMMANDATIONS DE LA 14e CONF�RENCE INTERNATIONALE CONTRE LA CORRUPTION
Appliquer les lois, accentuer la mobilisation citoyenne et prot�ger les d�nonciateurs
Publié dans Le Soir d'Algérie le 29 - 11 - 2010

La 14e Conf�rence internationale contre la corruption (IACC) qui a eu lieu � Bangkok, en Tha�lande, du 10 au 14 novembre 2010, a adopt� une d�claration g�n�rale o� figure notamment un appel urgent pour une meilleure application des lois anti-corruption et pour une plus importante mobilisation citoyenne. Cette 14e �dition de l'IACC, qui a r�uni plus de 1 200 participants venus de plus de 135 pays, avait pour th�me central �Une action mondiale pour la transparence�.
L'application des lois anticorruption et le r�le de la soci�t� civile pour assurer leur efficacit� ont �t� soulign�s lors de la s�ance de cl�ture de la 14e Conf�rence internationale anticorruption, qui a appel� le G20 � respecter sa promesse de lutter contre la corruption. La conf�rence a explor� cinq domaines : la paix et la s�curit� ; les ressources naturelles et les march�s de l'�nergie ; la gouvernance climatique ; la reddition des comptes dans le monde de l'entreprise ; et le r�tablissement de la confiance dans les institutions publiques. Les plus de 50 sessions de la conf�rence ont cherch� de nouvelles fa�ons d'accro�tre la pression sur les deux secteurs public et priv� pour agir contre la corruption. �Apr�s quatre jours de d�bats vigoureux et l'�change d'id�es entre l'intention des personnes sur l��radication de la corruption dans le monde entier, nous nous sommes engag�s � travailler dur pour s'assurer que le programme de lutte contre la corruption comprenne le r�tablissement de la confiance dans les institutions et soit int�gr� dans tous les secteurs du gouvernement et des entreprises �, a d�clar� Barry O'Keefe, pr�sident du Conseil de International anti-corruption council (IACC), organisateur de la conf�rence. Ce dernier a ajout� : �Nous avons confirm� que cela n�cessite de l'innovation, de la pers�v�rance, et surtout la mobilisation de personnes et nous esp�rons que l'�nergie g�n�r�e lors de cette conf�rence donne un nouvel �lan en plus de stimuler notre travail, d�s le retour des d�l�gu�s dans leur pays.� La conf�rence avait �t� officiellement ouverte par le Premier ministre tha�landais, le directeur g�n�ral de la Banque mondiale, le secr�taire g�n�ral de l'ONG Amnesty International, et le secr�taire g�n�ral adjoint g�n�ral de l'OCDE. A l'issue de la conf�rence, il appara�t clairement que les lois contre la corruption ne suffisent pas. La communaut� internationale anti-corruption doit travailler pour pousser les gouvernements � traduire les paroles en actions, par l'application des lois anti-corruption dans tous les domaines, et de mobiliser davantage les citoyens, en particulier les jeunes, pour impulser les actions contre la corruption.
L�initiative �StAR� pour la restitution des avoirs vol�s
Un �l�ment important du dispositif de lutte contre la corruption est constitu� par l��Initiative pour la restitution des avoirs vol�s� (Initiative StAR), que la Banque mondiale a lanc�e en collaboration avec l�Office des Nations unies contre la drogue et le crime. Cette initiative vient � l�appui des efforts men�s � l��chelon international en vue de faire dispara�tre les zones d�impunit� pour les fonds frauduleux. Plus de 23 pays, ce qui repr�sente une proportion de plus de un pour sept parmi les signataires de la Convention des Nations unies contre la corruption, ont en effet demand� une aide sous une forme ou une autre, et des progr�s ont �t� faits pour ce qui est d�aider les pays � renforcer leurs capacit�s et � collaborer aux processus de restitution des avoirs vol�s. Six d�entre eux ont � pr�sent proc�d� � un gel des avoirs, d�autres ont proc�d� de mani�re satisfaisante � un premier �change de demande de coop�ration juridique, et d�autres encore ont lanc� leur premi�re s�rie d�enqu�tes. Les organisateurs de cette 14e Conf�rence consid�rent que la confiance dans les institutions charg�es d�assurer un avenir �quitable et durable s�est �rod�e, et qu'� la suite de la crise financi�re, l�ins�curit� a augment�, tout comme les d�fis mena�ant les moyens de subsistance des populations du monde entier, ce qui cr�e un environnement opportun pour la corruption. Pour eux, un grand nombre de droits ont �t� promis ; il convient maintenant de s�assurer que les engagements soient respect�s. Pour retrouver la confiance des gens et r�tablir la cr�dibilit� des institutions, les gouvernements ne doivent pas seulement exprimer leur volont� politique, ils doivent entreprendre des actions concr�tes ; le secteur priv� doit mettre un frein � la corruption et remplir ses obligations en tant qu�entreprises citoyennes ; et la soci�t� civile doit exiger une responsabilit�. Il existe surtout un besoin urgent pour tous les acteurs de travailler ensemble sur un programme de gouvernance mondiale transparent et responsable. La Tha�lande, pays h�te de cette conf�rence, n'a toujours pas ratifi� la Convention des Nations unies contre la corruption.


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