USM El-Harrach - JS Kabylie, une finale in�dite pour cette 47e �dition de la Coupe d'Alg�rie de football qu'abritera le stade du 5-Juillet 1962 (Alger), demain � partir de 16h, entre deux �quipes que personne, ou presque, n'attendait � ce stade de la comp�tition avant le d�but du tournoi. Le temple du 5-Juillet renouera donc, en ce 1er mai, avec l'ambiance des grands jours en accueillant un des plus vieux classiques du championnat national entre deux �quipes qui se connaissent parfaitement. La Kabylie a tellement r�v� de cette 5e glorieuse� Sept ans apr�s son dernier et douloureux �chec, la JSK refera donc un tour par le stade du 5- Juillet pour faire la cour � cette Belle Dame qui lui a refus� ses faveurs � quatre reprises, mais qui a succomb� autant de fois � son charme. C�est dire donc si la Coupe d�Alg�rie et le club le plus titr� du pays partagent une longue histoire faite d�autant de hauts que de bas. Les nouvelles g�n�rations du peuple des Jaune et Vert, malheureusement, n�en connaissent que les bas, puisque depuis une certaine soir�e de la fin du mois de juin d�il y a dix-sept ans, en plein Mondial am�ricain, lorsque Hadj Adlane, d�un de ses coups de patte dont il avait le secret, tuait A�n-M�lila en prolongations, la belle refuse de prendre le chemin de cette Kabylie qui se rappelle encore des deux derni�res finales, perdues contre le m�me rival, l�USM Alger, par 0-2 en 1999 puis en 2004 aux tab. 1977 et 1992, deux Coupes charg�es de symboles Comme pour toutes les galeries, la Coupe a une saveur tr�s singuli�re pour les supporters de la JSK, dont les plus de trente ans, � chaque grande occasion, �voquent avec la m�me passion ce souvenir qui trottera toujours dans un coin de leur m�moire de cette in�narrable victoire de l�an de gr�ce 1977. Une premi�re dans les annales du club qu�aucun autre succ�s ne pourra, peut-�tre, un jour �galer, parce que, eu �gard � la conjoncture de l��poque, le cadre purement sportif a �t� l�espace d�une heure et demie rel�gu� au second plan. Pour les milliers de supporters, porteurs de la revendication identitaire, qui avaient d�ferl� sur le stade du 5-Juillet, l�occasion de d�fier le pouvoir �en direct� �tait, en effet, trop belle pour qu�ils la laissent filer. Une finale en tous points de vue historique �galement parce qu�elle scellait ce qui allait �tre le premier doubl� de la longue histoire de la JSK avec les titres et honneurs. Trois autres troph�es sont venus enrichir la riche vitrine du club kabyle dont un qui recueille, pour beaucoup de monde, le plus de valeur sentimentale : la seule coupe d�Alg�rie remise par le pr�sident Boudiaf, quatre jours avant son assassinat le 29 juin 1992. Qu�il semble loin le coup de patte de Hadj Adlane� Depuis, il y a bien eu le lointain succ�s de 1994, mais c�est le d�senchantement qui sera le lot des Kabyles avec ces deux finales rat�es face � l�USM Alger en 1999 et 2004 qui sont venues s�ajouter aux deux �checs face au NA Hussein-Dey, en 1979, et l�USM Bel-Abb�s en 1991. Les deux derni�res d�convenues subies face � l�USM Alger sont venues comme pour appuyer le constat de la rent�e dans les rangs d�une �quipe de la JSK qui a vu son palmar�s s�enrichir � un rythme beaucoup plus lent que dans les deux d�cennies pr�c�dentes, mais qui reste, malgr� tout, le club le plus titr� du pays avec ses 14 championnats, 9 fois vice-champion d�Alg�rie et 6 fois sur la troisi�me marche du podium, en plus bien entendu des quatre Coupes d�Alg�rie et des sacres africains. De quoi faire bien des envieux. A la qu�te d�une nouvelle dynamique du succ�s La dynamique du succ�s chez les Canaris, c�est un fait ind�niable, a ralenti depuis quelques saisons et cela doit, sans doute, �tre li� au renouvellement incessant de l�effectif et � d�autres facteurs, telle cette tendance, en vogue depuis plusieurs saisons maintenant, chez une �quipe d�sormais connue pour �bouffer� les entra�neurs, ce qui n�aide assur�ment pas � amasser les titres ou assurer la continuit� apr�s avoir enrichi son palmar�s d�une autre belle ligne. Et si avec Rachid Belhout � la barre, c�est une nouvelle �re qui s�ouvre pour la JSK, pour en finir avec l�instabilit� � tous les �chelons ? A ce titre, cette finale rev�t une importance majeure pour les Canaris. Une cinqui�me qui pourrait tout relancer Une cinqui�me glorieuse qui s�est fait longuement attendre, faisant languir les Kabyles comme aucune autre comp�tition peut-�tre. Cette longue attente qui fait que les milliers de supporters prient pour qu�elle ne soit pas vaine. Un succ�s, et, il ne fait aucun doute, la JSK r�ussira � reconqu�rir son peuple qui � la longue a fini par d�serter les trav�es du stade du 1er- Novembre qui en d�autres temps, pas si lointains, aurait �t� rempli � ras-bord aussi bien en quart qu�en demi-finale face respectivement au CRB puis au MCO. L�enjeu de cette finale n�est, donc, pas seulement de soulever le troph�e tant convoit�. Il s�agira pour la JSK de s�offrir un rep�re, voire les jalons, pour l�entame d�un un nouveau cycle. Au Mas-des-Planteurs pour se remobiliser Ce dimanche apr�s-midi, face � une �quipe d�El-Harrach qui jouit de pr�jug�s tr�s favorables chez beaucoup de monde � Tizi-Ouzou tellement elle a s�duit avec son football tr�s propre, les Canaris entameront un mois de mai pr�pond�rant pour la suite avec ces deux �ch�ances (Coupe d�Alg�rie et Coupe de la Conf�d�ration) par lesquelles tout peut repartir. D�compresser apr�s le fatigant, dans tous les sens, d�placement au Gabon a �t� l�objectif de la bande � Belhout qui, apr�s un tout petit jour de repos, s�est remise au boulot, mercredi, � Tizi, avant de faire son paquetage pour s�en aller installer ses quartiers dans le cadre vivifiant du Mas-des-Planteurs � Staou�li depuis jeudi, loin de l�effervescence qui commence � gagner depuis mercredi, particuli�rement les �bases� habituelles des supporters que ce soit dans l�incontournable quartier du Mondial ou Le-Fleuriste, l� o� apr�s de longs mois d�un d�tachement de tout ce qui a trait � la JSK, l�on se remet � en pincer pour les Canaris. Une finale, �a ne se joue pas, �a se gagne ! La JSK, qui a tant besoin d�une nouvelle grande victoire pour lui servir de r�f�rence dans la perspective de redorer son blason, est donc bien servie avec cette finale. Mais Hamiti et consorts doivent sortir tout ce qu�ils ont comme qualit�s pour entrer dans la l�gende d�un club qui a tout gagn� mais il y a longtemps ! Alors la nouvelle maxime qui dit �une finale, �a ne se joue pas, �a se gagne !� sied parfaitement � cette �quipe de la JSK qui, comme d�habitude, voire plus qu�auparavant, n�aura aucune circonstance att�nuante de la part des siens si jamais elle se ratait, ce que d�aucuns n�osent imaginer chez ses supporters. Que les joueurs se le tiennent pour dit, d�avance. M. Azedine F�ter les retrouvailles avec Dame Coupe apr�s 17 ans de brouille Tutoyer de nouveau Dame Coupe, voil� le r�ve des milliers d�aficionados que compte la JSK � Tizi- Ouzou, dans les villes et les villages de Kabylie et ailleurs en Alg�rie. Pour tous les amoureux du prestigieux club kabyle, la bouderie n�a que trop dur�. Il se dit �� et l� que demain, on f�tera les retrouvailles, apr�s tant de rendez-vous manqu�s (2 fois finalistes malheureux face � l�USMA en 2000 puis en 2004). Demain, dimanche, on mettra fin � une brouille de dix-sept ans avec un troph�e que la JSK a gagn� pour la quatri�me et derni�re fois de son parcours, en 1994, � l�issue d�une finale palpitante contre l��quipe de A�n-M�lila. Une proph�tie que beaucoup souhaitent voir se r�aliser dans la soir�e de demain au stade du 5-Juillet, pourvu que la chance et la r�ussite sourient aux co�quipiers de Yahia-Ch�rif et � leur coach Rachid Belhout dont la baraka semble, jusque-l�, r�ussir aux Canaris et qui a redonn� du lustre et des couleurs au jeu d�une �quipe qui, d�sormais, a divorc� avec le doute et qui se place en pole position pour remporter le championnat. Des arguments qui permettent aux milliers de supporters des Vert et Jaune de nourrir l�espoir de voir leur �quipe gravir la premi�re marche du podium et se voir remettre le prestigieux troph�e de finaliste de la Coupe d�Alg�rie, le cinqui�me de son histoire. En tout cas, � Tizi-Ouzou, on croit dur comme fer � la victoire, comme en t�moigne l�euphorie festive qui a gagn� de nombreux quartiers de la ville, � l�image de la populeuse cit� Le Mondial o� les jeunes ont commenc� �� mettre le feu�, depuis une semaine. On a sorti la panoplie du parfait supporter-f�tard : chants, derbouka, banderoles et fanions et autres �charpes aux couleurs et � la gloire de la JSK emplissent les lieux. On a m�me vu la mythique salle de cin�ma aux murs d�cr�pis et qui a donn� son nom au quartier recouverte d�un immense embl�me national. Sur les 10 000 billets de stade mis � la disposition du public � Tizi-Ouzou, il s�est vendu 3 600 durant la seule journ�e de jeudi. M�me ferveur, m�me ambiance � A�n-El-Hammam, Dra�- Ben-Khedda, Larba�-Nath-Irath�ne, Tigzirt, d�o� nous parviennent les �chos de la f�te. On a ressorti les �charpes et les fanions remis�s au placard, on s�est cotis� pour la location des fourgons pour le d�placement vers la capitale. Bref, une atmosph�re joyeuse sur fond de veill�e d�armes qui donne � tous ces jeunes des allures de conqu�rants et la conviction que �assegas agui, la coupe a tali dhssawen (cette ann�e, la coupe ira l�-haut vers la montagne) �, comme le disait si bien un slogan bien connu des supporters kabyles. S. A. M. et K. Bougdal 47e FINALE DE LA COUPE D�ALG�RIE SENIORS USM Harrach : briser le tabou �Sem-Sem, Sem-Sem la�b yhabel waysamouha harrachia �. Qu�il semble loin l��cho de cette chanson entonn�e, plusieurs g�n�rations durant, par une galerie qui s�enflammait au rythme des g�nies ayant fait la belle histoire du club banlieusard. Khalti Mimouna, Essouri et beaucoup d�autres fans de la vieille g�n�ration, comme celle d�aujourd�hui, ont toujours fait des rencontres de football jou�es par l�ex-USMMC un moment de f�te, un grand moment de f�te. Les durs moments qui avaient entach� la grande aventure des Hadjloun, Abdelkader, Hamoui, Meziani, Zragrass, Mechta, Meddane, Kouici, Lounici, Rahem et beaucoup d�autres ont, il est vrai, mis un b�mol � l�histoire d�un club fid�le � sa r�putation de formateur. Formateur qui ne profitait point de son produit et que les �gros bras� du championnat national, les plus friqu�s plut�t, ne cessaient de puiser des rangs d�une association qui n�aura v�cu, Sonarem mis � part, sous le seuil de la pauvret� pendant les deux d�cennies ayant suivi la r�forme sportive de 1977. Pour l�anecdote, le club harrachi a �t� le premier � se lancer dans la qu�te de nouveaux sponsors et Le Soir d�Alg�riea �t� le premier � offrir sa modeste contribution financi�re � l��quipe dirig�e alors par Abdelkader Mana� (1990). �L�argent ne fait pas le bonheur� C�est que le club de l�ex- Maison-Carr�e a souffert douloureusement du d�sengagement de l�Etat. Le parrain du club, la Sonarem, �tait lui-m�me en qu�te d�un plan de redressement. C�est � cette �poque que la purge a commenc�. Les �p�pites� form�es par feu Belabed, feu Bahmane et autre Ramdani ont �t� la proie facile de clubs-ventouses. Meddane, Rahem, Lounici, Derriche, Younes et de nombreux autres espoirs du club jaune et noir vont suivre l�instinct de survie. L�USMH ne pouvait plus vraiment leur offrir les mirobolants contrats et salaires propos�s par les MCA, JSK, CRB et autres formations du pays. Certains ont r�ussi, d�autres se sont �teints et leur carri�re bris�e par la cupidit� de leurs nouveaux employeurs. Pourtant, devant cette maladive saign�e, le club harrachi poursuivait son �uvre. Les jeunes cat�gories assuraient toujours la croissance vitale � une association qui n�avait que ses id�es pour survivre. Ses responsables ne se lassaient pas de faire confiance au produit du terroir. Un cru qui a forc� le respect des grands et a chang� le cours du destin. Depuis le retour de l��quipe parmi l��lite, en 2008-2009, l�USMH ne cesse de s�duire. Par sa qualit� de football et ses bons r�sultats. A la base, un travail titanesque du groupe dirig� par un vrai scientifique et une direction enfin r�unifi�e autour des vertus d�antan. Mohamed La�b, qui s�est cherch� un coin de c�l�brit� sous le soleil de la FAF, a compris que la renaissance de l�USMH passerait par le retour aux sources. A savoir la confiance renouvel�e aux joueurs form�s � l��cole harrachie et un recrutement judicieux. C�est ainsi que les Harrachis ont eu la main heureuse d�aller chercher des joueurs talentueux mais qui avaient un d�ficit en temps de jeu et en confiance au sein de leurs clubs d�origine. L�arriv�e des Djabou (ESS), Boualem (ASMO), Boumechra et Doukha (MCA) et autre Yachir (HSC Montpellier) a donn� une autre dimension � un ensemble au sein duquel les jeunes Touahri, Legra�, Ledra�, Latr�che affichaient une terrible faim de s�affirmer. Grandir, c�est d�abord s�duire Un groupe qui veut tout simplement grandir. L�occasion lui a �t� donn�e la saison derni�re. Un exercice qui a mis en avant la nouvelle dynamique insuffl�e par Boualem Charef � un onze p�tri de qualit�s mais � l�exp�rience limit�e. Le docteur Charef comprendra, d�s lors, que le travail entrepris au lendemain de son installation �tait sur le point d�aboutir � du concret. L��quipe �tait m�me en avance par rapport aux objectifs trac�s. �Je ne vous cache pas que nous misions sur un accessit dans les trois premi�res saisons. La saison derni�re, on a fr�l� le podium de justesse. Le groupe a vendang� de pr�cieux points vers la fin du championnat. La fra�cheur physique et l�exp�rience nous ont fait d�faut. Cette saison devait �tre celle de la confirmation de notre ascension. Il n��tait pas dans nos objectifs de r�ussir un tel parcours, je l�avoue. Comme l�app�tit vient en mangeant, l��quipe a pris conscience de ses potentialit�s et a fait en sorte d�aller chercher des ressources suppl�mentaires pour conqu�rir de nouveaux horizons. Atteindre la finale n�est pas une fin en soi, car aujourd�hui, les joueurs n�en r�vent plus. Ils sont aux portes de la gloire et je suis intimement convaincu qu�ils ne comptent pas l�cher prise�, affirmera le pr�sident harrachi. Demain, devant les milliers de spectateurs et les millions de t�l�spectateurs, le club harrachi visera la passe de trois. Un troisi�me troph�e qui viendrait conforter une �uvre dont le parach�vement devrait permettre � l�USMH de dominer la Ligue 1 pour une longue p�riode. Avec pour toile de fond la philosophie d�velopp�e par le grandissime Bar�a. A voir de trop pr�s les facettes du r�cent derby USMA- USMH, la copie remise par les poulains de Boualem Charef a de quoi s�duire les plus jaloux. B. M. KHALED LOUNICI : �Ce sera du 50-50� L'ex-meneur de jeu de l'USM El-Harrach, Khaled Lounici, a estim� que son ancienne �quipe et la JS Kabylie partaient � �chances �gales� pour remporter la finale de la Coupe d�Alg�rie de football. �La rencontre sera difficile pour les deux �quipes. L'USMH va affronter une �quipe exp�riment�e sur la sc�ne nationale et internationale, mais j'estime que ce sera du 50-50 et les deux teams partent � chances �gales�, a d�clar� Khaled Lounici. Pour l'ancien capitaine de l'USMH, 44 ans, les Jaune et Noir sont d�j� �gagnants� puisqu'ils occupent la 3e place en championnat et ont atteint le stade final de Dame Coupe au moment o� personne ne pariait sur eux avant le d�but du tournoi. �Arriver en finale est d�j� une bonne chose pour l'USMH alors que la coupe n'�tait pas l'objectif en d�but de saison du club. L'�quipe est form�e majoritairement de jeunes qui manquent d'exp�rience et dont la plupart n'ont jamais jou� au 5-Juillet�, a-t-il fait remarquer. �Les r�sultats obtenus jusque-l� sont le fruit du travail effectu� par l'entra�neur Boualem Charef qui est en poste depuis trois ans. Je lui souhaite de gagner cette coupe�, a poursuivi Lounici, tout en estimant que les joueurs ont �d�j� beaucoup� r�alis�. Lounici, qui a �galement eu une exp�rience � la t�te de la barre technique de l'�quipe, esp�re, d'autre part, que les joueurs �n'�volueront pas sous pression et avec la peur de perdre et de la r�action des supporters�, ce qui pourrait leur �tre fatal. �S'ils vont jouer lib�r�s et sans pression, ils pourront �voluer sur leurs v�ritables valeur et qualit� et r��diter la prestation du match contre l'ES S�tif (en demi-finale) et celle des matches en championnat�, a-t-il soulign�. �L'�quipe peut faire un grand match comme elle peut passer compl�tement � c�t�. Les joueurs ont obtenu de bons r�sultats contre de grandes �quipes mais quand ils perdent, ils �chouent contre des �quipes suppos�es � leur port�e�, a not� encore Lounici. Par ailleurs, l'ancien num�ro 10 harrachi a lanc� un appel aux supporters pour �faire preuve de fair-play et accepter le r�sultat du match quel qu'il soit�. �Il y a toujours un vainqueur et un vaincu dans le football, c'est la loi et il faut l'accepter. J'esp�re qu'on verra du beau spectacle sur le rectangle vert. Je suis optimiste pour dimanche, m�me si Dame Coupe a d�j� choisi son camp�, a conclu l'ancien international alg�rien. L'USMH compte � son palmar�s deux troph�es de coupe d'Alg�rie, remport�s en 1974 face au WA Tlemcen (1-0) et en 1987 contre la JSM Bordj- Mena�el sur le m�me score dans des finales disput�es sur cette m�me pelouse du stade du 5- Juillet. Lounici, qui n'a pas eu la chance de soulever la coupe, a remport� avec Sem Sem un titre de champion d'Alg�rie en 1998 face � l'USM Alger (3-2) dans une finale jou�e �galement au temple du 5-Juillet entre les vainqueurs des groupes centre-est et centre-ouest du tournoi. LES FINALISTES EN BREF USM El Harrach Date de cr�ation : 1931 Couleurs : Jaune et Noir Stade : 1er-Novembre (8 000 places). Palmar�s - champion d'Alg�rie (1998), Coupe d'Alg�rie (1974, 1987). Entra�neur : Boualem Charef Pr�sident : Mohamed La�b. Joueurs-cl�s : Doukha, Boualem, Boumechra, Griche. Joueurs internationaux : aucun. Anciennes gloires : Abdelkader, Meziani, Tahar, Djefdjef, Meddane, Rahem. JS Kabylie Date de cr�ation : 1946 Couleurs : Jaune et Vert Stade : 1er-Novembre (20 000 places). Palmar�s - Championnat d'Alg�rie (73, 74, 77, 80, 82, 83, 85, 86, 89, 90, 95, 2004, 2006, 2008). - Coupe d'Alg�rie (77, 86, 92, 94) - Coupe d'Afrique des clubs champions (1981, 1990). - Coupe des coupes (1995) - Coupe de la CAF (2000, 2001, 2002) Entra�neur : Rachid Belhout Pr�sident : Mohand Cherif Hannachi Joueurs-cl�s : Nessakh, Hamiti, Oussalah, Tedjar, Yahia Ch�rif. Joueurs internationaux : n�ant Anciennes gloires : Anane, Fergani, Iboud, Aouis, Belahcen, Menad, Meftah, Hadj Adl�ne.