La wilaya d�Oran n�est pas �pargn�e par l��chec scolaire qui voit chaque ann�e son chiffre augmenter sans qu�il y ait pour autant une analyse concr�te, chiffr�e de ce ph�nom�ne. S�il y a autant de redoublants, cela revient � d�signer comme premier �coupable� les r�formes mises en place par la tutelle, diront des professionnels du secteur. Voulant approfondir la question de l��chec scolaire, le service de la sant� scolaire de la direction de la sant� et de la population de la wilaya d'Oran compte lancer une enqu�te qui concernera pr�s de 8 000 �l�ves qui ont refait l�ann�e scolaire 2011/2012. L�on saura que sur plus de 300 000 �l�ves inscrits dans les diff�rents paliers � Oran, 8% sont concern�s par ce ph�nom�ne, et seulement 67% des �l�ves qui entrent en premi�re ann�e moyenne parviennent jusqu�en quatri�me ann�e moyenne. L�enqu�te en question pr�voit des bilans m�dicaux que devront subir les �l�ves en �chec scolaire afin de mieux comprendre les raisons qui rendent leur apprentissage plus difficile compar� � d�autres. Il sera �galement question de sensibiliser sur le cas des d�perditions scolaires, sachant que, pour cette ann�e 2012, plus d�un millier d��l�ves ont quitt� les bancs de l��cole � Oran. Pour cette rentr�e scolaire 2012/2013, ils ne sont pas moins de 308 000 �l�ves, tous paliers confondus, � reprendre le chemin de l��cole, parents et professionnels du secteur de l��ducation esp�rent voir les chiffres de la d�perdition scolaire diminuer ainsi que ceux de l��chec scolaire, tout en �tant conscients que seule une r�forme r�fl�chie et efficace saura y mettre un terme. Amel Bentolba Kidnapp�, tortur�... puis rel�ch� Les �l�ments de la brigade criminelle relevant du service central de la police judiciaire ont arr�t�, en fin de semaine derni�re, une dangereuse bande de criminels constitu�e de trois individus �g�s entre 22 et 39 ans. C�est suite � une plainte d�pos�e par un citoyen �g� de 37 ans, qui a �t� victime des pires s�vices de la part de cette bande, que l�enqu�te a �t� diligent�e par les services de police. Enlev�e par ces trois personnes et transport� dans leur v�hicule, la victime a �t� s�questr�e durant quatre jours dans un appartement. Ligot� avec un fil de fer en position assise sur une chaise, il a �t� rou� de coups sur tout le corps avec un b�ton, pour �tre � d�autres moments �lectrocut�, puis il a �t� rel�ch� par ses ravisseurs, qu�il semble conna�tre et dont les motifs seraient li�es � un r�glement de comptes. Apr�s le d�p�t de plainte contre ses trois ravisseurs, la police est parvenue, apr�s v�rification de ses d�clarations, � arr�ter les trois mis en cause dans cette affaire . Pr�sent�s devant le juge d�instruction pr�s le tribunal Djamel-Eddine pour association de malfaiteurs, kidnapping et s�questration, les trois individus ont �t� �crou�s.