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LE SOIR DE L'OUEST
Publié dans Le Soir d'Algérie le 15 - 10 - 2012


TLEMCEN
Mansourah, la mort programm�e des petits fellahs
Dans la r�gion de Mansourah, � Tlemcen, ils sont � peine une dizaine de petits agriculteurs qui continuent � travailler la terre, et ce, malgr� de nombreuses contraintes et difficult�s. Mais pour combien de temps encore ?
La plupart de ces paysans qui ont toujours �t� fid�les � la terre ont tout abandonn� et pr�f�r� gagner leur vie ailleurs ; les plus chanceux se sont lanc�s dans une activit� commerciale, d�autres vivent dans des conditions difficiles. Aujourd�hui, les petits propri�taires d�Imama et d�A�n Douz, dans la da�ra de Mansourah, lancent un v�ritable cri de d�tresse au wali de Tlemcen pour sauver leur activit� agricole. Plus de 13 fellahs sont priv�s d�eau d�irrigation depuis le Ramadan et leurs r�coltes ont �t� perdues par manque d�eau. Les eaux d�irrigation provenaient d�un sondage qui a �t� affect� � l�usine des eaux min�rale de Mansourah, et il �t� mis fin au quota r�serv� aux fellahs de cette r�gion agricole. Depuis, ils sont oblig�s d�irriguer leur terre avec l�eau destin�e � la consommation domestique et, bien s�r, la facture de l�OPEOR est plus que sal�e. Un fellah a re�u une facture de 36 millions de centimes et dit pr�f�rer abonner sa terre que de payer une somme pareille, d�autant plus que toute sa r�colte a �t� d�truite. En privant d�eau de ce sondage r�alis� en 1985 les petits fellahs d�A�n Douz et d�Imama, on les condamne tout simplement � cesser de cultiver leurs terres, leur seul bien qui a fait vivre des g�n�rations enti�res. Mansourah �tait r�put�e pour ses vergers et son vignoble, il y avait � l��poque plusieurs sources qui, malheureusement, ont disparu. Seul A�n Mokdad continue � d�fier le temps et la s�cheresse. A partir de l�h�pital, toute cette verdure a disparu, le b�ton a bouff� le paysage, alors il faut mettre fin � ce massacre, et ce serait commettre un autre crime que d�obliger les derniers petits fellahs de cette localit� � abandonner leurs petits lopins de terre. Les eaux min�rales de Mansourah doivent conc�der un quota pour l�irrigation des terres agricoles, car il y va de la survie de plusieurs familles qui n�ont d�autre ressource que cette terre vivri�re.
M. Zenasni
FORMATION PROFESSIONNELLE � TIARET
Un nouveau centre pour le tourisme et l�artisanat
Le secteur de la formation professionnelle � Tiaret vient d��tre renforc� par un nouveau centre sp�cialis� en tourisme et artisanat, deux cr�neaux cens�s enrichir le potentiel traditionnel que rec�le la r�gion. L�ouverture officielle de la nouvelle structure a eu lieu, hier, � l�occasion du coup d�envoi de la rentr�e d�octobre 2012.
D�une capacit� actuelle de 300 places, cet unique �tablissement du genre dans la wilaya a d�j� accueilli jusque-l� plus de 200 inscrits et offre plusieurs fili�res li�es � la poterie, la tapisserie, la p�tisserie traditionnelle, la cuisine collective, la sculpture sur bois, la sculpture sur verre, la sculpture sur marbre, la c�ramique, la bijouterie et autres. Selon nos sources, ce joyau, de par son immensit�, son emplacement et l�impact �conomique et culturel qu�il pourrait g�n�rer, pourrait �tre hiss� au rang d�institut r�gional. Dans son intervention, le wali de Tiaret, visiblement peu satisfait des r�sultats de la formation professionnelle sur le terrain, notamment dans le b�timent pour ce qui est de la ma�onnerie, la plomberie et autres sp�cialit�s demand�es, a longuement insist� sur l�ad�quation th�oriepratique, ne serait-ce que pour pallier au d�ficit enregistr� en la mati�re d�autant que le secteur a b�n�fici� d�une multitude d�avantages. Il s�agit notamment de l�am�lioration des conditions d�encadrement, de l�acquisition de mat�riels ainsi que de l�extension de la carte de la formation professionnelle avec la r�alisation de plusieurs �tablissements dans la wilaya � l�image de ceux de Chellala, Sidi El Hosni et bient�t deux autres � Sougueur et Frenda. Il convient de signaler que le secteur de la formation professionnelle dans la wilaya de Tiaret, propose pour la session d�octobre 2012, un nombre global de 5 435 places r�parties sur 15 fili�res et 50 sp�cialit�s tous niveaux confondus, sachant que ce nombre est appel� � augmenter dans les prochains jours, en raison de la prolongation des d�lais d�inscription.
Mourad Benameur
ORAN
Saisie de 150 g de coca�ne, 300 g de kif et 800 psychotropes
Suite � des enqu�tes de police men�es la semaine pass�e par la brigade de lutte contre le trafic de stup�fiants, il a �t� proc�d� � la saisie de plus de 150 grammes de coca�ne, 300 grammes de kif et de 800 comprim�s de psychotropes. Cela a permit l�arrestation de 5 personnes �g�es entre 27 et 56 ans, mises en cause dans ce trafic de stup�fiants.
C�est suite � des informations parvenues � la brigade de lutte contre le trafic de stup�fiants, par le biais du num�ro vert de la police � savoir le 1 548, faisant �tat qu�un individu commercialisait des stup�fiants au niveau du quartier Ed Derb, qu�une enqu�te a �t� ouverte pour v�rifier cette information. Apr�s confirmation, un individu �g� de 38 ans, g�rant d�un kiosque de vente de cigarettes � Ed Derb, soup�onn� de mener en parall�le le deal de drogue, a �t� appr�hend� en possession de 800 comprim�s de psychotropes et plus de 110 grammes de kif. L�inculp� a fini par d�noncer son fournisseur en drogue, ce qui a permis � la police de l�arr�ter tout en proc�dant � la saisie de deux voitures qu�il utilisait pour le transport et la commercialisation de sa marchandise prohib�e. Les deux mis en cause ont �t� pr�sent�s � la justice pour d�tention et commercialisation de stup�fiants. Dans le m�me sillage, deux individus ont �t� arr�t�s au niveau du quartier de Gambetta o� les �l�ments de la police ont saisi sur l�un d�entre eux, apr�s une fouille minutieuse, la quantit� de 150 grammes de kif. L�un des deux inculp�s est un repris de justice notoire faisant l�objet de deux mandats d�arr�t. Tout les deux ont �t� �crou�s. En parall�le, une autre op�ration de police a permis l�arrestation d�un jeune �g� de 27 ans en possession de 150 grammes de coca�ne.
Amel Bentolba
MASCARA
Le chef de S�ret� de wilaya r�fute toute implication des policiers dans la mort du jeune homme
Lors d�une sortie de travail du wali de Mascara, le chef de S�ret� de wilaya, faisant partie de la d�l�gation qui l�accompagnait, r�pondra � un journaliste qui demandait des �claircissements sur la mort du jeune homme A. S., 33 ans, qui a eu lieu lors de son interpellation mardi 9 octobre. Le premier responsable de la S�ret� fera cette d�claration : �Le policier n�a fait que son travail et n�a aucune responsabilit� dans le d�c�s du jeune homme.� Il ajoutera que �selon le m�decin l�giste, la mort est due � l��touffement provoqu� par l�absorption d�un morceau de drogue et de deux sachets dont l�un contenait du cannabis�.
Meddeber Mohamed
D�MANT�LEMENT D�UN R�SEAU DE TRAFIQUANTS DE DROGUE
Saisie de pr�s de 7 kg de kif dans un train entre B�ni-Ounif et A�n-Sefra
Un r�seau de trafiquants de drogue compos� de cinq individus, dont un handicap� physique, activant entre B�char et A�n-Sefra, a �t� d�mantel� conjointement par la Gendarmerie nationale de B�char et d�A�n-Sefra, selon notre source. Les faits remontent au wee-end dernier, lorsque la brigade de gendarmerie d�escorte assurant la s�curit� � bord du train de voyageurs en provenance de B�char a appr�hend�, entre B�ni-Ounif et A�n-Sefra, un individu accompagn� de deux autres suspects en possession de 6,900 kg de kif trait� soigneusement dissimul�s dans ses bagages et pr�ts � �tre livr�s � deux de leurs complices qui les attendaient � la gare ferroviaire d�A�n- Sefra o� le train devait arriver vers minuit, poursuit notre source. A l�issue de l�arrestation de ces cinq narcotrafiquants et l�identification du dealer qui se trouve en fuite, une enqu�te a �t� aussit�t diligent�e par les brigades des stup�fiants pour remonter la fili�re.
B. Henine
MOSTAGANEM
Les vendeurs informels du centre-ville d�log�s
La place des fr�res Ben Cheikh que l�on d�nomme �la carr�e� et les rues adjacentes du march� couvert envahies par des dizaines de vendeurs � la sauvette ont �t� vid�es hier dimanche dans le calme tandis que les baraquements et autres �tals ras�s. Les commer�ants dans leurs boutiques se f�licitaient d��tre lib�r�s de cette concurrence d�loyale et au grand bonheur des riverains et des pi�tons. C��tait sous un �il vigilant et d�un dispositif de s�curit� venu en force d�s 6 heures du matin que l�op�ration a �t� men�e � bien et a abouti � l��radication totale des commerces informels. Plus d�termin�s que jamais � mener cette action, les services municipaux poursuivront cette lutte et prochainement, ce sera les abords du march� de A�n-Sefra qui conna�tront le m�me sort. Cette op�ration a �t� men�e conjointement par les services de la Direction du commerce, de la concurrence et des prix et la police. Les commer�ants informels d�log�s esp�rent qu�ils seront tous recas�s dans les meilleurs d�lais dans un march� ou dans des endroits plus appropri�s. D�autres s�interrogent par contre sur leur sort et voient leur gagne-pain dispara�tre.


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