Attaf s'entretient avec le ministre finlandais du Commerce extérieur et du Développement    Régulation Boursière : la Cosob prend la présidence du Conseil des autorités arabes    Attaf s'entretient à Helsinki en tête-à-tête avec son homologue finlandaise    Grande campagne de nettoyage durant ce week-end    Ghaza: le bilan de l'agression génocidaire sioniste s'élève à 51.355 martyrs et 117.248 blessés    «Les relations qui ont connu un développement notable doivent évoluer vers une nouvelle étape»    Manuel de survie pour un régime en sursis    Quand les abus menacent la paix mondiale !    La famine se propage..    Guerre ouverte contre la violence !    «Ziani va nous rejoindre à la DTN»    Ooredoo brille lors de la 2e journée de l'ICT Africa Summit 2025    Naissance d'un club sportif du nom du chahid Pr Djilali-Liabes    Des armes de guerre du Sahel et des drogues du Maroc saisies par l'ANP    Condoléances du président de la République à la famille de la défunte    Communication: M. Meziane appelle les journalistes sportifs à se conformer à la déontologie de la profession    Une délégation de l'ESGN en visite d'information au siège de l'APN    Le recteur de Djamaâ El-Djazaïr reçoit le Directeur général pour la région MENA à la Commission européenne    Chargé par le président de la République, M. Attaf arrive à Helsinki    Des cadres et officiers de la Gendarmerie nationale en visite au Conseil de la nation    Guichet unique d'investissement: le gouvernement examine des modifications sur le décret exécutif relatif aux actes d'urbanisme    Début à Alger des travaux du 25e Congrès panarabe de rhumatologie    Relizane: un programme riche et varié pour faire connaître le patrimoine culturel de la région    ANP: 12 éléments de soutien aux groupes terroristes arrêtés en une semaine    Le téléphérique de Constantine reprend du service    Ligue 1: le président de la FAF exhorte les responsables de clubs à veiller au bon déroulement des matchs dans un esprit de fair-play    L'arbitre de la rencontre USMK-PAC au box des accusés !    L'économie algérienne fortement tributaire de la rente des hydrocarbures    Les tombeaux royaux de Numidie proposés au classement ''dès l'année prochaine''    Convergences transcendentalement divergentes entre l'art et la religion    FAF: "Ziani va nous rejoindre à la DTN"    Haltérophilie: Kamel Saïdi élu membre du bureau exécutif de l'UA de la discipline    Tissemsilt: décès du Moudjahid Adila Salah    Un programme sportif suspendu    «Construire un front médiatique uni pour défendre l'Algérie»    Hamlaoui présente trois projets d'aide pour les femmes du mouvement associatif    La Fifa organise un séminaire à Alger    Khaled Ouennouf intègre le bureau exécutif    L'Algérie et la Somalie demandent la tenue d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité    30 martyrs dans une série de frappes à Shuja'iyya    Lancement imminent d'une plate-forme antifraude    Les grandes ambitions de Sonelgaz    La force et la détermination de l'armée    Tebboune présente ses condoléances    Lutte acharnée contre les narcotrafiquants    La Coquette se refait une beauté    Cheikh Aheddad ou l'insurrection jusqu'à la mort    Un historique qui avait l'Algérie au cœur    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



LE SOIR DU CENTRE
Publié dans Le Soir d'Algérie le 24 - 12 - 2012


TIPASA
D�mant�lement d�un r�seau de dealers qui s�approvisionnaient en psychotropes aupr�s des pharmaciens � Bou Isma�l
Le d�nomm� B. M., �g� de 55 ans, repris de justice et p�re de 6 enfants, ainsi que H. R., 28 ans de Bou Isma�l, et M. B., r�sidant � Larhat, avaient trouv� l�astuce pour se procurer des psychotropes et les revendre.
Comment proc�daient-ils ?
Pour eux, c��tait simple, ils utilisaient de fausses ordonnances m�dicales, en y portant le nom de m�decins fictifs. C�est la semaine derni�re, lors d�une patrouille de police de routini�re effectu�e au niveau de la rue Hamrat-Mohammed, � Bou Ismail, que les policiers ont remarqu� le comportement douteux d�une personne, qui, sortant d�une pharmacie, avait pris la fuite � l�approche du v�hicule de la police. Cette fuite inexpliqu�e avait inqui�t� les policiers, qui avaient rejoint le fuyard pour s�enqu�rir de ce comportement. Ce fuyard, le d�nomm� B. M., �g� de 55 ans, s�attela plut�t � cacher les bo�tes de m�dicaments et une liasse de documents, qui se sont r�v�l�s �tre de fausses ordonnances m�dicales acquises, selon lui, aupr�s d�un m�decin d�h�pital. Le mis en cause avait aussi d�clar� qu��tant malade, il est oblig� d�acheter des pilules, qui se sont r�v�l�es �tre des psychotropes. Apr�s v�rification, ce furent 29 pilules de psychotropes qui ont �t� acquises aupr�s d�une pharmacie de la contr�e. Selon ses aveux, il s�est av�r�, que ce dernier avait des complices qui l�assistaient dans sa �t�che�. Il s�agit notamment de B. M., r�sidant � Larhat, et de H. R., 28 ans r�sidant � Bou Isma�l. Ces deux comp�res sont charg�s, l�un de revendre les �m�dicaments � � leur �client�le� et l�autre de s�approvisionner aupr�s des pharmacies dans les villes de Chlef, A�n Defla, Djendel et Bou Isma�l. Apr�s v�rifications aupr�s de ces pharmacies, il s�est av�r� que six ordonnances ont �t� acquises en octobre 2012, et 3 autres au mois de novembre, tandis qu�une seule a �t� acquise au cours du mois de d�cembre 2012. Toujours selon les d�clarations des pharmaciens et les aveux de ce malfaiteur, qui a admis �tre en possession de m�dicaments qui lui furent prescrits par plusieurs sp�cialistes en psychiatrie et psychologues en soulignant que lors de ses diff�rents achats, ce fut le d�nomm� T. H., r�sidant Bou Isma�l, qui l�accompagnait pour s�approvisionner dans les diff�rentes villes susmentionn�es, en drogue. Le d�nomm� T. H., qui a ni� son implication dans cette affaire, a d�clar�, quant � lui, qu'il ne connaissait pas les utilisations de ces m�dicaments et qu�il s�agissait de m�dicaments destin�s � traiter des malades. Toujours selon les d�clarations de cette personne, une autre personne r�sidant dans la ville de Larhat de la wilaya de Tipaza qui serait le fournisseur des ordonnances ayant permis d�acheter au niveau des villes pr�cit�es des drogues m�dicales sur la base d�ordonnances enregistr�es au nom de B. M. Mais le tout serait pour aider des personnes souffrant de maladies psychiatriques. Une �uvre caritative selon lui. Le d�nomm� E.T. a d�clar� que depuis cette affaire, il a rompu tout lien avec les deux comp�res accusant B. M. de se forger des alibis et qu�il n�a aucun lien avec le trafic d�ordonnances et de prescriptions utilis�es au profit de malades psychiatriques et utilisant de ce fait leurs propres cartes pour acqu�rir ces psychotropes. Mais selon les indications fournies gr�ce aux num�ros de t�l�phone qui se trouvaient chez les trois comp�res et apr�s v�rifications, il ressort l'existence de plusieurs contacts avec d�autres �clients�, y compris la confirmation de l'existence d'une relation entre ces trois malfrats, malgr� leurs d�n�gations. Plus grave est l�imitation des signatures, des cachets et des noms des m�decins mentionn�s. Il ressort qu�il s�agit d�une v�ritable industrie de faux documents, de fausses cartes d�identit� de pseudo-malades. Pr�sent�s au procureur pr�s la cour de Kol�a ces derniers ont �t� plac�s sous mandat de d�p�t � la prison de Blida.
Larbi Houari
ILS SEMAIENT LA TERREUR SUR LES AXES ROUTIERS AU SUD DE TIZI-OUZOU
Les auteurs du faux barrage dress� sur la route de Ma�tkas mis hors d��tat de nuire
Moins de quatre jours apr�s avoir tenu un faux barrage sur le CW 147 reliant Tizi-Ouzou � Ma�tkas, non loin du village Mezdata, dans la nuit de lundi au mardi 18 d�cembre, le groupe auteur de ce forfait, qui avait fait, rappelons- le, trois bless�s dont un gri�vement, encore hospitalis�, a �t� d�mantel� et mis hors d��tat de nuire par les services de s�curit� durant ce week-end.
En effet, c�est � la fin de la semaine �coul�e que l�op�ration muscl�e des services de s�curit� avait d�but� au niveau de Betrouna, relevant de la commune de Tizi-Ouzou d�o� les six �l�ments composant le gang sont originaires. Ainsi, on croit savoir que c�est suite � une tentative de cambriolage � main arm�e d�une maison, dans l�un des hameaux composant la contr�e des Ibetroun�ne (Betrouna : 5 km au sud de Tizi-Ouzou) par des �l�ments de ce groupe que les services de s�curit� auront mis la main sur un �l�ment qui aurait �t� appr�hend� par des villageois. C�est donc l�exploitation des renseignements fournis par ce membre qui a permis le d�mant�lement du reste du groupe qui a sem� la terreur sur le CW 147 et d�autres axes routiers. Ces faux terroristes sont donc hors d��tat de nuire et l�on attend avec impatience du c�t� des victimes d�autres r�v�lations li�es � l�ensemble du r�seau sp�cialis� dans les faux barrages et particuli�rement dans le vol de v�hicules au niveau des communes de Tizi-Ouzou, Tirmitine, Ma�tkas, Souk El-T�nine, Mechtras, Ath Zmenzer, Ath Douala, Tizi Ntleta, o� des dizaines d�automobiles ont �t� d�rob�s, notamment une Toyota Hilux et des Huyndai.
Amayas Idir
D�RAPAGE D�UN CAMION DE LA PROTECTION CIVILE � TIKJDA
6 pompiers bless�s
Avant-hier, aux environs de 16 heures, un camion de la Protection civile � bord duquel se trouvaient une dizaine d��l�ments de la Protection civile, qui �taient de retour depuis la station touristique de Tikjda o� a eu lieu la 3e �dition du festival de Tikjda, a d�rap� causant des blessures � six pompiers dont un a �t� transf�r� vers l�h�pital de Tizi-Ouzou pour blessures graves. D�apr�s nos informations, le chauffeur a perdu le contr�le du v�hicule suite � un probl�me dans le syst�me de freinage. Dans sa course folle, le v�hicule en question et fort heureusement, a fini sa course en percutant le talus situ� du c�t� de la montagne, alors que de l�autre c�t� de la chauss�e, il y a un ravin de plusieurs dizaines de m�tres de profondeur.
Y. Y.
DJELFA
Les dangers de l�autom�dication
Aller acheter des m�dicaments, sans ordonnance, chez le pharmacien est devenu un acte banal et surtout habituel. Et pourtant, cela pr�sente d��normes risques. Cette pratique �loigne, de plus en plus, les malades des cabinets m�dicaux. Pour �viter les longues cha�nes chez le m�decin et gagner du temps, beaucoup de gens vont directement chez le pharmacien du coin. Dans plusieurs r�gions du pays, les tabous font que des hommes n�emm�nent jamais leurs �pouses chez le m�decin, cela existe encore malheureusement et ach�tent les m�dicaments �appropri�s� chez le pharmacien. Une autre cat�gorie de gens r�utilise des m�dicaments gard�s dans le placard ou la bo�te � pharmacie. Les sympt�mes qui se ressemblent peuvent induire en erreur une personne qui ne demande pas l�avis du m�decin. Le surdosage relevant d�une mauvaise utilisation est un autre tr�s gros risque. Par exemple, prendre du Parac�tamol avec d�autres m�dicaments contenant le m�me produit, devient du surdosage et peut causer des complications souvent tr�s graves. D�autres personnes suivent les conseils d�amis ou de proches et ach�tent un ou plusieurs m�dicaments directement chez le pharmacien. On entend souvent cette r�flexion : j�ai utilis� tel m�dicament et il est tr�s efficace, tu peux en acheter�. Ne dit-on pas : �Les antibiotiques utilis�s � tort, deviennent moins forts� ou encore �les antibiotiques, c�est pas automatique�, cela conduit souvent � des drames. D�un autre c�t�, beaucoup de pharmaciens vendent tout et m�me sans ordonnance. Ils sont souvent second�s par des employ�s qui peuvent, � tout moment, se tromper de m�dicaments. Par contre, d�autres sont tr�s consciencieux et font leur travail convenablement et m�me sans employ�s pour les seconder. Il y en a qui refusent de d�livrer des m�dicaments sans ordonnance, mais cela n�est que l�arbre qui cache la for�t. Ce ph�nom�ne a tendance � se g�n�raliser. Les responsables du secteur de la sant� doivent se soucier de ce probl�me et organiser au moins des campagnes de sensibilisation, dans les quartiers en se faisant aider par des associations et pourquoi pas, par les imams dans les mosqu�es, parce que la vie de beaucoup de gens en d�pend.


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.