MOSTAGANEM Le d�pistage du cancer du sein sera syst�matique La Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) entame la nouvelle ann�e 2013, avec une bonne nouvelle pour la gent f�minine. Le d�pistage du cancer du sein sera gratuit a annonc� son directeur lors d�un point de presse organis� ce lundi apr�s-midi dans ses bureaux, en marge de l�op�ration qui d�butera le 15 janvier et s��talera sur une semaine. Cette campagne de pr�vention ciblera les femmes �g�es de plus de 40 ans qui sont appel�es � se rapprocher des centres de soins dans les da�rates de la wilaya pour une consultation gratuite et des �quipes m�dicales se rendront m�me au niveau des administrations et autres entreprises pour le d�pistage du cancer du sein. Le centre r�gional de radioth�rapie est retenu pour effectuer des mammographies pr�ventives � titre gracieux ; de m�me que le transport de la personne suspecte de la maladie est rembours�. La pr�vention permettra de minimiser les co�ts de prise en charge et de traitement de la maladie. A Mostaganem, le nombre de malades canc�reux du sein n�est pas connu, et le diagnostic pr�coce peut sauver jusqu�� 25% des personnes atteintes. En ce qui concerne la couverture des cartes chiffa distribu�es, le nombre a atteint 147 000 demandeurs, selon le directeur qui s�est exprim� en apart�. Il a ajout� que 67 conventions ont �t� sign�es avec des m�decins sp�cialistes mais la priorit� est donn�e � certaines cat�gories comme les retrait�s ou les malades atteints de maladie chronique. A. B. Dix sangliers retrouv�s morts � Sidi Lakhdar Une dizaine de sangliers, des laies et des marcassins, ont �t� retrouv�s morts ces derniers jours dans le bois ou en bordure de la route, dans la localit� de Sidi Lakhdar. Pour l�heure, la cause de la mort de ces animaux sauvages reste ind�termin�e. Cependant plusieurs hypoth�ses sont avanc�es parmi lesquelles les produits phytosanitaires utilis�s par des agriculteurs dans les plantations. A ce stade de l�investigation, l�hypoth�se des produits cit�s n�est donc pas pour l�instant confirm�e. Pour �lucider ce myst�re, des pr�l�vements ont �t� effectu�s sur leurs cadavres et les r�sultats sont attendus dans les prochains jours. Le nombre de sangliers n�est pas connu avec pr�cision dans cette r�gion qui pr�sente une vall�e inond�e par la mer, se situant en amont de la plage du Petit Port. Personne parmi les r�sidents de ces lieux n�a souvenir de cas de mortalit� aussi important. Des hordes de ces b�tes sauvages fr�quentent cette zone pour ses for�ts denses, ses champs de bl�, de ma�s, de vari�t�s de l�gumes, vignobles et son plan d�eau pour s�abreuver. Un lieu idyllique pour ces animaux. A. B. � CAUSE DES DERNIERS CHANGEMENTS CLIMATIQUES La Protection civile d�nombre 3 morts et 7 bless�s Les vents violents qui secouent Oran depuis jeudi dernier ont oblig� les services de la Protection civile � intervenir 128 fois en � peine quelques jours. Depuis le 17 janvier dernier, les changements brusques du climat ont donn� du travail aux �l�ments de la Protection civile. Selon la cellule de communication, pas moins de 7 personnes ont �t� bless�es, dont 5 dans des d�accidents de la circulation, le plus grave a eu lieu sur l�axe routier Oran-Mostaganem (RN11). Il s�agit d�un carambolage qui a fait des bless�s. Ces derniers ont aussit�t �t� �vacu�s vers les services comp�tents. Le froid a �galement caus� la mort de 3 personnes, dont l�identit� n�a pas encore �t� r�v�l�e, probablement des sans-domicile- fixe. Les trois corps ont �t� �vacu�s vers la morgue du Centre-hospitalo-universitaire d�Oran (CHUO). Concernant justement les sans-abris, il est � noter qu�une action humanitaire a �t� organis�e entre le Croissant-Rouge et la Direction des affaires sociales (DAS) pour les placer dans des centres d�accueil, notamment celui de Misserghine et distribuer des repas chauds aux personnes les plus en difficult�. Amel Bentolba MAWLID EN-NABAOUI 200 000 p�tards saisis � El Bahia Cette ann�e, les services de s�curit� de la wilaya d�Oran ont d�cid� de mener une guerre sans merci contre le trafic des p�tards qui, chaque ann�e � la f�te du Mawlid En-Nabaoui, deviennent une source de march� juteux pour le commerce informel. Les �l�ments de police relevant de la 15e S�ret� urbaine ont r�ussi, cette semaine, � mettre au jour un important lot de p�tards destin�s � la vente. Plus de 200 000 unit�s ont �t� saisies, selon la cellule de communication de la S�ret� de wilaya d�Oran. Cette marchandise prohib�e se trouvait � bord d�un v�hicule Volkswagen dans le quartier populaire de Maraval. Cette grosse saisie s�est faite � la suite d�une enqu�te men�e par les �l�ments de la 15e S�ret� urbaine, qui ont �t� inform�s d�un �point de vente de produits pyrotechniques � qui allait fournir les revendeurs du commerce informel. Aussi, une sourici�re y a �t� tendue et les membres constituant la bande qui trafiquaient dans ce commerce ont �t� pris en flagrant d�lit. Ils �taient au total 3 individus, �g�s de 30 � 40 ans. Pr�sent�s � la justice pour �association de malfaiteurs et contrebande�, les trois individus ont �t� plac�s sous mandat de d�p�t. Il faut savoir que chaque ann�e, la commercialisation des p�tards dans le circuit informel suscite l�inqui�tude des Oranais, car ces p�tards sont dangereux et mettent souvent en danger la vie des citoyens, surtout les enfants. A. B. RELIZANE La cit� Montagne Bleue manque de tout Les difficult�s continuent � s�accumuler au quartier RHP non loin de la cit� des 1026 logements dans le chef-lieu de Relizane. Les citoyens ne sont pas encore au bout de leur peine. La ville n�est pas raccord�e au gaz et cela dure depuis au moins une ann�e. Les locataires ont beau demeurer dans des logements neufs mais le manque de commodit�s n�cessaires � une existence tranquille empoisonne leur quotidien. Les habitants, pour se ravitailler en gaz, sont oblig�s d�aller cavaler dans les cit�s avoisinantes pour acheter les bonbonnes de gaz butane et les transporter ensuite jusque chez eux. Quand l�op�ration se r�p�te sans arr�t, on est �reint� par cet exercice fastidieux. Comme un malheur n�arrive jamais seul, les commer�ants sentant l�aubaine font augmenter les prix d�une mani�re inconsid�r�e. Ils appliquent � leur mani�re la loi de l�offre et de la demande. Les habitants se plaignent aussi du manque d�approvisionnement en eau potable. Les robinets sont souvent � sec pour de longues journ�es, aggravant le cas de ces locataires qui sont aux prises avec moult difficult�s. Mais pour les autorit�s locales, il n�y a pas urgence � se retrousser les manches et tenter de soulager les citoyens. On agit comme si de rien n��tait. Les citoyens sont pouss�s au d�sespoir et n�arrivent pas � comprendre comment un quartier de cr�ation r�cente puisse accumuler autant de difficult�s et accuser autant de d�ficits. L�APC en ce qui la concerne, fait des promesses aux habitants qui, eux, demandent du concret. C�est aussi simple que cela. A. Rahmane NA�MA Les bandes foresti�res pollu�es L�environnement est inqui�tant � travers les bandes foresti�res de la wilaya de Na�ma. La nature qui fait d�ailleurs, face au ph�nom�ne climatique de la d�sertification et de la s�cheresse, est pollu�e par les d�chets, les ordures, les d�tritus des constructions et autres immondices, abandonn�s ou d�vers�s par des individus, aux alentours des for�ts situ�es, soit dans les centres urbains, soit � la p�riph�rie des villes. Ce qui est un danger pour la biodiversit�, constatent certains verts. �II est temps de tirer la sonnette d�alarme pour mettre un terme aux agressions humaines, voire � l�incivisme de certains d�vastateurs de la nature�, dira un �cologiste. �Pour ce faire, il faut que les autorit�s locales prennent des mesures coercitives � l�encontre des pollueurs.� B. Henine ACCIDENTS DE LA ROUTE Cinq morts et deux bless�s � Tissemsilt Cinq personnes sont mortes et deux autres bless�es � diff�rents degr�s de gravit�, dans un accident de la circulation survenu dimanche soir sur le tron�on de la RN 14 reliant les communes de Theniet El Had et Layoune (Tissemsilt), a-t-on appris de la Direction de la Protection civile. L�accident est survenu � A�n Abbad, lorsqu'un v�hicule est entr� en collision avec un autre qui circulait en sens inverse faisant cinq morts �g�s de 30 � 50 ans dont quatre sont d�c�d�s � la polyclinique de Layoune alors que la cinqui�me victime a succomb� � ses blessures � l��tablissement public hospitalier de Theniet-El-Had, selon le charg� de l�information de la m�me direction. Les deux bless�s ont �t� transf�r�s � la polyclinique de la commune de Layoune, selon la m�me source. Les services concern�s ont ouvert une enqu�te pour d�terminer les circonstances de cet accident tragique. SIDI BEL-ABB�S Une jeune fille tu�e dans la chute d�un poteau �lectrique Dans l�apr�s-midi de samedi dernier, une jeune fille de 20 ans a trouv� la mort apr�s la chute d�un poteau �lectrique en plein centre-ville de Sidi-Bel-Abb�s. La malheureuse faisait ses emplettes au niveau de la Coupole lorsqu�elle fut terrass�e par un poteau �lectrique arrach� par le vent qui soufflait � pr�s de 60 km/heure. La victime a rendu l��me lors de son �vacuation au CHU de Sidi-Bel-Abb�s.