CONSTANTINE Les �l�ves de terminale assi�gent la Direction de l��ducation Encore une fois, la question de �la d�limitation du seuil des programmes� portant sur l�examen du baccalaur�at a fait sortir dans la rue les �l�ves des classes de terminale. Hier, ils �taient des dizaines, issus de plusieurs lyc�es de Constantine, � assi�ger la Direction de l��ducation pour r�clamer des pr�cisions � ce sujet. Les �l�ves des classes de terminale, issus de plusieurs lyc�es de Constantine, ont boycott�, hier, les cours. Rassembl�s devant le si�ge de la Direction de l��ducation de wilaya, ils ont exig� � ce que �le seuil des cours dans lesquels ils devraient �tre examin�s soit d�limit� �. �Le programme annuel �tant trop charg� et le temps imparti pour les r�visions trop court, nous voulons savoir sur quels cours portera l�examen �, a indiqu� un �l�ve de terminale du lyc�e Ali-Boushaba. L�intervention du SG de la DE, venu calmer les protestataires qui scandaient des slogans r�clamant des explications, a �t� peine perdue. Document � l�appui, ce dernier, qui a pris langue avec les �l�ves afin de leur expliquer les directives �manant du minist�re de l�Education � ce sujet, a �t� accueilli par des hu�es. Les contestataires ne voulaient en fait rien savoir et ont contest� �l�authenticit� dudit document. �Nous exigeons une d�claration du ministre lui-m�me �, ont insist� les �l�ves des classes de terminale. Le document en question, sign� par l�inspecteur g�n�ral de la p�dagogie pr�cise que �les examens porteront uniquement sur les cours �tudi�s durant l�ann�e�. Aussi, lit-on dans ce document, �le seuil des cours sera fix� le jour m�me de l�arr�t des cours, � savoir le jeudi 2 mai�. S�agissant du nombre de sujets qui seront propos�s aux candidats dans chaque mati�re, il sera de deux sujets parmi lesquels ils auront � choisir�. A ce propos, une rumeur qui a circul� parmi les �l�ves et qui a �t� largement relay�e par les r�seaux sociaux, fait �tat de la limitation du nombre de sujets � un seul. Pour ce qui est de la date de l�examen blanc, elle a �t� fix�e pour le 9 mai 2013. Farid Benzaid La s�curisation de la production c�r�ali�re par l�irrigation en d�bat � S�tif Dans le cadre du programme de s�curisation de la production c�r�ali�re par l�irrigation, initi� par le minist�re de l�Agriculture et de D�veloppement rural et la circulaire minist�rielle n�1061 du 04/10/2012, une journ�e d�information et de sensibilisation a �t� organis�e, hier lundi, par la Caisse r�gionale de mutualit� agricole de S�tif (CRMA). Regroupant l�ensemble des acteurs et partenaires issus des wilayas de S�tif, Mila, Constantine, Bordj Bou-Arr�ridj, El Oued, Batna, Jijel, Biskra et B�ja�a, cette journ�e a �t� ax�e essentiellement sur le nouveau produit propos� par la CNMA et qui concerne l�assurance perte de rendement sur c�r�ales en irrigu� ainsi que les dispositifs et proc�dures � mettre en place dans le suivi et le renforcement de l�itin�raire technique. Ce nouveau produit d�assurance �labor� par la Caisse nationale de mutualit� agricole demeure le premier du genre en Afrique et dans le monde arabe. Selon Lazhar Djemani, directeur de la CRMA de S�tif, �ce programme de s�curisation de la production c�r�ali�re concernera en premier lieu et en priorit� les fermes pilotes et quelques producteurs de semence potentiels ayant b�n�fici� de cr�dits Ettahadi et Ettahadi Fed�ratif. La c�r�aliculture en Alg�rie �tant totalement conduite en syst�me pluvial, elle demeure de ce fait d�pendante de conditions agro-climatiques al�atoires et de ph�nom�nes r�currents extr�mes, qui menacent la production c�r�ali�re et par cons�quent la s�curit� alimentaire nationale. Aussi, afin de s�curiser cette production, quelles que soient les conditions climatiques, le recours � la pratique de l�irrigation sur c�r�ales s�impose comme l�une des alternatives les plus appropri�es pour s�curiser un niveau strat�gique de production ; nonobstant les efforts � d�ployer en mati�re de recherche et de d�veloppement pour l�am�lioration des performances techniques. En effet, la CNMA, �tant partie prenante dans ce dispositif, intervient sur plusieurs aspects, notamment le volet expertise et pr�vention des risques et aussi en offrant une couverture compl�mentaire aux produits d�assurances d�j� existants, tels que les assurances gr�le, incendie des r�coltes et r�seau d�irrigation en exploitation �. Par ailleurs, et afin d�assurer une bonne prise en charge de ce nouveau programme, li� � la s�curisation de la production c�r�ali�re par l�irrigation d�appoint, une convention cadre a �t� sign�e en date du 30 octobre 2012 entre les diff�rents intervenants dans ce programme en l�occurrence l�OAIC (l'Office alg�rien interprofessionnel des c�r�ales) en tant que chef de file, l�INSID (Institut sup�rieur de l'irrigation et du drainage) et l�ITGC (Institut technique des grandes cultures), encadreurs techniques et la CNMA, en tant qu�assureur agricole. Dans le but de rendre ce nouveau dispositif plus souple et accessible aux c�r�aliculteurs, un guichet unique, compos� de la BADR, CNMA et l�OAIC, est d�sormais ouvert au niveau de chaque CCLS. Enfin, ce programme de s�curisation de la production c�r�ali�re permettra, � l�horizon 2014, d�irriguer une superficie avoisinant les 600 000 ha et d�atteindre un rendement minimal �gal � 50 q par hectare, et ceci gr�ce � l�application de l�itin�raire technique et l�utilisation des irrigations d�appoint. Imed Sellami BORDJ BOU ARR�RIDJ La d�linquance ne ch�me pas, la police aussi Faits de violence, mauvais traitements, atteintes volontaires � l�int�grit� physique, atteintes aux biens d'autrui, stup�fiants, escroquerie, d�linquance routi�re... C'est ce que fait ressortir le bilan d'activit� de la police judiciaire de la wilaya de Bordj Bou-Arr�ridj durant l'ann�e 2012. 3 244 affaires li�es aux crimes et d�lits de droit commun ont �t� trait�es. Parmi elles, figurent 3 affaires de meurtre, 752 affaires de coups et blessures, 1 213 affaires de vol, 50 d�escroquerie, 9 affaires de fausse monnaie, 116 affaires de drogue, plus de 1 101 autres affaires li�es � divers d�lits mineurs. Nous notons que toutes ces affaires de criminalit� et de d�linquance avaient �t� trait�es avec succ�s par la police judiciaire, qui a proc�d� � l'arrestation des malfaiteurs. Aussi, les services de la s�curit� publique ont enregistr� 765 accidents de la circulation qui ont fait 785 bless�s et 6 d�c�s. Pour les infractions au code de la route, la police a enregistr� 12 642 cas selon diff�rents degr�s de gravit�, ce qui a permis le retrait du permis de conduire � 3 556 conducteurs. Pour ce qui est des affaires se rapportant � l'environnement, avec infraction au code de l'urbanisme, et au commerce illicite, en 2012, on d�nombre 344 dossiers trait�s qui s'expliquent de la fa�on suivante : 23 cas d�atteinte � l'environnement, 7 cas li�s � l'hygi�ne et � la sant� publique, 131 cas ayant trait � la consommation de l'eau potable sans paiement, 3 cas li�s aux for�ts (destruction), 8 cas de destruction d'espaces verts et 101 affaires de commerce illicite. La police se trouve d�bord�e par le travail, mais cependant, ne jette pas l'�ponge face aux violences en perp�tuelle augmentation. La police vit dans une sorte d'ivresse lucide, d'un univers obscurci, o� la violence d'une journ�e est noy�e dans la violence de la suivante, et o� d�ambulent des policiers qui ressemblent � des �spectres�, � la recherche d'eux-m�mes autant que de la v�rit�. Layachi Salah Eddine Sonelgaz Skikda nous �crit Faisant suite � la mise au point parue dans votre quotidien en date du 13 janvier 2013, � la page 16, concernant le projet des 38 logements AADL Skikda, nous tenons � vous apporter les pr�cisions suivantes : �Nos services n�ont re�u aucune demande de r�ception des colonnes montantes gaz dudit projet. Pour l��lectricit�, nous avons transmis � cette soci�t� un devis pour paiement en date du 11/01/2012 mais aucune suite ne nous a �t� r�serv�e jusqu�� ce jour�. Le directeur de la distribution GUELMA Arrestations de dealers et saisie de kif trait� et de psychotropes Trois individus originaires de Guelma et �g�s entre 21 et 31 ans, ont �t� appr�hend�s cette semaine, au niveau des cit�s Guehdour, Maghmouli et Bencheghib, en flagrant d�lit de d�tention et d�usage de stup�fiants. Au moment de leur interpellation, les pr�venus �taient en possession d�une quantit� importante de kif trait� et de comprim�s psychotropes. Les trois suspects ont �t� plac�s en d�tention provisoire par le magistrat instructeur pr�s le tribunal de Guelma, apprend-on aupr�s de la cellule de communication de la s�ret� de wilaya.