Selon des sources généralement bien informées, les responsables du secteur de la santé hésitent, sous la pression du syndicat des hospitalo-universitaires, à mettre en œuvre l'arrêté interministériel de décembre 2011 relatif aux modalités d'attribution de la chefferie d'unité, une responsabilité qui revient de droit aux méritants parmi les plus gradés des hospitalo-universitaires et non à ceux des grades inférieurs et qui stagnent dans leur carrière professionnelle.