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Le Soir de l'Ouest
ORAN Pour la création d'un centre de transit
Publié dans Le Soir d'Algérie le 17 - 02 - 2014

«D'année en année, je constate qu'ils sont plus nombreux dans les rues... des jeunes garçons et filles, des familles, et même des vieux ! C'est très difficile, il n'y a plus de solidarité dans notre société, nous ne sommes plus capables d'aider et de secourir.»
C'est là le constat triste et presque désespéré d'une bénévole du Croissant-rouge à Oran qui a requis l'anonymat et qui souhaite malgré tout lancer un appel en direction des autorités locales.
En effet durant les nuits d'hiver, entre SDF, familles expulsées, malades mentaux, toute une frange de la population de la société, rejetée, marginalisée, en rupture de famille vit dans la rue. Et en hiver avec des températures très basses, ces situations sont parfois désespérées, sans oublier les risques et l'insécurité qui guettent ces hommes et femmes dans les rues.
Bien que la wilaya d'Oran compte un centre à Misserghine, destiné au départ aux personnes âgées et qui s'est transformé en une sorte de réceptacle de tous les exclus de la société. Un autre et ancien centre appelé caserne Chaâban accueille aussi des pensionnaires comprenant des vieux abandonnées, des malades mentaux, mais rien n'est prévu pour accueillir temporairement ceux qui n'ont plus de toit.
Par le passé, il existait deux centres de transit et qui depuis ont été fermés, détruits, l'ancien wali qui avait été interpellé par des associations pour la création d'un nouveau centre s'y était opposé.
Aujourd'hui la même revendication réapparaît encore de la part d'associations et de bénévoles qui souhaitent la création d'un tel centre pour ne pas tourner le dos et livrer à l'abandon et à la violence de la rue des hommes et des femmes, ainsi que des enfants. La prise en charge sociale de cette frange de la société doit également s'accompagner de mesures d'aide à la réinsertion pour ceux et celles qui le souhaitent et qui le peuvent. Ainsi d'aucuns espèrent que le nouveau wali saura prendre les décisions qui s'imposent en de telles circonstances. Tout Algérien n'a-t-il pas le droit à la protection et au soutien ?
Faycal M.
EMPLOIS TEMPORAIRES TOUTES FORMULES CONFONDUES À TIARET
Quand les jeunes boudent les postes dits «pénibles»
Dans un bilan annuel arrêté au 31 décembre 2013, la Direction de l'emploi a enregistré la réception de quelque 26 734 demandes dont 1 982 ont été satisfaites, si l'on se réfère au tableau de placements dits «classiques» réellement effectués que ce soit dans des postes permanents (157) ou temporaires (1 825).
La même situation précise que 1 115 bénéficiaires ont été affectés au secteur public national, 798 au secteur privé et enfin 69 répartis à travers des sociétés étrangères implantées sur le territoire de la wilaya, soit moins par rapport à l'année 2012 qui a connu, quant à elle, le placement de pas moins de 2 376 personnes. S'agissant des affectations par secteur d'activité, l'on saura que sur les 1 982 bénéficiaires, le BTH s'est taillé théoriquement la part du lion avec 953, suivi de l'industrie (388), l'agriculture (372), et les différents services (269). Ce qui retient l'attention, est le fait que 682 des postulants placés sont sans qualification ce qui représente un taux de 34,61 %, les cadres moyens ainsi que les cadres supérieurs ont frisé les 37 seulement, soit un taux de 1,86 % sur la demande globale exprimée.
Cela dit, la demande exprimée auprès de la Direction de l'emploi de la wilaya de Tiaret, continue à enregistrer une hausse palpable notamment pour les sortants des universités et autres instituts. En effet, à défaut d'alternatives rassurantes, ces derniers se rabattent imparablement sur des emplois temporaires, lesquels ne sont en fait qu'un palliatif même si certains ont eu la «chance» d'être titularisés par leurs employeurs dans des postes relevant pour l'essentiel de la Fonction publique. Par ailleurs, le secteur de l'emploi se voit très souvent confronté à des aléas tel le refus des demandeurs de sexe masculin, particulièrement d'être affectés dans le secteur du bâtiment, des travaux publics ou autres relevant de l'environnement, ce qui explique que certains chantiers se voient tout bonnement désertés comme l'attestent des entrepreneurs cherchant désespérément de la main-d'œuvre qualifiée ou tout simplement des manœuvres. Les jeunes boudent carrément ces emplois qu'ils qualifient de «pénibles» par rapport à ceux relevant de l'administration considérés, selon eux, comme moins fatigants. Ainsi et dans le but de favoriser le secteur économique, la direction concernée en collaboration avec l'Anem a «stoppé» récemment l'octroi de contrats au profit de l'administration, devenue par la force des choses très saturée. «La cogestion des dispositifs par la Direction de l'emploi et l'agence Anem, est l'autre contrainte évoquée dans ce contexte dans la mesure où cela engendre une bureaucratie notable», devait conclure le premier responsable du secteur.
Il convient enfin de signaler que depuis quelque temps, la DEW a enclenché une vaste opération d'assainissement des listes à travers laquelle plusieurs indus bénéficiaires ont été rayés des listes.
Mourad Benameur
Relizane
Un lotissement dans la boue et la poussière
«Une rue, boueuse par temps de pluie et très poussiéreuse par temps sec du fait qu'elle n'a jamais été macadamisée et qui traverse tout notre lotissement, fait du quotidien de nos familles un véritable calvaire et cela dure depuis plus de six ans».
C'est ce que commencera par nous dire M. A., un des habitants de ce lotissement situé à la sortie ouest de la ville de Relizane. Un lotissement situé exactement entre l'agence de voitures et l'école des enfants inadaptés.
Un lotissement qui compte aujourd'hui plus d'une vingtaine de familles selon ce dernier, qui s'est rapprochée de notre journal. A ce propos, notre interlocuteur, le porte-parole de l'association de quartier, nous dira: «Nous y avions construit nos maisons que nous avons commencé à habiter à la fin de l'année 2004. Nous avions alors tous cotisé pour l'installation de l'électricité et du gaz, ce que nous pensions tout à fait logique. Mais il restait la viabilisation de notre lotissement et notamment cette principale rue qui le traverse. Nous avons à maintes reprises attiré l'attention des autorités concernées et notamment le service des travaux publics de la commune de Relizane dont des membres avaient été amenés, à trois reprises et par nos propres moyens sur les lieux, pour constater de visu les désagréments que nos familles vivaient et vivent malheureusement toujours. Des promesses fermes pour la prise en charge de nos doléances nous furent données à l'issue de chacune de ces trois visites.»
Avant de conclure : «Connaissant la célérité avec laquelle les préoccupations des citoyens de la wilaya de Relizane sont prises en considération par M. le wali, nous en appelons à lui, aujourd'hui pour nous venir en aide et mettre fin à notre calvaire qui est celui de toutes nos familles.»
A. Rahmane
ECHANGES CULTURELS ENTRE WILAYAS
Tamanrasset hôte de Aïn-Témouchent
Dans le cadre des échanges culturels entre les wilayas, le commissariat du festival local des arts et cultures populaires de la wilaya de Tamanrasset organise sa semaine culturelle à partir de ce samedi 15 février 2014, au sein du complexe culturel de la wilaya de Aïn-Témouchent.
Un riche programme est mis sur pied par les organisateurs de cette manifestation culturelle comprenant des expositions sur les arts et produits artisanaux, des arts plastiques, la couture et habits traditionnels targuis, la bijouterie traditionnelle, et la khaïma, autant d'activités qui permettront aux Témouchentois de découvrir la diversité culturelle de cette région profonde du Sahara algérien.
Des expositions photos seront organisées pour illustrer la civilisation et l'histoire de la terre de Tinhinan et leurs us et coutumes.
En matière de variétés, plusieurs soirées folkloriques et musicales sont prévues, des lectures poétiques animées par les artistes de la wilaya ainsi qu'une opportunité de découvrir et de savourer la mélodie tindie et les rythmes de l'imzad.
Concernant le théâtre, un seul spectacle y est prévu, il s'agit de «Chakii Baki» (le malheureux reste). Plusieurs associations et artistes animeront des variétés musicales du terroir de Tamanrasset.
En parallèle à cette semaine culturelle, les hôtes de la wilaya de Aïn-Témouchent auront le plaisir de visiter et de découvrir les richesses de la région témouchentoise.


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