Interrogé sur la règle 51/49 régissant l'investissement étranger en Algérie, le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb a réitéré son maintien. «Nous ne pouvons envisager la libération de cette règle sans revoir tout le procédé à une révision des lois qui organisent l'économie», explique-t-il. Sauf qu'il n'exclut pas ce qu'il appelle «une approche pragmatique». «La libération de cette règle ne se fera que s'il y a nécessité et uniquement pour les cas où il n'y a aucune possibilité d'exportation de devise», précise-t-il.