Le match emballant : C'est au stade Ahmed-Zabana d'Oran où les spectateurs ne se sont pas ennuyés. Et pour cause, chaque équipe a donné l'occasion à ses fans de jubiler en inscrivant 3 buts chacune dans des débats «hitchkokiens» marqués par une course-poursuite . L'autre match emballant en but est celui où les Belouizdadis ont marqué 3 buts face aux Husseindéens. Les journées prolifiques : Lors de la deuxième et troisième journée, les attaquants ont fait parler la poudre en inscrivant, à chacune de ces deux étapes, 18 buts. Les joueurs canonniers : Ils sont deux, à savoir Derrag du Chabab de Belouizdad et Benyettou de l'Entente de Sétif avec 3 buts chacun. Il est vrai qu'avec le soutien de coéquipiers expérimentés dans chacune de ces deux formations, ces deux goleadors sont servis sur un plateau. L'attaque muette : A la surprise générale, c'est la formation de la JS Kabylie qui reste muette avec le compteur offensif bloqué à zéro réalisation. D'ailleurs, cette stérilité offensive s'est manifestée lors des matchs amicaux des Canaris où seulement un tout petit but a été inscrit. De quoi donner du pain sur la planche au nouveau coach Bijotat. Les spectacles ennuyants : Sur l'ensemble des 24 rencontres disputées jusqu'à présent, 4 d'entre elles se sont achevées sur un triste «0-0». Avec zéro but pouvant les faire chanter et danser, les spectateurs présents dans les stades de Omar-Hamadi ont probablement pesté contre les acteurs de cette confrontation qui n'ont pu être efficaces. Si les éléments venus de la Saoura ne pensaient qu'à préserver leur cage du moment qu'ils évoluaient en déplacement, ce sont les Mouloudéens qui sont à blâmer en se montrant inefficaces devant les buts adverses et dont cette stérilité s'est répétée après celle de l'entame de la saison face aux Belouizdadis. Les équipes qui voyagent bien : Sur les trois journées, Ce sont les Belouizdadis et les Béjaouis qui hors de leurs bases ont ramené une victoire et un nul. Une langue qui s'est enfin déliée : C'est celle de Boualem Charef, le coach d'El Harrach. Ayant boudé depuis des mois la presse, qu'elle soit écrite, parlée ou visuelle, il vient de surprendre tout son monde en accordant une interview à la chaîne algérienne «La 3» après la rencontre disputée par sa formation face à celle de l'ASM Oran. Le bonnet d'âne : Il est porté par les éléments du RC Arbaâ qui collectionnent les défaites que ce soit à l'extérieur ou chez eux.