�Le plan ORSEC n'est d�clench� qu'en cas de sinistre et nous ne sommes pas dans cette situation…�, souligne le responsable de la communication de la wilaya d'Alger � qui nous avons demand� si des dispositions particuli�res ont �t� prises suite aux intemp�ries. Mokhtar Boudina, que nous avons contact� hier, indique qu'une cellule de veille est en revanche install�e au si�ge de la wilaya d'Alger, au niveau du cabinet du wali depuis la diffusion, mardi dernier, du bulletin m�t�o sp�cial. Les m�mes structures existent au niveau du si�ge de chaque wilaya d�l�gu�e d'Alger. Un dispositif qui centralise �l'ensemble des informations quelle qu'en soit l'origine, qui suit l'�volution et qui permet d'agir en fonction de ce qui �mane du terrain� pr�cise le charg� de la communication qui revient sur le bilan de ces intemp�ries, qui ont provoqu� plusieurs accidents de la circulation et des inhalations de gaz carboniques, des inondations sans gravit� de maisons individuelles. Un mort est � d�plorer. Le froid qui s'est abattu sur la capitale a oblig� le Samu social en collaboration avec la Direction de la sant� et la S�curit� sociale � s'occuper des sans-domicile-fixe (SDF). Pour ces derniers, des structures de jeunesse, dont le Village africain, pour accueillir les SDF et parer � toute �ventualit� en cas d'aggravation de la situation. �Nous avons pr�vu des sites d'h�bergement et de restauration au cas o�. Il faut savoir aussi que toutes les entreprises de wilaya charg�es de la gestion urbaine sont mobilis�es� ajoute Mokhtar Boudina. Dans la capitale o� une vive tension sur le gaz a �t� enregistr�e on semble avoir tir� des enseignements des catastrophes qui ont marqu� Alger en novembre 2001 et mai 2003. Il est � noter que le plan ORSEC qui concerne l'organisation des secours en cas de sinistre est d�clench� par arr�t� du wali. C'est � ce dernier qu'incombe la d�cision, en fonction des informations qui lui parviennent du terrain, de d�clencher le plan ORSEC. Sa�da Azzouz