Nous, h�ritiers Ta�b Yahia, sommes surpris de lire dans votre quotidien en date du 14 mars 2005, un article en page 9 et intitul� "Un industriel crie � l'injustice". �tant indirectement cit�s puisque nous sommes les acqu�reurs desdits terrains, nous tenons � apporter les pr�cisions suivantes : Tout d'abord, il n'a jamais �t� question d'une transaction encore moins "bizarre". Le fait est que la famille Ta�b est la propri�taire l�gitime et historique desdits terrains et de tous les terrains sur lesquels sont b�tis la zone d'activit� de Bouira, la pompe � essence de Sonatrach, les deux cents logements promotionnels, les sept villas r�sidentielles, le si�ge de la SAA ainsi que la route menant vers la gare routi�re. Tous ces sites ont �t� b�tis sur une superficie de 120 000 m2 sans que notre d�funt p�re per�oive un centime d'indemnisation (attestation �tablie le 30.04.2003. R�f N�1035/TWB.2003). Aussi, et pour r�cup�rer ses terres, la famille a-t-elle v�cu plus de 25 ans de proc�dures judiciaires faites de tensions, d'injustice et de tous les abus de pouvoir, avant d'arriver � cette fin heureuse, rendue comme telle, gr�ce au haut sens de patriotisme et du devoir de m�moire, du wali ainsi que du pr�sident d'APC et du vice-pr�sident de la commune de Bouira, lesquels n'ont pas h�sit� un moment pour nous faciliter la proc�dure de r�gularisation et non d'achat comme stipul� dans l'article en question, de nos terres ancestrales que tout l'or du monde ne peut valoir. Enfin, nous tenons � saluer encore une fois, les responsables de la wilaya et de l'APC de Bouira, gr�ce auxquels l'Etat de droit tant souhait� par le pr�sident de la R�publique, Abdelaziz Bouteflika, a triomph�. Quand ce monsieur qui a acquis son terrain en 1991, du temps de l'APC FIS et non en 1995 et qui n'a m�me pas r�alis� son projet initial en se faisant d�livrer un acte administratif n�1170 du 8 juin 1991, permis de construire n�579 du 27 ao�t 1991, nous lui disons simplement ceci : si une quelconque injustice est commise � son �gard, il n'a qu'� exposer son probl�me devant la justice. P/ le repr�sentant de la famille Ta�b, Djaffar Ta�b