Suite � la satisfaction d'une partie de leurs revendications, les enseignants affili�s au CNES ont d�cid� � l'unanimit� la suspension de la gr�ve organis�e par le CNES/USTO � partir du 7 juin dernier. Cette d�cision a �t� prise au cours de l'assembl�e g�n�rale tenue mardi dernier au sein de cette universit�. Cette rencontre a �t� l'occasion pour discuter des r�sultats de la r�union CNES/USTO et rectorat en pr�sence d'une d�l�gation minist�rielle, pr�sid�e par le SG du minist�re de tutelle tenue le premier jour de la gr�ve. Plusieurs revendications ont �t� satisfaites selon le CNES, en l'occurrence l'application du principe de l'�lection des repr�sentants des enseignants au conseil d'administration et celui des facult�s, la gestion des carri�res, le logement et les heures suppl�mentaires. Concernant le premier point, le CNES, souligne-t-on est invit� � s'investir avec l'administration pour l'organisation de ces �lections dans les plus brefs d�lais. S'agissant du deuxi�me point, il a �t� convenu, selon les repr�sentants de ce syndicat, la prise en charge r�troactive des ma�tres de conf�rences et la prolongation des contrats des contractuels, jusqu'� la prise en charge de leur recrutement d�finitif par le biais de la commission de recrutement. Lors de cette r�union, le SG du minist�re a appel� les enseignants � s'investir dans d'autres forumules autres que le logement social. Une assiette pour 400 logements est d�j� d�gag�e. Enfin, les arri�r�s de l'ann�e 2005-2004 seront pay�es selon le CNES et par la suite ceux du premier semestre 2003- 2004. Il convient de souligner que les enseignants affili�s au CNES ont demand� l'association des �tudiants pour la reprogrammation des examens. Soraya H. A. SANTE Journ�e internationale sur "la proctologie" Une premi�re journ�e internationale sur "la proctologie" a �t� organis�e, jeudi � l'universit� d'Oran-Es-S�nia, � l'initiative de la Facult� de m�decine et du service de gastro-ent�rologie du Centre hospitalo-universitaire d'Oran (CHUO). De nombreux praticiens du secteur lib�ral et de diff�rents �tablissements sanitaires du pays et de France ont pris part � cette rencontre pour �changer leurs �tudes et observations en mati�re de traitement des pathologies p�rin�ales (canal anal et organes g�nitaux). En plus des aspects m�dical et chirurgical, les organisateurs ont tenu � souligner l'importance de l'approche psychologique � adopter vis-�-vis du patient, en raison du caract�re "tabou" attribu� � la r�gion du corps atteinte. Ils mettront �galement l'accent sur la n�cessit� de rigueur dans le diagnostic, car "une malformation ano-rectale peut se traduire par une infirmit� � vie", ont-ils pr�cis� en faisant observer que "cette maladie peut �tre contract�e sans distinction d'�ge ni de sexe". Plusieurs conf�rences illustr�es de projections de photos comment�es ont �t� propos�es � l'assistance pour d�crire les sympt�mes et expliquer l'�volution de la d�marche th�rapeutique � entreprendre face aux diverses manifestations de l�sions. Il y a lieu de noter que les participants ont accord� une importance particuli�re � "la proctologie de la grossesse", expliquant que les pathologies parasitaires et infectieuses se succ�dent chez le nourrisson du fait d'une contamination due � la malformation rectale de la parturiente. L'exp�rience fran�aise devait �tre d�velopp�e � travers des interventions portant sur le traitement chirurgical de "la maladie h�morro�daire" et "des fistules p�ri anales". APS