Le premier responsable de l'ex�cutif de la wilaya de Sa�da, M. Hadj Mohammed Kebir Rafaa a inaugur� jeudi dernier les travaux d'une journ�e d'�tudes sur les risques alimentaires au niveau de la Maison de la culture. En effet, la pr�sence du le wali de Sa�da � cette manifestation d'int�r�t g�n�ral, qui vient � point nomm�, a �t� unanimement appr�ci�e par les membres de l'Association pour la protection du consommateur de Sa�da. Ainsi, dans un communiqu� sign� par cette association dont une copie nous a �t� remise, cette rencontre se veut scientifique. Les repr�sentants de cette partie de la soci�t� civile t�moignent de leur enti�re confiance en le wali de Sa�da, qui selon la m�me source, est enti�rement pr�occup� par la sant� des habitants de la wilaya. Ladite association fait aussi remarquer, dans son communiqu�, la convergence des int�r�ts de l'administration depuis l'installation de M. le wali dans ses fonctions � Sa�da, il y a une ann�e et ceux de ladite association, "il y a une entente pure et parfaite entre l'association et le wali pour hisser le consommateur au rang de la souverainet�", nous confie le pr�sident de l'association. D'ailleurs, le wali a jusqu'ici �t� � l'�coute de la soci�t� civile dans le but de r�aliser le d�veloppement durable et la bonne gouvernance. Notons que le secr�taire g�n�ral de la wilaya de Sa�da, M. Saci Ahmed en tant que pr�sident de diff�rents comit�s, en relation avec la sant� du consommateur est lui aussi, � l'�coute de ladite association et veille au bien -�tre de ses repr�sentants. Soulignons que cette journ�e d'�tude a d�battu plusieurs th�mes relatifs surtout au programme de contr�le sp�cifique de la saison estivale 2005 et aussi l'impact de la normalisation sur la protection du consommateur. La juge d'instruction auditionne le SG de l'APC La juge d'instruction pr�s le tribunal de M�cheria a auditionn� pour la deuxi�me fois le secr�taire g�n�ral de la mairie de Sa�da. En effet, la juge d'instruction qui devait auditionner le SG de la mairie en tant que t�moin et personnage cl� dans le scandale du d�tournement et dilapidation de deniers publics de l'ex-maire et ses acolytes actuellement sous contr�le judiciaire pourrait � tout moment l'inculper selon une source judiciaire en tant qu'accus� eu �gard � l'importance de son poste administratif. Notons que cette audition est en relation avec les 17 chefs d'accusation retenus contre l'ex-maire et ses complices qui se sont permis de transformer une institution de l'Etat en une v�ritable association de brigands, de malfaiteurs et de ploutocrates autoproclam�s � l'instar des autres associations de malfaiteurs qui les ont pr�c�d�s et d�nomm�s commun�ment "�lus du peuple". Soulignons qu'en plus du secr�taire g�n�ral de l'APC qui exerce depuis des d�cennies cette fonction, la juge d'instruction a �galement auditionn� un autre agent de la mairie. Le chef du parc communal en tant que t�moin concernant le bradage au vu et au su de tout le monde du mat�riel et biens communaux durant l'exercice de l'ex-P/APC de Sa�da. Cela dit, l'instruction judiciaire pourrait prendre des mois selon une source cr�dible et vu l'extr�me gravit� des faits, la chambre d'accusation de la Cour supr�me pourrait aussi d�cider la remise sous mandat de d�p�t de l'ex-maire nonobstant l'inexistence d'un risque de subordination de t�moins puisqu'ils ont tous �t� auditionn�s.