Mourad Boutadjine, pr�sident du forum et d�put� FLN � l�APN, Bouabdellah Rachid, pr�sident de l�Observatoire national des sports, Pr. Hanifi Rachid, membre du forum, Abdouche R�da, membre et Benchikh Ali, pr�sident de l�Association des anciens joueurs, ont anim� une conf�rence de presse, hier, � la Maison de la presse Tahar-Djaout durant laquelle la loi sur le sport (04-10) et le r�cent d�cret (05-405) sur les f�d�rations ont fait l�objet d�une halte particuli�re et ce, pour r�pondre aux questions soulev�es par les �opposants�. Les explications prononc�es, � tour de r�le, par les animateurs de la conf�rence aux questions largement reproduites par la presse nationale se rapportant aux dispositions du d�cret sur les f�d�rations, adopt� par le gouvernement et sign� par son chef le 17 octobre pass�, se sont voulues une mise au point aux contestataires qui se sont exprim�s derni�rement. �Le d�cret est conforme � la loi�, dira Boutadjine d�embl�e. �Les dispositions de la loi sur le sport, autour de laquelle il y�a eu un large d�bat � l�APN et ce, en concertation presque avec toutes les composantes du Mouvement sportif national ainsi que la presse nationale, ont conf�r� au ministre de la Jeunesse et des Sports le pouvoir de fixer par voie r�glementaire les statuts des f�d�rations �, insistera encore Boutadjine. �Si des contestations devaient s�exprimer, elles devaient �tre formul�es par rapport � la loi et non par rapport au d�cret�, affirmera, � son tour, Bouabdellah. A la question qui taraudait les esprit des �opposants� et aff�rente � la position de la FIFA et �ventuellement des sanctions que cette derni�re pourrait nous infliger. �Faux�, r�pliqua R�da Abdouche, ancien secr�taire g�n�ral de la FAF, qui s�est �offusqu� par de tels propos, tout en citant l�exemple de la F�d�ration tunisienne dont le un tiers (5) du bureau ex�cutif compos� est d�sign�, par le ministre de tutelle, sur une composante de 15 membres�, a t-il pr�cis�. �Ce cas et ceux d�autres f�d�rations connues et avec laquelle la FIFA entretient d�excellentes relations n�ont jamais essuy� aucune mise en garde�, s�exclama-t-il. Quant � Bencheikh, pr�sident de l�Association des anciens joueurs, �la question est sciemment entretenue pour se maintenir, alors que le football en particulier et le sport en g�n�ral sont �limin�s de partout�, a-t-il d�clar� . �L��chec est g�n�ral et eux sont toujours en place�, tout en s�indignant sur le fait que �� titre d�exemple, Sma�l Khabatou n�est pas membre de l�AG et ne peut acc�der � ses travaux, alors que d�autres qui n�ont rien avoir avec le football et encore moins avec le sport y figurent royalement�, a-t-il conclu son intervention. De son c�t�, le Pr. Hanifi Rachid s�est dit : �satisfait quant aux d�cisions prises par le ministre et le gouvernement surtout que celles-ci se traduisent par leur volont� d�assainir le secteur et de promouvoir d�avantage ses r�sultats�. �C�est d�ailleurs une pr�occupation soulev�e dans le programme du pr�sident de la R�publique�, pr�cisera, avec force, Boutadjine. Appuyant ces affirmations, Bouabdellah Rachid, soutiendra que �c�est un d�cret adopt� par un gouvernement d�un pays souverain et que la FIFA n�avait qu�� se saisir, avant notre cas, des pays cit�s en exemple�. �Et puis, qui a inform� la FIFA sur un d�cret qui n�a pas encore �t� publi� ?�, s�est-il interrog�. �Bouchkara� est-il pass� par� l� ?