ZERALDA Une jeune fille kidnapp�e puis viol�e Un groupe compos� de 11 individus prend d�assaut l�appartement d�un couple. A l�int�rieur de l�appartement se trouvait �galement une autre jeune fille. C�est la cousine de la jeune mari�e. L��poux est sauvagement attaqu�, explique le commissaire Merdaci lors d�un point de presse organis� par la cellule de communication du la S�ret� de la wilaya d�Alger. Apr�s avoir re�u un coup de couteau � la gorge, le jeune �poux est abandonn� dans l�appartement situ� � Kol�a. Les deux jeunes filles sont enlev�es de force et conduites dans un lieu inconnu. Aussit�t l�alerte donn�e, les recherches commenc�rent. Une piste est retrouv�e. Il semblerait que les filles soient s�questr�es dans un bidonville dit Bab-El-Oued (commune de Zeralda). En donnant l�assaut, les forces de l�ordre parviennent � lib�rer les filles. Elles ont subi les pires supplices dont le viol collectif. Six membres du gang ont �t� arr�t�s, le reste est activement recherch�. Le mobile du crime est une histoire de jalousie. STAOUELI Chantage aux enregistrements vid�o Deux jeunes filles se pr�sentent au commissariat de Staoueli. Elles d�posent plainte contre un individu qui veut les enr�ler dans un r�seau de prostitution. Mais l�affaire est encore plus compliqu�e que cela. L�enqu�te prouvera que les filles en question ont d�j� �travaill� � dans l�appartement de l�individu, mais le jour o� elles ont voulu se retirer, le prox�n�te les invite � regarder une de ses cassettes vid�o. Les enregistrements montrent les �bats des deux jeunes filles avec des clients. La carte du chantage est vite tir�e. Les policiers proc�dent au d�mant�lement de ce r�seau. Pr�sent�es au parquet, toutes les personnes ont �t� plac�es sous mandat de d�p�t, y compris les deux jeunes femmes qui ont proc�d� au d�p�t de plainte. Les griefs retenus sont la prostitution et cr�ation de lieux de d�bauche. BORDJ-EL-KIFFAN Lettre de menace � un commer�ant Un petit commer�ant re�oit une lettre de menace d�un individu qui se r�clame d�un gang de malfaiteurs. Une ran�on de 100 millions de centimes est exig�e, autrement un malheur ne tardera pas � arriver. Le commer�ant explique qu�il ne dispose pas de cette somme. Seuls 600 000 DA �taient en sa possession. L�accord est conclu pour la transaction. Mais aussit�t apr�s avoir �t� contact� par t�l�phone, le commer�ant se rend au commissariat le plus proche. Sa ligne de t�l�phone est plac�e sur �cout�e. Vers 23 heures, l�individu rappelle. Une op�ration de localisation de l�appel est enclench�e � temps. La provenance de l�appel est identifi�e en temps record. Des unit�s d�intervention sont aussit�t d�p�ch�es vers ce taxiphone situ� � Bordj-El-Kiffan. L�individu est arr�t� en pleine conversation t�l�phonique.