Des efforts en direction de la propret� de la ville semblent �tre le nouveau cheval de bataille de la municipalit�. Des action seront � l�avenir coordonn�es avec le concours des commer�ants pour mieux am�liorer la qualit� des espaces publics. C�est ce qui est d�gag� de la r�union qui a regroup� le staff municipal et les commer�ants. Points d�orgue de cette premi�re rencontre, la propret� de la ville, le ramassage des ordures, la fluidit� de la circulation et l��pineux probl�me du squat des trottoirs seraient les actions qui constitueront le grand plan pour le nettoyage de la ville, un espace urbain qui accuse un retard dans le domaine de l�environnement. La ville s�attend donc � une op�ration grand m�nage qui a pour but de sensibiliser les commer�ants et les marchands non s�dentaires � faire des gestes simples pour am�liorer la propret� de la ville et r�organiser le ramassage des ordures dans les quartiers les plus passant set les plus commer�ants. Les citoyens se plaignent de plus en plus du ph�nom�ne qui tend � se g�n�raliser, le squat des trottoirs et certains espaces r�serv�s au stationnement. En contrepartie, les commer�ants exigent, � leur tour, de v�rifier le respect de l�application des r�glements de police notamment sur le stationnement et la r�glementation en mati�re de circulation urbaine. Les commer�ants demandent �un peu plus� de pr�sence polici�re � travers les art�res de la ville afin de mieux assurer la fluidit� de la circulation et d��viter les stationnements en deuxi�me, voire en troisi�me position par endroit. Cette volont� d�am�liorer la propret� de la ville ne pourrait se faire sans l�implication des services municipaux et de la communaut�. C�est dans ce cadre que les commer�ants, premiers acteurs concern�s, vont devoir mettre en �uvre les mesures adopt�es lors de cette r�union de concertation. La recherche de qualit� dans les r�am�nagements des espaces publics, le souci d�int�grer plus de v�g�tation, la plantation d�arbres sont autant de mesures qui contribuent aussi � am�liorer le cadre de vie. Mais si des mesures sont mises en �uvre, il faudra les inscrire dans la dur�e. Cela demande un travail de sensibilisation de chacun pour un autre comportement public mais surtout de se donner les moyens de punir et sanctionner les infractions. L�intervention publique doit �tre plus efficace, plus r�guli�re. La bataille de la propret� se gagnera avec l�implication de tous : collectivit�s, commer�ants, usagers et police. J. L. Hassani IFTISSEN Le probl�me de la d�charge publique enfin r�solu Le sempiternel probl�me de la d�charge publique dans la commune des Iftissen, que nous avons d�j� �voqu� dans ces m�mes colonnes, est enfin r�solu par l�actuel ex�cutif aux commandes des affaires courantes. Finalement, il n�a pas fallu un budget �norme mais juste d�un peu de volont� pour r�gler la question. En effet, selon le num�ro deux de l�ex�cutif, Abdellah Aouine, que nous avons joint par t�l�phone, �un site couvrant plusieurs hectares, jadis utilis� comme d�p�t de butanes de gaz, situ� sur la pente raide au nord du chef-lieu de la commune, et en retrait des habitations, a �t� retenu pour servir de lieu de d�charge publique communale�. Pour rappel, le manque d�une telle infrastructure dans la commune durant plusieurs ann�es a pouss� les citoyens � vider leurs poubelles loin de chez eux dans diff�rents endroits et notamment, le long du r�seau routier et en particulier la RN 24 qui longe le littoral o� des innombrables monticules jonchent le bas-c�t� de la chauss�e. Il reste maintenant � renforcer les moyens, jusque-l� d�risoires, d�enl�vement des ordures par les services de la voirie communale afin de toucher tous les villages de la localit� et d�assainir l�environnement. Une op�ration qui peut �tre assur�e et int�ress�e par le programme de �Blanche Alg�rie� lanc� par le minist�re de l�Emploi et de la Solidarit� nationale destin� aux ch�meurs d�sireux de cr�er leurs entreprises afin de prendre en charge l�environnement et qui n�est pas encore mise en application dans la da�ra de Tigzirt- sur- Mer.