Les r�sidants de la cit� des 400-Logements (ex-cit� Erca) vivent un inextricable calvaire. R�ceptionn�e au d�but des ann�es 1990, la cit� est un �ternel chantier. Il y a tout d�abord la nature du site urbanis� � tort. Il est ind�niable que le choix du terrain �tait irr�fl�chi et aberrant. En construisant sur des mar�cages, la partie la plus basse de toute la ville de Dra�-Ben- Khedda, une commission avait fait fi des r�gles urbanistiques �l�mentaires pour �riger des HLM hideux inond�s au moindre orage. Cette ann�e et en pr�vision des inondations, de grands chantiers ont �t� lanc�s d�s l��t� pour r�guler l��vacuation des eaux torrentielles. Toutefois, une fuite d�eau potable au niveau du b�timent 12/2 a incit� l�entreprise charg�e de la r�fection de la ligne d�assainissement � arr�ter les travaux. �Nous avons adress� des requ�tes � l�ADE et � l�OPGI. En vain. Cela fait plus d�un mois que nos caves sont remplies d�eau. On vit sur un �tang�, nous confie un r�sidant qui nous invite � un tour du propri�taire. Les caves remplies d�eau d�versent le trop-plein sur la chauss�e � quelques m�tres seulement du chantier � l�arr�t. Et dire qu�une intervention aurait pu �pargner tous ces d�sagr�ments caus�s � des habitants livr�s � eux-m�mes. Pr�s d'un kilogramme de kif saisi La police judiciaire de la wilaya de Tizi-Ouzou a instruit une proc�dure judiciaire contre deux individus pour d�tention et commercialisation de stup�fiants. 966 g ont �t� saisis au cours des perquisitions effectu�es aux domiciles des pr�venus, indique la cellule de communication, pr�cisant, par ailleurs, que les mis en cause ont �t� plac�s sous mandat de d�p�t par le juge d�instruction en date du 10 janvier. La m�me source signale l�arrestation de l�auteur d�un assassinat � l�arme blanche pr�s d�un bar situ� au lieu-dit Cha�b sur la RN12. L�enqu�te diligent�e par la police judiciaire a permis de situer les circonstance de l�assassinat. La victime consommait tranquillement en compagnie de cinq personnes de sa connaissance lorsque l�envie leur pris d�aller poursuivre la partie � l�ext�rieur de l��tablissement. Ce serait l� au bout d�un certain temps que l�un d�entre eux porta un coup de couteau mortel en plein c�ur de la victime qui a succomb� � ses blessures lors de son transfert vers l�h�pital de Tizi-Ouzou. Toute la mise en sc�ne mont�e par l�assassin avec l�aide de ses compagnons de beuverie, dissimulation de l�arme du crime, destruction des indices... n�ont pas servi � d�router les enqu�teurs de la police judiciaire. Les mis en cause ont �t� rapidement interpell�s et confondus avant d��tre pr�sent�s au parquet d�Azazga qui les a inculp�s de coups et blessures ayant entra�n� la mort, de dissimulation de l�arme du crime, de non-d�nonciation de crime et de destruction d�indices. Le principal accus� a �t� plac� sous mandat de d�p�t et les cinq autres inculp�s mis sous contr�le judiciaire.