Danger n Parmi ces institutions, il y a lieu de citer le groupement de la gendarmerie nationale, l'hôpital psychiatrique de Oued Aïssi, etc. Sur les 21 daïras de la wilaya, plus de la moitié compte des sites inondables. ces derniers sont au nombre de 43. En effet, le nombre de circonscriptions recensées est de 14. Il s'agit de Tizi Ouzou avec 13 sites inondables. Parmi ces derniers, il y a le groupement de la gendarmerie nationale situé sur un terrain plat avec cumul d'eau, l'hôpital psychiatrique de Oued Aïssi (terrain plat cumul d'eau, débordement de l'oued Aïssi et réseau d'évacuation insuffisant), la centrale électrique de Oued Aïssi (terrain plat et cumul d'eau), le central téléphonique de la nouvelle-ville (terrain plat et cumul d'eau), les cités 450-logements EPLF de la nouvelle-ville, 510-logements Krim-Belkacem, et 600-logements Génisider. Des problèmes d'insuffisance de réseau d'évacuation, obstruction de regards et de cumul d'eau ont été relevés. Dans la daïra de Tigzirt trois sites situés en aval d'une pente importante souffrent de ruissellement des eaux pluviales. Il s'agit du tribunal et des deux centres de vacances Cacobat et Ali-Yacine. Pour Azazga, la gare routière, la maison de jeunes, le centre-ville, le village Tizi Bouchène, le chef-lieu de commune de Fréha et la cité OPGI de cette même localité sont inondables car situés sur des terrains plats, en outre il y a obstruction de regards, manque de caniveaux et de réseaux d'évacuation. Le chef-lieu de Tizi Rached connaît, lui aussi, le même problème à chaque forte chute de pluie et par manque de caniveau, l'eau y stagne. Idem pour le chef-lieu de Ouacifs, une ville en concave où on a relevé un manque de caniveaux et le débordement de l'oued de la région. Des constructions ont même été réalisées sur le lit de l'oued qui a rétréci. A Béni Yenni, c'est le chef-lieu de la commune de Yattafen qui est concerné. Dans la daïra de Boghni, il y a la cité 18-logements du chef-lieu et la cité 76-logements de Ouadhias. A Aïn El-Hammam, il s'agit du centre-ville de Aïn El-Hammam et Aït Yahia et de la cité 50-logements OPGI d'Abi Youcef. A Iferhonène, il s'agit du village Taourit qui a un problème de cumul d'eau et de manque de réseau d'évacuation tout comme les autres sites suscités. Le village Boubhir de Bouzguène est, lui aussi, inondé par le débordement de l'oued. Dans la daïra de Draâ Ben Khedda, il s'agit de la cité Erca, Touares 1 et 2, Khellil, du boulevard Larbaoui, de la cité Bagdad, cité du stade à Tadmaït ainsi que du centre-ville de Sidi Naâmane. La cité liège, l'abattoir, le village Lahdjar situés en aval d'une pente et le centre-ville de Aïn zaouïa, sont des sites inondables recensés dans la daïra de Draâ El-Mizan. Enfin pour la daïra de Tizi Gheniff, il s'agit de l'entrée du siège de la daïra sur la RN68.