Le secr�tariat RND de la wilaya d�Alger a c�l�br�, jeudi dernier, � la Maison du Peuple, le dixi�me anniversaire de la cr�ation de ce parti. Les militants de la capitale ont �galement rendu hommage � Abdelhak Benhamouda Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - La salle de conf�rences de la Centrale syndicale �tait comble, jeudi apr�smidi, � l�occasion de la c�l�bration de ce double �v�nement. Selon les organisateurs, pr�s de 3500 militants et sympathisants du RND ont assist� au meeting anim� par Sedik Chiheb, secr�taire de la wilaya d�Alger du RND. �Nous sommes aujourd�hui r�unis pour c�l�brer le dixi�me anniversaire de notre parti. Nous sommes �galement ensemble pour rendre hommage au martyr Abdelhak Benhamouda qui a donn� sa vie pour que l�Alg�rie reste debout. Nous devons donc rester fid�les � sa m�moire mais aussi � celle de tous les martyrs que sont Djilali Liab�s, Hadi Flici, Abdelhafid Senhadri�, a expliqu� Chiheb. Revenant sur la cr�ation du RND, il dira que celui-ci a vu le jour �pour prot�ger la Nation�. �On reproche � notre formation d��tre n�e avec des moustaches. Eh bien, les hommes qui l�ont cr��e sont fiers de ces moustaches car ce sont ceux qui ont dit non � Sant�Egidio et au terrorisme au moment o� il n�y avait aucune force politique capable d�affronter l�obscurantisme. Le RND a �t� cr�� pour mettre fin � la gestion n�gative subie par les Alg�riens depuis l�ind�pendance �, indiquera-t-il, non sans �gratigner son �alli�, le FLN. Chiheb reviendra une nouvelle fois � la charge en abordant la question des l�gislatives de mai prochain. �En 1997, les �lections �taient en notre faveur, et quoi que l�on puisse dire, nous n�avions pas fraud� � cette occasion. En 2002, c��tait � leur (le FLN) tour de prendre le dessus. Cette fois-ci, nous devons leur rendre la pareille�. Il tentera par la suite de justifier le choix de son parti de soutenir le projet de �r�conciliation nationale� de Bouteflika. �Nous ne sommes pas des b�ni-oui-oui, nous avons soutenu ce projet de notre plein gr�, nous avons r�pondu spontan�ment.� T. H.