Les citoyens de la commune d�Iboudrar�ne, dans la da�ra d�Ath-Yenni font face, � chaque p�riode estivale, � une crise r�currente inh�rente au manque crucial de ce pr�cieux liquide qu�est l�eau potable. Qu�ils soient de Tassaft- Ouguemoune, d�Ath-Ali- Ouherzoune, d�Ighil- Bouammas, de Bouadnane, de Darna ou d�Ath-Arbah et d�Ath- Allaoua, les chefs de m�nage se d�brouillent comme ils le peuvent pour contourner cet impond�rable qui pointe du nez tel une litanie � chaque saison des grandes chaleurs. La raison en est que les citoyens de la commune sont aliment�s en gravitaire et en totalit� au m�me titre que leurs concitoyens des villages d�Ath- Daoud et d�Ath-Sa�da, relevant de la commune limitrophe de Yattafen � partir d�une source sise au village d�Ath-Allaoua en pleine montagne, une source se montrant de plus en plus moins g�n�reuse que par le pass�. La d�mographie galopante qui n�est plus comme � la lointaine �poque de la r�alisation de ce r�seau d�AEP est aussi pour beaucoup dans ce net d�s�quilibre entre l�offre et la demande. La solution, selon Kaci-A�ssa, le maire de la municipalit�, r�side dans l�inscription du projet d�exploitation toujours en gravitaire, de l�une ou la totalit� des trois sources d�couvertes au lieudit Tiliounine, au c�ur du Djurdjura, l��tude de prospection �tant finalis�e par une �quipe de la Direction de wilaya de l�hydraulique. Tafat K. Le casse-t�te du ramassage scolaire � Ath-Yenni Autre casse-t�te auquel l�ex�cutif municipal fait face, le tant probl�matique ramassage scolaire � telle enseigne que l�on appr�hende beaucoup la toute prochaine rentr�e des classes, comme � chaque p�riode de l�ann�e. Pour preuve, la commune qui doit assurer au quotidien le transport de pr�s de 900 personnes entre coll�giens scolaris�s au coll�ge Amara-Rachid, lyc�ens pensionnaires soit du lyc�e Hac�ne-Outaleb du chef-lieu de la da�ra d�Ath-Yenni soit du lyc�e de Yattafen et stagiaires suivant des formations au sein de l�annexe de Yattafen- Centre, ne dispose en tout et pour tout que d�une maigre flotte compos�e de deux bus de type Sonacome 49V8 et un autre de type 100V8. Encore que, le plus souvent, ces bataillons d��l�ves doivent se d�brouiller pour contourner les r�p�titives pannes de ces �cercueils� ambulants comme on se pla�t � les d�signer pour avoir �t� r�form�s. Le P/APC de la localit� d�plore le fait que sa municipalit� n�ait pas b�n�fici� de moyens de transport que ce soit de la part de la wilaya ou du minist�re de la Solidarit� et lance presque un cri de d�tresse pour r�parer cette injustice.