�que pr�sident au sein du MCA ou, du moins, parmi la famille de l�association Al Mouloudia. Cela se v�rifie, jour apr�s jour. Le doyen ne semble fonctionner qu�avec deux t�tes (pensantes ?). A savoir un pr�sident de l�association, puis le porte-parole. Celui-ci dit tout, parfois pour rien. Il est l� pour parler de la vie de l��quipe, l�accompagner dans ses d�placements, recruter des joueurs, en d�cider de ceux qui ne cadrent pas avec sa mani�re de composer une �quipe, parlementer avec le vrai patron d�El Mouloudia et tutti quanti. A chaque couac, c�est toujours lui qui prend l�affaire en main. Quand Thyssen est invit� � s�expliquer sur les mauvais r�sultats de l��quipe, sa pr�sence est indispensable. En terme de communication, c�est une excellente chose. L�info est puis�e, comme on dit, � la source. Il se trouve que cette disponibilit� du porte-parole met de l�ombre sur tout l�ar�opage fonctionnel (ou non) de l�association. Depuis le d�part de Khaled Adnane, ex-pr�sident de section, plus personne ne parle au nom d�Al Mouloudia, ce qui est parfait comme mod�le de communication, doit-on le rappeler. Mais, au sein de cette association, il en existe des membres qui sont cens�s assumer leur responsabilit� dans les prises de d�cisions ayant trait � tout ce qui touche le quotidien du club. Or, ces messieurs ne sont l� que le jour du match. Ceux qui y assistent ne sont jamais au bon endroit. La plupart semblent des adeptes de la politique de la chaise vide. Ou plut�t celle qui s�inspire de ce fameux adage qui dit : �Pour vivre heureux, il faut vivre cach�s�. Alors que le MCA a plus besoin de gens qui doivent partager �Le meilleur et le pire�.