Dans notre �dition du 27 d�cembre dernier, nous faisions �tat de pr�sum�es malversations au niveau de la tr�sorerie intercommunale d�Iferhoun�ne imput�es par un fonctionnaire de cette m�me institution, le caissier, au tr�sorier. Ce dernier apporte ici sa version des faits et r�cuse les propos de son accusateur. Les pr�cisions que l�ex-tr�sorier nous a transmises et que nous publions ci-apr�s par souci d��quit� ne s�adressent nullement � notre journal. Les soup�ons de malversations dont nous avions fait �tat et sur lesquels les services de s�curit� sont, du reste, en train d�enqu�ter ont, par ailleurs, fait l�objet de publication non d�mentie par de nombreux journaux. S. A. M. PR�CISIONS �En vertu du droit de r�ponse conf�r� par la loi, je vous prie d�ins�rer les pr�cisions suivantes pour �clairer l�opinion publique et assurer ma d�fense en tant que personne mise en cause. Les brigades de v�rification des services du Tr�sor et des imp�t d�p�ch�es pour enqu�te n�ont d�couvert aucune des suppos�es malversations ou autre d�tournement ; elles ont constat� que : - Tous les cr�anciers objets des virements ont per�u leur d�. - Tous les recoupements concernant les paiements effectu�s ont �t� adress�s aux services des imp�ts. Les avis � tiers d�tenteurs (A.T. D.) re�us par la tr�sorerie intercommunale ont �t� ex�cut�s. N�anmoins, elles ont relev� certaines erreurs faites de bonne foi (!) dans la proc�dure de paiement qui ont fait l�objet de sanctions administratives prononc�es par l�autorit� hi�rarchique, entre autres mon rel�vement du poste de responsabilit� et ma mutation d�office. L�ex-caissier et auteur de ces accusations contre ma personne n�a jamais apport� de preuves devant la commission de discipline. En cons�quence, je porterai plainte devant les juridictions concern�es. S�agissant du fonctionnement de la tr�sorerie, et contrairement aux d�clarations du P/APC d�Iferhou�ne, celle-ci n�a jamais ferm� ses portes. La direction a, d�s ma suspension, d�sign� un responsable pour assurer la continuit� du service.�